Critiques de Ecole biblique et archéologique française (20)
Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.
Euh LOL…
L’autre jour j’étais à l’enterrement de mon beau père, paix à son âme d’enculé, quand arriva le moment d’ennui absolu ou le cureton se met à parler de la personne décédée, tout jus-te après que je me dise que je me ferai bien sucer le soir venu… mon petit côté Patrick Sébastien certainement :
« Putain c’est génial… Et si on allait se faire sucer tiens »
Donc bon le cureton se met à blablater avec la voix de la tristesse qui raisonne dans nos cœurs :
« Mes frères, mes sœurs, nous sommes réunis ici aujourd’hui dans la tristesse devant la perte d’un être cher à notre âme, cet homme si bon et généreux… bla bla bala… et bien Jésus veille à présent sur lui et se joint à votre grande tristesse… bla bla bala… mais tout cela est provisoire, car nous serons bientôt tous réunis au paradis à ces côtés blabla bla…
(Je précise que jésus ne connaissait pas mon beau père, en tout cas je ne les ai jamais vu trainer le bout de gras ensemble...)
Euh excusez moi mais c’était quand même un putain de fils de pute le gars qui est mort hein, genre moi je suis le dieu de l’univers, je le fais pas rentrer ce mec, avec son CV qui tient sur une ligne :
« Parcours de la vie : J’ai servi à rien… »
De plus et pas des moindres, si je clamse, je préfèrerai cracher sur de la bonnasse moi plutôt que revoir les branlos d’antan…
Donc je me suis relu quelques extraits de la bible pour essayer de piger l’engouement mondial pour un gars qui se branle les couilles dans les nuages du libre arbitre avec papa, un peu tangui sur les cieux le barbu si vous voulez mon avis…
Sans déconner, les mecs ils ont été élus créateurs de l’univers, rien que ça, grosse pression, je sais pas, mais je n’ai pas le sentiment qu’ils prennent très au sérieux la situation de merde dans la quelle se trouve l’Afrique par exemple, continent à forte concentration de putains de grosses galères bien dégueulasses…
et j’en passe sur les petits enfants malades, la pédophilie, les viols, la torture, la barbarie…et pour les siècles des siècles…
Le livre le plus vendu du monde qui fait l’éloge de l’inceste, qui condamne un peu près tous les plaisirs de la vie, qui se concentre essentiellement sur quelques trouducs en soutane pas trop portés sur la joie de vivre… pas une fois il n’est fait mention d’une petite gâterie bien dégoulinante qui te foutre-ait de sacré bonne humeur pour aller p(r)écho la bonne chaudasse sur le coin de la table…
Bah non queue dalle, on ne s’encule pas chez les chrétiens, on prie le seigneur de punir les méchants et de donner à manger aux affamés… Mais là comme ça en regardant un peu la misère qui se profane autour de moi, je n’ai pas l’impression que ça marche fort de croiser ses doigts à genoux en fermant les yeux en chuchotant des trucs chiants à crever… par contre si vous voulez mon avis, si tu les sors de ton cul, les doigts (ou autre), alors il se pourrait queue tu éprouves un certain plaisir de tenter concrètement de raisonner les nombreux trous de balle qui peuplent notre belle planète bleue…
Alors j’ai été élevé dans la foi, avec prière du soir, que mémé casse burnes me culpabilisait la jeunesse, que je croyais dur comme ma teub un matin comme les autres que j’irai pas au paradis si je ne faisais pas bien mes devoirs… non mais sans déconner quoi, t’es sérieuse mémé… et c’est quand j’ai commencé la branlette que m’est venu l’idée saugrenu que jésus pouvait aller se faire enculé avec ses conneries sur la masturbation, sans déconner, la première fois ça t’électrise les jambes , t’es là à faire des va et vient comme un damné, que t’as le bout en forme de boudin, que tu respires presque plus, et enfin la jouissance de cette petite goute d’infamie qui vient se poser sur ton doigt de péchoueur de petits chattes bien moulées sur papier glacé, oh putain le délire de ouf…
