Lu lycéenne.
Zola m'avait une nouvelle fois captivée avec ce roman, toujours aussi réaliste (morale de l'époque et statut des femmes) mais d'un ton plus léger et dans une atmosphère moins sombre que certains Rougon-Macquart.
Nana, la fille de Gervaise (L'assommoir) n'a pas l'intention de subir la rude vie sa mère. Nana est belle, libérée, parle franchement, elle libère les hommes du carcan moral et conjugal ! Toutefois, Nana se prend à rêver d'une vie honnête et paisible, de connaître la passion, mais sachant qu'elle n'y survivrait pas longtemps, elle retourne alors s'étourdir de fêtes, de danses, de champagne et de plaisir...
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