Une Blade Runner enquête sur une disparition, la fille et la femme d’un riche industriel, proche de Tyrell, le fabricants de réplicants, c’est à dire de robots à apparence humaine. On retrouve l’ambiance des bas-fonds de la ville tentaculaire, hyper technologique, sur une terre dystopique. le tome 2 nous transportera sur une colonie extraterrestre, pour revenir sur terre pour le tome 3.

Qui est un réplicant qui ne l’est pas, l’auteur joue avec nos doutes, manipule les faux-semblants avec dextérité, mais c’est déjà ce qui se trouve dans le film et le roman. Les auteurs tirent sur la ficelle, et refont une variante sur le thème, plutôt efficace, mais qui ne renouvelle rien. Je reproche souvent aux comics américains de se soumettre au cinéma, dessin réaliste comme travaillé d’après photos, rythme de film, découpage et cadrage de cinéma, mais là, avec la référence au film d’origine, c’est encore plus flagrant. Cette série est bien, il y a du rythme et de l’action, elle plaira sans doute à ceux qui en veulent encore plus sur l’univers Blade Runner, mais ça ne reste qu’une excroissance mineure d’un film majeur pour reprendre la formule très juste de Bodoi.

Une Blade Runner enquête sur une disparition, la fille et la femme d’un riche industriel, proche de Tyrell, le fabricants de réplicants, c’est à dire de robots à apparence humaine. On retrouve l’ambiance des bas-fonds de la ville tentaculaire, hyper technologique, sur une terre dystopique. le tome 2 nous transportera sur une colonie extraterrestre, pour revenir sur terre pour le tome 3.

Qui est un réplicant qui ne l’est pas, l’auteur joue avec nos doutes, manipule les faux-semblants avec dextérité, mais c’est déjà ce qui se trouve dans le film et le roman. Les auteurs tirent sur la ficelle, et refont une variante sur le thème, plutôt efficace, mais qui ne renouvelle rien. Je reproche souvent aux comics américains de se soumettre au cinéma, dessin réaliste comme travaillé d’après photos, rythme de film, découpage et cadrage de cinéma, mais là, avec la référence au film d’origine, c’est encore plus flagrant. Cette série est bien, il y a du rythme et de l’action, elle plaira sans doute à ceux qui en veulent encore plus sur l’univers Blade Runner, mais ça ne reste qu’une excroissance mineure d’un film majeur pour reprendre la formule très juste de Bodoi.

Une Blade Runner enquête sur une disparition, la fille et la femme d’un riche industriel, proche de Tyrell, le fabricants de réplicants, c’est à dire de robots à apparence humaine. On retrouve l’ambiance des bas-fonds de la ville tentaculaire, hyper technologique, sur une terre dystopique. le tome 2 nous transportera sur une colonie extraterrestre, pour revenir sur terre pour le tome 3.

Qui est un réplicant qui ne l’est pas, l’auteur joue avec nos doutes, manipule les faux-semblants avec dextérité, mais c’est déjà ce qui se trouve dans le film et le roman. Les auteurs tirent sur la ficelle, et refont une variante sur le thème, plutôt efficace, mais qui ne renouvelle rien. Je reproche souvent aux comics américains de se soumettre au cinéma, dessin réaliste comme travaillé d’après photos, rythme de film, découpage et cadrage de cinéma, mais là, avec la référence au film d’origine, c’est encore plus flagrant. Cette série est bien, il y a du rythme et de l’action, elle plaira sans doute à ceux qui en veulent encore plus sur l’univers Blade Runner, mais ça ne reste qu’une excroissance mineure d’un film majeur pour reprendre la formule très juste de Bodoi.