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Critiques de Hasteda (39)
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Horseback 1861

Horseback 1861 est le premier western édité par Ankama dans le Label 619. Porté par Hasteda à l'écriture et Nikho aux dessins qui livre ici sa première bande dessinée.



Attendu avec beaucoup d'impatience, j'ai été plutôt déçu du titre. A la fois par le scénario et par les dessins.

Le scénario est trop brouillon par moment et manque principalement d'une ligne directrice à mon goût. Un sentiment de confusion lors de ma lecture, de manque de clarté sur ce que voulait raconter l'auteur. On retrouve les codes du western dans l'ambiance, mais je ne les retrouve pas dans les personnages. Ces derniers qui sont souvent l'âme du genre à mon goût.



Pour les dessins, connaissant le style de Nikho et son style de colorisation, je n'ai pas été surpris. J'ai retrouvé ses points forts sur certaines pages (avec des cases somptueuses) et ses défauts sur d'autres (des cases moins lisibles et des problèmes de proportions par moment). Il faut tout de même reconnaître qu'une première BD n'est jamais évidente.



Horseback n'est pas une mauvaise lecture, juste un flop à mon goût. Mais je ne serai pas surpris qu'elle trouve son public et ses fans.
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DoggyBags One-Shot : Mapple Squares

Un dessin torturé et sombre pour une Bd qui ne l'est pas moins Une fois passé le choc des traits volontairement hallucinés et grossiers des personnages, illustrations de leur folie intérieure, j'ai été happée par l'histoire, passionnante, sanglante On y entre comme dans un de ses cauchemars qui, on le sait, va mal finir et dont on est incapable de détourner le regard

Le scénario est efficace, troublant avec ses flash-backs et cette voix d'outre-tombes qui nous raconte l'histoire

le dessin est digne de vos pires cauchemars. Il accentue le côté dérangé, dérangeant, psychotique du récit.
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Doggybags One-Shot : Mapple Square

Ce comic arrive à point nommé pour Halloween : des monstres sordides, du sang, du paranormal, etc… Tout ce qu’il faut pour donner des frissons.

Un duo, aux allures de Murder & Scully, part à la recherche d’un politicien disparu et arrive dans un village, Mapple Square. Vous le devinez, cela va mal finir.



Je suis complètement novice dans la série DoggyBags, cette série de 13 albums existe depuis 2011, mais je n’ai lu aucun. Celui-ci est un “one-shot” et c’est le côté X-Files qui m’a intrigué, pour compléter, ajoutez une pointe de R.L. Stine, et vous aurez une bonne idée de ce que vous réserve ce volume.



Attention âme sensible s’abstenir, les auteurs jouent avec les images trash et gores ! Plus on avance dans l’intrigue plus on plonge dans la folie. En refermant le livre le soir, j’avoue que j’avais envie d’aller vérifier si la porte était bien fermée… Même si on le sait tous que dans ces cas-là, ça ne les arrête pas vraiment.



Cet album est rempli de petites références et fera le bonheur de ceux qui aiment ce style !


Lien : http://pause-the.blogspot.com/
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Doggybags, tome 7

C’est du bon, que du bon, mais c’est toujours à ne pas mettre dans toutes les mains. Avis aux amateurs de gore et de frissons !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Frank Lee : L'après Alcatraz

Des dessins magnifiques avec une mise en couleur qui donne toute la puissance de ce roman graphique.

Des dialogues cours et percutant, une documentation enrichie, au début et à la fin du livre, pour mieux comprendre l'histoire et l'importance de cette évasion.

Bien plus que l'histoire d'un homme, c'est l'histoire d'un destin. Félicitation aux auteurs pour la mise en avant de la vie de ses hommes.
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Horseback 1861

Il était une uchronie dans l’Ouest…



Si on met de côté Six-Gun Gorilla qui n’en est pas vraiment un, Horseback 1861 est le premier véritable western publié par Ankama…



Après avoir signé plusieurs courts récits dans les jubilatoires Doggybags, David Hasteda nous propose un western spaghetti uchronique jouant brillamment avec les codes du genre…



Remarquablement mis en musique par le trait anguleux et les couleurs lumineuses de Nikho qui fait montre de sa virtuosité avec ce premier album, ce western rythmé et percutant ravira les amateurs du genre…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
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Doggybags, tome 11

Un très bon tome.

j'ai adoré la première histoire, une sorte de remake des dents de la mer avec une fin grinçante à la doggy bags.

la 2eme histoire a une chute amusante mais j'ai franchement préféré la nouvelle de Tanguy Mandias sur le même thème avec une chute aussi inattendue que savoureuse.

la dernière histoire mélange vaudou et golem vengeur.