comment que je m’en souviens bien de celle là, je l’attendais comme le messie un soir de famine dans les ruines de Syrie…
Après, bien après d’ailleurs, tu passes aux choses sérieuses… et là bon hein, c’est quand même bien la baise, faut pas se mentir, levrette, fellation, sodomie, je veux dire queue même si tu transpires, un truc bien sauvage ou ça bave de partout, ça a plus de gueule que de s’enfermer tout habillé dans un endroit sombre et froid, pour chanter tes louanges à un gars que t’as jamais vu de ta vie, qui n’aime pas les pédés, les femmes, les enfants, l’avortement, la branlette, et qui trainait en sandales la barbe au vent, pour finir cloué sur une planche en croix à 33 piges sa mère…
Au nom du père du fil et du sein esprit…
A plus les copains
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Que l'on soit croyant ou pas, la Bible est un livre hors du commun (LE livre le plus vendu dans le monde) et l'Ancien comme le Nouveau Testaments sont des sources culturelles indispensables et inépuisables pour bien comprendre toutes les références artistiques et culturelles de notre société judéo-chrétienne.
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J'ai lu le Coran, beaucoup de livres bouddhistes et un jour, j'ai réalisé que je n'avais toujours pas lu la bible. C'est un ouvrage qui m'interpelle sans arrêt, beaucoup de questions.Quand on dit qu'il y a plusieurs niveaux de lecture c'est vrai car à chaque fois que je la relis, j'y vois d'autres détails . C'est un peu comme le Petit Prince que je viens de relire mais à la puissance 10.
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Je n’écrirai pas de véritable critique sur le Nouveau Testament (non plus sur l'Ancien, parce que celui ci je ne l'ai pas encore lu), qui est un texte trop particulier, trop unique, trop sacré.
En revanche, j’aimerai partager la raison qui m’a poussé à le lire ; et ce n’est ni la croyance, ni une quelconque forme de spiritualité. J’ai lu le Nouveau Testament pour deux raisons : je voulais connaître la philosophie de Jésus et a fortiori la philosophie chrétienne ; je souhaitais comprendre les enjeux historiques de ce texte dans le développement de la civilisation occidentale.
L’expérience fut surprenante. Tout d’abord, le texte est bien plus facile à lire que ce que je pensais. Je suis conscient de l’existence de multiples niveaux de lectures, et je pense n’avoir aborder que les premières couches, mais ce fut sans trop de peine, et je dirais même avec enthousiasme. Cela est peut être dû à l’écriture des apôtres, à l’intelligibilité de l’ouvrage dans son ensemble ou aux multiples références que je redécouvrais au fil des pages.
Je parlerai à présent de Jésus et de ses discours.
Je n’aurais jamais imaginé Jésus aussi radical dans ses messages d’amour, de passivité face à la violence, et de rejet de la richesse. Ainsi, le Christ est celui qui enseigne de tendre l’autre joue, de céder sa tunique, d’aimer et de prier pour nos ennemis, mais qui affirme aussi qu’il est « plus facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume des Cieux » … Jésus peut se montrer très doux (épisodes de la Samaritaine, de la femme au parfum, de la femme adultère, des guérisons…) et à d’autres occasions carrément violents (Jésus fouette les marchands du Temple de Jérusalem, « Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre : je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive » ; parabole du Roi : « Quant à mes ennemis, ceux qui n’ont pas voulu que je règne sur eux, amenez-les ici et égorgez-les devant moi. »).
