Lu lycéenne. Je ne l'avais pas tellement apprécié à l'époque.
Le 16ème roman de la série des Rougon-Macquart se démarque des autres par son côté naturaliste. N'oublions pas que le réalisme critique de
Zola n'est jamais très loin... Angélique, encore l'une de ces martyres de l'amour, sacrifiée sur l'autel de la morale et de l'ascétisme religieux.
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