"La grand paix solennelle de la maternité".
Stefan Zweig n'était clairement pas une mère.
Avis partagé, sans le moindre doute. Il paraît que tous les thèmes chers à l'auteur sont ici réunis, et disons que ça cafouille un peu.
L'idée de départ est attirante, le titre reste grandiloquent.
C'est du Stefan Zweig Qui ne se figure la maternité que très à la masculine. Il y a quelque chose de perché, de trouble, et de fanatique dans ce texte (certes très à l'image des temps décrits) qui reste profondément dérangeant.
Et pourtant, c'est beau.
Mais il y a ce truc qui ne clique pas et qui empêche, justement l'harmonie, la fusion divine.
Oh, et les notes de bas de page sont d'une inutilité crasse quand elles ne versent pas dans la condescendance.
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