L’autre personnage majeur du Nouveau Testament est bien sûr Saint Paul, presque aussi passionnant que le Christ. On remarque d’ailleurs une certaine dérive du message du Nouveau Testament entre les discours messianiques et les épîtres de Saint Paul (mais aussi des autres apôtres). Ainsi, c’est ce dernier, contre le Christ, qui déclare la femme inférieure et soumise à son mari, qui condamne l’homosexualité, qui promeut le célibat à vie, qui discrédite la philosophie et la « sagesse des hommes », qui affirme que « tout pouvoir vient de Dieu », qui pose la croyance dans le Messie comme condition sine qua non pour le salut, indépendamment des actes… Cette différence est cruciale et doit être relevée, considérant le rôle fondateur de Paul dans la religion chrétienne.
J’ai donc étonnement beaucoup apprécié ce texte sacré, qui délivre non seulement une philosophie révolutionnaire dans l’histoire des idées et très pertinente, mais qui présente aussi les fondements idéologiques de notre civilisation.
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Qu'écrire sur un tel livre? Dieu crée tout, puis il choisit son peuple, qui, mille fois, le renie, et que, mille fois, il punit. Le cycle semble sans fin. Les lois sont sans cesse réaffirmées, et sans cesse transgressées, malgré les visions terribles des prophètes, les chants menaçants des psaumes et le mauvais exemple des rois impies. Cercle vicieux? Peut-être, ou naissance dans la douleur de l'idée bizarre qu'il n'y a qu'un seul Dieu et que tout le reste est usurpation. Le cercle est brisé par le Christ, porteur des péchés de tous, agneau sacrifié, qui met fin au règne de la loi pour lui substituer celui de la foi, et de l'amour. Tout se termine dans une apocalypse qui, bizarrement, fait très "Ancien Testament", comme si rien n'avait vraiment changé dans l'esprit des hommes qui croient au Dieu unique de la Bible. En dire plus? Sans doute, mais tout a déjà été dit par tous, parce que ce livre, le roi des livres, contient tout et son contraire, preuve peut-être qu'il est de mains d'hommes et que Dieu, s'il existe, ne parle pas.
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Quelques longueurs, un style souvent très lourd (surtout l'ancien testament), il doit y avoir plusieurs auteurs ou bien a-t-on utilisé des nègres car il n'y a pas vraiment d'uniformité dans le style.
Bon allez j'ai fini de faire mon iconoclaste, c'est une bonne lecture à méditer et ça reste une référence tout de même
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Un an. Il m'aura fallu un an pour lire l'intégralité de l'Ancien Testament, c'est-à-dire sa quarantaine de livres, à raison de quelques passages chaque soir. Je me suis référé, à cet effet, à un plan de lecture trouvé sur Internet, qui s'efforce de présenter avec un ordre chronologique cette histoire dite sainte. "Histoire sainte", non pas parce que ses personnages sont saints, mais parce que Dieu a écrit l'histoire.
Cet ouvrage universel, un best-seller, qui relate l'histoire du peuple élu jusqu'à la naissance de Jésus -le Nouveau Testament prenant le relais au-delà- n'est pourtant pas d'une lecture facile. Certes, il inclut une dimension historique, mais il comporte aussi des livres relatifs au domaine de la loi, à celui de la poésie et aux prophéties.
Relèvent de la partie historique, les livres de Josué, des Juges, de Ruth, de Samuel, des Rois, des Chroniques, d'Esdras, de Néhémie et d'Esther. Ils relatent l'histoire du peuple d'Israël : l'occupation de la terre promise, sa scission en deux royaumes à la mort du roi Salomon, leur chute, la déportation à Babylone pendant 50 ans et le retour d'exil ; le tout avec des précisions sur les dates, les lieux et les personnages, notamment leur filiation.
Relèvent du domaine de la loi les cinq livres que les chrétiens appellent "Pentateuque" et que les juifs appellent "Torah" : ceux de la Genèse, de l'Exode, du Lévitique, des Nombres et du Deutéronome.
Relèvent du domaine de la poésie les livres de Job, des Proverbes, de l'Ecclésiaste, de Siracide, de la Sagesse, du Cantique des Cantiques, ainsi que les psaumes, ces 150 prières que le peuple d'Israël adressait à Dieu sur tous les tons, de l'action de grâce (Ps 137) à la supplication (Ps 85), en passant par la colère (Ps 12).
