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Critique de Laureneb


Dommage que le désespoir cynique du début ne tienne pas toute la nouvelle...
Nantas est un autre Rastignac prêt à conquérir Paris du haut de sa mansarde, conscient de sa valeur, ou plutôt de la force de sa volonté, surhomme avant l'heure. Melle Chuin a, elle aussi, un petit côté balzacien, le personnage de l'entremetteuse hideuse et hypocrite.
L'ambition et le travail pour oublier un amour partagé, cela fait aussi penser à Octave Mouret du Bonheur des Dames, avec la même fin trop sentimentaliste pour moi. Flavie qui déteste les hommes après avoir été violée - le mot est écrit - ne peut se comporter ainsi à la fin. Dommage donc.
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