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Au nom du pain

Série de 2 livres (En cours). Écrite par Jean-Charles Gaudin (2),


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Au nom du pain, tome 2 : Marie

Dans ce 2e tome, c’est la fille de la boulangère Durand qui joue le rôle de la narratrice, dans la continuité de l’intrigue du 1er tome. L’enquête concernant l’assassinat du commandant allemand continue et la résistance s’intensifie au vu de l’avancée des Alliés. Les liens entre les membres de la famille des deux boulangeries se resserrent et, ensemble, ils décident de déjouer la vigilance allemande pour s’associer en secret à la résistance avant de fuir peu avant le débarquement …



Une intrigue de qualité et bien construite qui, page après page, fait ressentir au lecteur toute la peur, le cran et le courage qu’il a fallu aux résistants pour lutter chaque jour face aux ennemis. Une série entre histoire et romance qu’il me tarde de prolonger avec le prochain tome et l’ouverture d’un nouveau cycle et d’une autre époque dans lesquels j’espère retrouver les mêmes personnages.
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Au nom du pain, tome 2 : Marie

Jean-Charles GAUDIN- Steven LEJEUNE. Au nom du pain – Tome 2 : Marie.



Au cours de le seconde guerre mondiale, dans une petite ville côtière, à Saint-Jean de Mont, en Vendée, deux boulangers se livrent une véritable guerre fratricide : les Durand et les Martineau. Ces derniers sont les derniers arrivés mais la population, y compris l’occupant ont une préférence pour leur pain. Le lieutenant Ferldberg, dirigeant l’unité allemande chargée de surveiller les réseaux de résistants, implantés dans la région fréquent assidûment la boulangère Marguerite Martineau. Suite à la disparition de son époux, elle a trouvé une astuce afin de transmettre les messages à ceux qui luttent et veulent leur liberté, évincer « les doryphores ». Des messages sont glissés dans les pains. Tous les messages parviendront-ils à leurs destinataires ?



Marcellin Martineau entretient une relation amoureuse avec Marie Durand. Cette relation parviendra-telle à réunir les deux familles rivales. Marie s’implique également auprès de ceux qui dans l’ombre agissent pour libérer notre pays. Le nouvel officier, remplaçant le lieutenant Feldberg fait régner la terreur dans la bourgade. Quels sont les habitants prêts à collaborer avec l’ennemi ?



Dans ce deuxième volume, l’angoisse croît. La population se terre. Les langues se délient. Mais jusqu’où iront les délateurs ? Les évènements se bousculent. La victoire se rapproche, les forces en présence s’opposent vivement mais qui sera le gagnant ? La balance oscille dangereusement…Une nouvelle distribution des cartes...



Ce tome deux nous peint une belle page de l’histoire tragique de la France lors de cette guerre. la couverture est très belle, marie la combattante ! ! ! Les personnages sont toujours aussi attachants. L’ambiance délétère sous-jacente, la cruauté des allemands bien cernée. Textes, dessins, coloris, jeux d'ombre et de lumière, tout concourt à rendre cette saga familiale et l'histoire locale agréable. Toutes mes félicitations aux auteurs, le scénariste, le dessinateur et le coloriste nous font revivre ces instants avec une belle histoire amoureuse. Mais quelle en sera l’issue ? Il nous faut patienter encore quelques mois. Une belle découverte à mettre entre la main de nos adolescents. Bonne journée et belle lecture.

( 24/03/2024).


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Au nom du pain, tome 1 : Pain noir

Un très bon tome que celui-ci !

Dans la première partie de cette série (époque 1), le lecteur se retrouve dans le sud de la France au début de la Seconde Guerre. Marguerite, son mari boulanger et ses deux enfants s’installent dans le petit village de Saint-Jean. Ils font directement concurrence à l’autre boulangerie de la bourgade, ce qui entraîne ragots et rivalité redoutable. La guerre éclate et les Allemands décident de réquisitionner les ateliers en plus d’une fournée importante des pains. La révolte gronde et la résistance se met en place. Marguerite, devenue veuve de guerre, deviennent membres actifs du réseau et n’ont qu’une envie: se venger de l’envahisseur allemand quitte à commettre les crimes les plus atroces.



Une bande dessinée aux dessins et scénario des plus réussis qui plonge le lecteur presqu’un siècle en arrière, en période de conflit où chaque action est cruciale et rébellion synonyme de mort face à un ennemi impitoyable.