Ce tome bénéficie de bonus sur les requins, le vaudou et les films de Zombies. J'ai bien aimé le quizz sur les zombies, le Mutafukaz en mode Zombie avec la méthode très originale du personnage pour se déplacer sans se faire voir des autres zombies. Quand au top 10 des durs à cuire, ils sont bluffants!!

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Doggybags, tome 7

Un très bon volume avec trois histoires punchy, une qui offre une critique de la guerre et de la folie humaine, et deux autres qui traitent de légende urbaine. la première histoire est vraiment un scénario coup de poing et la documentation qui tourne autour des faits divers qui l'ont inspiré est vraiment glaçante.



La chute de Lupus n'est pas banale et presque drôle, ou plutôt tragiquement drôle.



Quant à l'histoire du Wendigo, elle clot avec brio ce volume..



un des meilleurs que j'ai pu lire.
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Doggybags One-Shot : Mapple Square

Je suis une grande amatrice des Doggybags, grâce à leurs formats originaux, aux histoires sombres et aux dessins toujours très stylés. Mais je vous l’annonce immédiatement, le one-shot m’a déçu. Dans une bourgade du Nebraska, l’usine de bonbons Mapple Squares a laissé la place à un asile pour malades très dangereux. Crimes et disparitions sont au menu et deux agents du FBI à la dégustation.



J’ai aimé le graphisme, les références nombreuses, les criminels très différents ainsi que l’histoire autour de l’asile. Par contre, j’ai parfois rien compris. Perdue entre les histoires parallèles et les changements de temporalité. J’ai aussi trouvé que c’était un peu too much. D’accord pour les litres d’hémoglobine, les crimes sanglants et les personnages répugnants. Moins d’accord pour les clichés, les passages misogynes et les retournements de situation un peu attendus.



Je pense que certains aspects auraient pu être approfondis et l'histoire aurait gagné en qualité avec moins de clichés du genre. Je ne peux pas dire que c'est une lecture qui m'a marqué, et je n'ai pas trouvé ça au niveau des recueils. Dommage !
Lien : https://ninaalu.wordpress.co..
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Doggybags, tome 11

Après un dixième tome plutôt décevant, j’attendais ce onzième volet de pied ferme. Force est de constater que cela démarre plutôt bien avec une superbe couverture signée Ed Repka. Puis, le lecteur a de nouveau droit à trois histoires courtes d’une trentaine de pages chacune, qui rendent hommage au cinéma Grindhouse des années 60-70.



La première (Carcharodon), signée David Hasteda et Ludovic Chesnot, propose une expédition en mer qui tourne forcément mal. En proposant de suivre un groupe de jeunes en mal de sensations fortes, qui rêvent de voir des requins de près, David Hasteda livre un récit classique au déroulement assez prévisible. Le dessin de Ludovic Chesnot contribue à insuffler beaucoup de dynamisme à l’ensemble, même si j’avais parfois du mal à distinguer ce qui se déroulait dans les cases.



La seconde histoire (Sagrado Corazon), imaginée par Valérie Mangin et mise en images par Loïc Sécheresse, invite à suivre un jeune truand qui échappe de justesse à un règlement de compte entre gangs rivaux. Afin de se mettre définitivement à l’abri de cette vendetta, il trouve refuge dans un petit bled mexicain uniquement composé de femmes. Une petite mise au vert qui sent bon le paradis, mais qui tournera inévitablement au cauchemar… Doggybags oblige ! Un récit sympa au dessin efficace !



Le dernier récit (Prizon), signé David Hasteda et Baptiste Pagani, se déroule dans un univers carcéral, saupoudré d’une bonne dose de vaudou. Une prison de haute sécurité se retrouve en effet assiégée par une foule en colère, qui réclame la tête d’un prisonnier soupçonné d’avoir tué une enfant. La tension monte au fil des pages et lorsqu’une prêtresse vaudou se joint aux manifestants, l’émeute vire très vite vers au carnage… Une histoire efficace, admirablement bien servie par la mise en images de Baptiste Pagani.



Si ce onzième volume de Doggybags propose à nouveau trois scénarios bien trashs et sans concessions, qui mêlent violence, horreur et une bonne dose d’hémoglobine, le lecteur a également droit à une nouvelle (Annie) de Tanguy Mandias et à un mini-récit de Run qui met en scène les héros de l’excellente saga « Mutafukaz ». Pour le reste, l’ambiance est à nouveau soignée jusque dans les moindres détails, de la maquette du livre au style rétro, en passant par les fausses publicités, un poster détachable en fin d’ouvrage… et même un sticker offert gratuitement.



Un bon tome et une excellente saga se terminera malheureusement après treize numéros…
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Frank Lee : L'après Alcatraz

3 Détenus se sont évadés et le système carcéral américain en tremble encore. Mais ici on ne va pas revenir sur l'exploit réalisé par le trio emmené par Frank Lee, on va revenir sur l'après évasion.