Relèvent, enfin, des prophéties, celles des prophètes "majeurs" (Isaïe, Jérémie, Lamentations, Ezéchiel, Daniel), et celles des prophètes "mineurs", dont les textes sont plus courts, mais pas moins importants.
Il y aurait tant à dire sur une telle oeuvre. Je me limiterais à trois points.
1. Les annonces multiples de ce qui va advenir : les prophéties. Tant les psaumes que d'autres livres, surtout Isaïe et Ezéchiel annoncent ce qui va se passer ultérieurement. Soit plus tard dans l'Ancien Testament (exemple du chapitre 20 du livre de Jérémie prophétisant la déportation d'Israël à Babylone, de même que le chapitre 6 - verset 7 du livre d'Amos, qui annonce, en plus, le retour d'exil ch.9 ; v.14) ; soit dans le Nouveau Testament (exemple en Isaïe ch.7 ; v.14 : prophétie de la Vierge enceinte qui enfantera L Emmanuel ; autre exemple au psaume 33 - v.21 : "Il veille sur chacun de ses os : pas un ne sera brisé"). Il existe beaucoup d'autres passerelles entre les deux testaments.
2. L'infidélité du peuple élu, qui s'oppose à la fidélité de Dieu. Ainsi, le deuxième livre des Rois est une énumération de méfaits, ponctués du constat "Il fit ce qui est mal aux yeux du Seigneur". Et pourtant, tout au long du long récit qu'est l'Ancien Testament, Dieu fait régulièrement se lever un chef qui remet le peuple dans le droit chemin. On pense bien sûr aux figures majeures que sont Abraham, Moïse et Noé, mais aussi aux rois Saül, David et Salomon et à tant d'autres moins connus. En dépit du comportement de son peuple qui se détourne de lui, Dieu honore ses promesses.
3. Des expressions et des personnages passés dans le langage courant. L'Ancien Testament regorge en effet d'expressions dont on ignore aujourd'hui qu'elles y trouvent leur origine. Par exemple : le "bouc émissaire" (Lévitique, chapitre 16, versets 16 à 22) ; "Bien mal acquis ne profite jamais" (Proverbes 10 ; 2) ; " Il ment comme il respire" (Pr. 13 ; 5) ; "Rien de nouveau sous le soleil" ( Ecclésiaste 1 ; 9) ; "Ravitaillé par les corbeaux" (1 Rois 17 ; 4).
La Bible tire son nom du mot grec Biblos, qui signifie Livre : la Bible est ainsi le livre par excellence. Ce qui est vrai de l'Ancien Testament est vrai aussi pour le Nouveau. Mais cela dépasse le cadre de la présente critique. Et les quatre évangiles valent bien une critique dédiée.
En revanche, une fois n'est pas coutume, je n'attribue pas d'étoile, la Bible étant hors catégorie selon moi.
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Pour cet ouvrage universel qui est à la base de la foi chrétienne, il n'est pas vraiment adapté d'écrire une critique. Mais on peut s'essayer à mieux comprendre les textes qui le composent en choisissant l'ordre dans lequel on va les lire ou les relire.
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On ne peut pas critiquer la Bible ,on l'a lit tout d'abord .
Elle s'adresse à tous les humains , on adhère ou pas, amis au moins une fois dans sa vie , il faut la lire .
Vous allez rencontrer des textes qui vont vous révolter , des textes apaisants , plein d'amour , et d'espoir .
Je ne l'a critique pas , je l'aime .
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Très bon mais je crois que je préfère encore la TOB !
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Trop de préchi-précha je vais remettre ce p'tit bouquin fleuve à sa place : même pas signé, des plagiats, de rares passages croustillants. Amour et jalousie à fond la caisse, mais le personnage central semble dépassé par les évènements.
