➤ Petit rappel



Pour rappel, j'avais eu la chance de découvrir le premier tome en 2018 grâce à Babelio et la Masse critique. J'avais d'ailleurs pu discuter du roman avec l'autrice lors des Halliennales de 2018. J'avais bien aimé ce premier tome qui se déroulait assez vite (n'oublions pas qu'on est sur les codes de la littérature jeunesse) et qui mêlait un fond de mythologie grecque avec l'univers géographique ou les noms des personnages. Mais je n'avais pas lu le second tome dans la foulée, lorsqu'il était sorti. 







➤ D'où l'intérêt de lire les suites rapidement...



Malheureusement, je suis plutôt passée à côté de ce second et dernier tome. J'ai d'abord du aller lire un résumé spoilant sur l'histoire puisque je n'avais que peu de souvenirs à part ce principe de brume dévoreuse. Une fois les rappels du premier tome fait, j'ai enchaîné avec la lecture de celui-ci. Malheureusement, j'ai perdu tout attachement pour les personnages. J'ai trouvé que l'histoire allait beaucoup trop vite et que c'était trop jeunesse à mon goût. Comme quoi, en cinq ans, nos préférences évoluent. C'est dommage puisque j'avais bien aimé le premier tome...  Le point positif c'est que j'ai lu le livre assez rapidement.







➤ Mythologie et sujets importants



On peut toutefois souligner que le roman, en empruntant son univers à la mythologie grecque, peut être un bon roman introductif pour intéresser de jeunes adolescents aux dieux grecs. De plus, Cindy Van Wilder est une autrice engagée qui aime aborder des sujets chers à son coeur comme la question de la trans-identité et les droits de la communauté LGTQ+. Un très bon point même si on passe vite sur le sujet dans le roman. 







➤ Une série terminée.



Bref, je suis totalement passée à côté de cette lecture puisque je n'ai pas su m'attacher aux personnages et n'ai pas été attirée par la suite de cette aventure, somme toute prévisible. En tout cas, j'ai terminée une série cette année !




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