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Critique de PadrigGrech


Ce récit est victoire. Il finit sur ces mots : "Je me déclare en état de guerre totale." Fritz Zorn a traversé l'étouffement ; jusqu'au cancer. Alors sa conscience est apparue. Devant son cancer sa première pensée fut : "Naturellement". Vient la révolte. Son mal l'a révélé. Il ne peut plus que hurler. Il a jugé son milieu, son dressage. Il nous apprend que quiconque a toujours été poli et bien élevé "ne mérite rien d'autre que d'attraper le cancer". Il s'étend à son moule et proclame : "Je suis le déclin de l'Occident". Il nous point, sa voix porte, il abat les idoles : "Si Dieu n'existait pas il faudrait l'inventer, ne serait-ce que pour lui casser la gueule." de douleur il se cogne le front contre les murs de sa chambre mais en sombrant il s'est éveillé.
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