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La bible de Jérusalem est la bible de référence non seulement pour les croyants (catholiques) mais aussi pour ceux qui voudraient améliorer leur connaissance des mythes bibliques pour, par exemple, mieux comprendre notre histoire de l'art. Je me classe dans cette dernière catégorie, aussi je vois en l'oeuvre un recueil de mythes similaire à l'Iliade ou l'Odyssée. C'est à cet aune que j'écris ce commentaire.
Il y a dans cette bible deux types de notes: on trouve des notes placées en marge, qui interprètent systématiquement le texte en le mettant en relation avec la vie et le message de Jésus. Par exemple, sur le passage relatif à la Tour de Babel, on peut lire: "(...) de peur que le dessein de l'homme ne le conduise à partager l'éternelle damnation du Diable, Dieu disperse en lui l'image et l'expression du Verbe, pour mieux les réunir dans la personne du Christ (...)". La seconde catégorie de notes est repoussée en fin de chaque livre. Ce sont des notes critiques, celles qui intéressent l'historien. C'est là que vous apprendrez que la tour de Babel a été identifiée comme la Ziggourât de Babylone, dont Hérodote, au Veme siècle, avait également rapporté l'existence. Il y en a donc pour tous les goûts même si j'aurais préféré voir ces notes scientifiques placées plus commodément. A noter également l'existence d'excellentes introductions à chaque livre, relatant les origines putatives du texte ainsi que son évolution au gré des caprices de l'histoire et des hommes.
Je trouve que la langue est agréable et n'est pas aussi rebutante qu'un lecteur l'a laissé entendre. Certes, il faut s'attacher un peu aux mots et la lecture s'en trouve ralentie.
Mon principal reproche est contenu dans le titre de ce commentaire : cette édition de la Bible est peu maniable et il est quasiment impossible de l'emmener hors de chez soi. Si votre principal souhait est de vous armer d'une bible pour pouvoir admirer les cimaises d'un musée, il vaut mieux vous résoudre à acheter une édition de poche, en sacrifiant à la maniabilité et au faible encombrement le nombre et la pertinence des notes.
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Il me semble déplacé que les critiques considèrent la Bible dans son ensemble et tiennent celle-ci en particulier comme l'unique référence en la matière.
Il ne s'agit pas d'un livre comme les autres et les inepties fleurissent volontiers dans le terreau de l'ignorance, arrosé par des flots de préjugés...
Pour ma part j'ai apprécié cette traduction que je trouve fidèle et j'ai particulièrement apprécié l'emploi du Nom divin.
En revanche je trouve les notes sans grand intérêt et parfois fallacieuses.
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Je ne lis pas la bible d'une traite... Elle est un livre de chevet, j'aime me plonger autant dans les histoires de l'ancien comme du nouveau testament.
Mais plus que tout, ce sont les enseignements, la profondeur des psaumes, ou la lecture de l'ecclesiaste que j'aime retrouver.
Le roi Salomon a ma préférence pour sa sagesse dans l'ancien testament.
J'aime aussi me plonger dans l'évangile de Marc, ou de Pierre...
Cet écrit est un puits de connaissances sans fin à méditer...
Je lis également parfois les apocryphes, c'est du même ordre
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Cela ne veut dire "critiquer la Bible" !
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Excellente traduction, même si déjà un peu ancienne. Le vocabulaire colle le plus possible à l'hébreu et au grec sans pour autant tomber dans le littéralisme.
Les notes sont fouillées, précises, très intéressantes tant au point de vue historique que théologique .
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Ce livre est une merveille et une supercherie, à découvrir et aimer comme une fiction, rien de plus. Je ne l'ai hélas compris que très tard. Et désormais, il m'est impossible de l'aimer tant il me rappelle, à chaque page, que je l'ai pris durant si longtemps pour la Vérité.
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Il ne faut surtout pas passer à côté de la Parole de Dieu ! C'est un livre à avoir constamment sous la main, à lire et méditer sans cesse pour trouver vie et salut, ici-bas et éternellement.
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Une formidable compagne de voyage...
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