Le premier tome m'avait emballé mais le titre m'appelait à en découvrir plus. Que cela soit pour les robots comme pour les humains, j'avais cette envie de voir comment le tout pouvait être développé.

Ce deuxième tome est une proposition différente, plus sombre avec des thématiques plus fortes. J'en regrette même que le tout ne dure qu'un seul tome tant mon sentiment qui domine est que Béka aurait pu apporter encore beaucoup à l'univers.

Le tout étant toujours superbement mis en page par Munuera, un trait que j'aime tant !

Le passé rencontre le futur dans ce roman graphique où se mêlent les années 20 avec la ségrégation raciale et une vision du futur des décennies plus tard où les robots sont omniprésents mais eux aussi discriminés le tout avec fortes citations de " Cyrano".

Un récit tel que pouvait les écrire Jules Vernes, le premier des retrofuturistes.

Ben j’ai beaucoup moins accroché à ce tome-là…

Le premier était une histoire d’amitié, d’amour…

Là, on a un personnage solitaire qui est moins intéressant à suivre que le duo de la première aventure, un robot méchant qui poursuit des robots gentils avec un côté répétitif et assez plat…

Je n’ai pas retrouvé l’avancée de la première épopée, mais quelque chose de plus classique qui se déroule jusqu’à ce que ça soit assez pour se terminer…

J’adore toujours le dessin mais j’ai moins accroché à l’histoire, d’autant que je m’attendais à une suite…

Dans ce tome 2, les robots sont toujours les domestiques des humains. Mais un robot a osé écrire un livre touchant. Halfa, un suprémaciste a décidé que c'était contre-nature et a ordonné la destruction de cet ouvrage. Mais Eva, qui survit grâce à des cambriolages, tombe sur un exemplaire interdit. Touchée en plein cœur, elle veut à tout prix le sauver de la destruction. Mais des robots se lancent alors à sa poursuite. J'ai apprécié le thème, les dessins et la colorisation. Une belle série à découvrir aussi bien pour son univers que pour les textes. #LesCoeursdeferraille #NetGalleyFrance

Suite de cette bande dessinée dont le premier tome m’avait interpellée, avec son univers mêlant robots et humains. Suite sans être une suite, car nous suivons de nouveaux personnages, tout en évoluant dans le même univers.



Tout commence avec la jeune Eva, une jeune cambrioleuse, qui découvre un jour un roman qui la bouleverse. Mais aussi un roman qui la place dans une situation dangereuse : il a été écrit par un robot, et son auteur est recherché par les Robots Limiers pour être exécuté.



Un robot qui écrit des livres, des livres qui touchent le cœur des humains. J’ai beaucoup aimé cette idée de départ. L’univers est bien sombre, les discriminations et la violence y sont nombreuses. En plus de cela, cette bande dessinée dénonce la censure. Ici, tous les moyens sont mis en œuvre pour empêcher la diffusion d’un ouvrage jugé dangereux subversif… au détriment de la liberté d’expression.



Comme pour le précédent tome, on alterne entre actions, péripéties, et petites touches d'émotions. C'est une BD qui se lit vite, qui nous entraîne jusqu'au dénouement final.



Une lecture intéressante, qui pose de belles questions.

J'ai beaucoup aimé l'histoire de la bande dessinée, ainsi que le trait vif et les couleurs faisant penser au steampunk.

J'apprécie qu'il s'agit d'une série où chaque tome peut se lire séparément.

En refermant l'ouvrage, le lecteur est face à plusieurs questions intéressantes sur la définition de "parent": est-ce celui qui nous a mis au monde? Celui qui nous a élevé?