Nouvelle inachevée (Zweig s'est suicidé en 1942 alors qu'il a fui le nazisme) qui porte en elle à la fois l'idéal humaniste de Zweig mais aussi sa détresse face aux extrémismes et nationalismes ambiants (dans le roman, Zweig évoque le nationalisme qui a mené les pays à déclencher la Première guerre mondiale). Elle est terrible cette nouvelle : parce qu'elle nous révèle le désespoir de Zweig face à la tragédie mondiale de son époque mais aussi parce qu'elle reste tellement d'actualité. J'avoue que ce n'est pas ma préférée mais je reste toujours autant séduite par l'écriture de Zweig.
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