AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de bina


Gamin de la cité du Neuhof à Strasbourg, Abd al Malik aurait pu comme bien d'autres suivre la mauvaise pente. Mais un livre va le faire plonger dans l'univers camusien, L'Etranger. « La voix monocorde de Meursault » le bouleverse, et il ne quittera plus l'auteur, se raccrochant à ses écrits comme une bouée de sauvetage, un chemin de vie. En particulier la préface de L'envers et de l'endroit, qu'il lit et relit.
Un auteur, un livre peuvent changer une vie, sauver une vie. Orienter une vie. En voici la preuve. Camus n'est pas mort et est toujours d'actualité à travers ce vibrant hommage entrecoupé de texte d'Abd al Malik qui lui fait écho.
Commenter  J’apprécie          100



Ont apprécié cette critique (9)voir plus




{* *}