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Au nom du pain, tome 1 : Pain noir

Jean-Charles GAUDIN – Steven LEJEUNE. Au nom du pain, tome 1, Marcelin.



Marcelin Martineau et sa jumelle, Monique sont âgés de onze ans lorsque la famille déménage et va ouvrir une boulangerie près de la petite cité de Saint-Jean de Monts, en Vendée, en zone rurale. Il existe déjà une boulangerie, tenue par la famille Durand qui voit d’un fort mauvais œil l’ouverture d’un commerce concurrent. Les premiers jours la fréquentation est inexistante. Le quatrième jour, madame Lacorre fait l’emplette d’un pain. La comparaison entre les produits de ces deux commerces s’effectue en faveur du nouveau venu. L’affaire va prospérer. Mais, la guerre éclate et les allemands occupent le pays. Les matières premières sont délivrées au compte-goutte. Les boulangers doivent ruser pour continuer à produire un pain de qualité. Le boulanger Martineau s’engage dans la résistance et son épouse, assistée de ses deux enfants va continuer à faire tourner la boutique et la famille, va également s’engager discrètement dans la mouvance de la résistance. Il faut ruser, « les doryphores » veillent et les exactions , suite à des actions menées par les opposants à l’occupant sont spectaculaires. Il faut passer à travers les mailles fines du filet. Comment transmettre les messages à ceux qui agissent dans l’ombre. Tout simplement, en glissant les diverses consignes dans les pains. Il faut user de stratagèmes et ne pas se tromper de destinataires… Le lieutenant dirigeant les forces allemandes préfère, non seulement le pain de la boulangerie Martineau mais il a jeté son dévolu sur la boulangère. Cette dernière saura-t-elle faire face à ses avances ? Marcelin protègera-t-il sa mère et sera-t-il en mesure d’assumer les fournées quotidiennes et les livraisons de leur « bon pain » ?



Un superbe album qui retrace une action menée à bien par ceux qui n’hésitent pas à entrer en résistance. Cette narration est bien traduite, par Jean-Charles GAUDIN, l’auteur des textes, des dialogues et la mise en scène, accentuée par les vignettes de Steven LEJEUNE retrace cette période qui a traversée pendant plus de quatre années notre pays. Les coloris utilisés mettent bien en valeur les évènements, le déroulement des actions et l'ambiance de l'époque, les années 1940. Une très belle fresque historique. Je vais de ce pas lire le tome 2. Je félicite vivement les producteurs de cette page locale de l’Histoire. Aussi je me permets de vous recommander cet album, tant aux adultes qu’aux adolescents dès 12-13 ans. Je vous souhaite de passer un agréable moment avec nos héros.Bonne journée et bonne lecture.

( 26/12/2023).
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Au nom du pain, tome 2 : Marie

Le récit s’intensifie dans ce tome 2 ainsi que la peur et la haine. Le lieutenant Feldberg était un enfant de cœur comparé au lieutenant Haurmann, un nazi pur et dur à la recherche des résistants. Il n’hésite pas à tuer, torturer des innocents de tous âges pour les débusquer. Bien entendu, il s’intéresse à la famille Martineau que l’ancien lieutenant fréquentait. Il est persuadé que l’attachement du lieutenant pour Marguerite n’est pas à l’origine de son meurtre.



Ce tome deux est aussi axée sur la famille Durand et plus particulièrement Marie, la fille de Mme Durand qui fréquente Marcelin, le fils de la rivale. Les deux familles vont-elles s’unir pour affronter l’adversité ? Vont-elles mettre leurs rancunes et rivalités de côté ? Rien n’est moins sûr… Par contre, ce qui est sûr, c’est que l’étau se resserre et que très bientôt il va falloir faire des choix. Les Alliés sont proches et vont débarquer, il faudra se serrer les coudes pour échapper aux nazis.



Cet album est angoissant, le danger est proche si proche, les événements se bousculent et créer une tension latente. On sent que le dénouement de la guerre est proche sans vraiment savoir si nos protagonistes s’en sortiront indemnes. Le graphisme est toujours aussi surprenant avec ces jeux d’ombres et bien entendu le pain reste au centre du récit et relie le tout. C’est vraiment une belle découverte dont j’attends le final avec beaucoup de curiosité.
Lien : https://sambabd.net/2023/11/..
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