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Critique de merovech
Amateur pas assez assidu des échecs, j'avais noté, un jour, quelques romans qui parlaient plus ou moins à la marge de ce célèbre jeu. Au détour d'une librairie, je me suis donc logiquement retrouvé avec ce livre en caisse.
Première incursion dans l'univers de Stefan Zweig pour moi, et les quelques lignes qui présentent la création du livre tombent déjà dans le tragique. Publié en pleine deuxième guerre mondiale, à titre posthume, après son suicide avec sa femme, Stefan Zweig avait envoyé le manuscrit la veille à ses éditeurs…..
Belle écriture claire et efficace, l'auteur se concentre sur la psychologie des protagonistes évoluant autour du plateau blanc et noir. L'ouvrage a été étudié sous toutes les coutures en abordant la dimension historique, psychologique ou romanesque. Je me garderai donc bien de vouloir faire la même chose.
Je ne parlerai donc que de mon plaisir, celui éprouvé à la lecture de cette nouvelle (eh oui, la taille est très raisonnable…). Plus de 70 ans ont passés mais, malgré le statut "classique" de cette oeuvre, le style est agréable et les différents thèmes abordés sont facilement compréhensibles. Plusieurs traductions existent (la mienne est de Bernard Lortholary). A retenir, les quelques explications sur les échecs mais surtout la description de la folie et de la façon dont celle-ci gagne progressivement l'un des protagonistes.
Un bon moment !
Première incursion dans l'univers de Stefan Zweig pour moi, et les quelques lignes qui présentent la création du livre tombent déjà dans le tragique. Publié en pleine deuxième guerre mondiale, à titre posthume, après son suicide avec sa femme, Stefan Zweig avait envoyé le manuscrit la veille à ses éditeurs…..
Belle écriture claire et efficace, l'auteur se concentre sur la psychologie des protagonistes évoluant autour du plateau blanc et noir. L'ouvrage a été étudié sous toutes les coutures en abordant la dimension historique, psychologique ou romanesque. Je me garderai donc bien de vouloir faire la même chose.
Je ne parlerai donc que de mon plaisir, celui éprouvé à la lecture de cette nouvelle (eh oui, la taille est très raisonnable…). Plus de 70 ans ont passés mais, malgré le statut "classique" de cette oeuvre, le style est agréable et les différents thèmes abordés sont facilement compréhensibles. Plusieurs traductions existent (la mienne est de Bernard Lortholary). A retenir, les quelques explications sur les échecs mais surtout la description de la folie et de la façon dont celle-ci gagne progressivement l'un des protagonistes.
Un bon moment !