Sur ces peurs qui peuvent ronger le quotidien, cette difficulté à se réinsérer dans la société avec un sentiment que chaque regard est porté sur nous.

Le titre est très sympathique et est surtout porté par des dessins superbes et des couleurs qui viennent éblouir les décors et les paysages.

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Horseback 1861

C'est rare que je lâche la lecture d'une bd, encore plus d'un western... Mais mais là je n'ai vraiment pas pu tenir.

La couverture est magnifique, mais je n'ai finalement pas accrocher aux dessins et a la colorisation des plus particulières mais surtout peu clair. Un vrai manque de lisibilité.

Quand au scénario là aussi c'était confus pour moi. L'idée de cette uchronie est excellente mais lorsque j'ai refermé le livre au 3/4 de la lecture je n'étais toujours pas accroché par l'histoire de notre troupe de personnages.

Dommage. Déçu est le mot qui correspond le plus a mon sentiment de cette lecture car j'en attendais beaucoup, peut être trop.
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Horseback 1861

Pour cette BD, je me suis laissé attirer par une couverture ultra agressive et la promesse d’un western sans concession. Et Horseback 1861, c’est exactement ça. Hasteda au scénario situe son action dans une uchronie où les indiens ont fait front commun et se retrouve en guerre contre les colons, une guerre plus équilibré entre les parties. Les dessins de Nikho sont dans la veine de le couverture avec parfois moins de détails dans le trait.



J’ai aimé ce western. Horseback 1861 a tous les ingrédients du genre. Le scénario a du sens auxquels les personnages donnent du corps. Honneur et filouterie, on est prit dans un inextricable voyage, dans ce convoi hors norme, enjeu de tant de menace pour l’avenir.



Nikho se lâche graphiquement. J’ai bien aimé la simplification du traits s’agissant des scènes dures comme une balle dans la tête par exemple. Ça allège la violence intrinsèque de cet univers sans concession. Une réussite.
Lien : http://livrepoche.fr/horseba..
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Doggybags, tome 7

Après un sixième volet particulièrement décevant au niveau du scénario et qui ne proposait plus trois histoires indépendantes, mais trois actes d’un même récit, co-scénarisé par Céline Tran (mieux connue sous son pseudonyme de star du porno : Katsuni) et l’incontournable Run et chacun dessiné par un artiste différent, ce septième tome revient à la formule de base de cette saga en proposant trois nouvelles histoires courtes d’une trentaine de pages chacune, qui rendent hommage au cinéma Grindhouse des années 60-70.



À l’inverse du tome précédent, qui s’articulait autour d’une chasseuse de vampires aussi sexy que sanguinaire, assouvissant sa vengeance au sein de l’industrie du sexe américain, celui-ci part à nouveau dans tous les sens. Au menu de ce septième volume de Doggybags : une fête organisée en l’honneur d’un soldat revenu d’Irak qui tourne mal dans le fin fond du Texas, un relais routier en Roumanie où les cadavres se multiplient et une traque au monstre dans les montagnes ontariennes. Le lecteur a donc droit à trois histoires bien trashs au cœur de contrées hostiles : des scénarios sans concession qui mêlent violence, humour bien macho, sexe et beaucoup d’hémoglobine.



Ca démarre fort avec « Welcome home Johnny » car l’on retrouve Run au scénario, accompagné de l’excellent François Amoretti au dessin. Le lecteur y suit les pas d’un soldat qui revient dans son village natal après une mission en Irak. La fête donnée en son honneur tourne cependant au bain de sang lorsque Johnny avoue être contre le conflit en Irak. Le petit texte introductif de Run spoile malheureusement un peu trop le dénouement du récit, mais cette histoire librement inspirée d’un fait-divers est particulièrement efficace. Elle démontre une nouvelle fois toute la bêtise humaine, dont on a droit à un beau concentré en plein territoire redneck.



La seconde histoire (Lupus), signée Hasteda et Mégaboy, propose un huis-clos sanglant au sein d’une une aire de repos où plusieurs chauffeurs routier se retrouvent bloqués suite à un accident. Cette petite halte forcée, entourée d’une faune hostile au milieu des Carpates, tourne très vite au cauchemar. Cette aventure joue pleinement la carte de l’action et ne laisse que peu de moments de répit au lecteur. Les dessins manquent certes encore de régularité, mais les planches proposées par Mégaboy sont néanmoins extrêmement dynamiques et insufflent beaucoup d’énergie au récit.



Le dernier récit (Wintekowa), signé Hasteda et Mathieu Bablet, invite à suivre les pas de Tom Longley, un père de famille bien déterminé à traquer la créature qui a emporté son fils il y a cinq ans. Cette histoire démarre plus lentement mais gagne en intensité au fur et à mesure que le chasseur se rapproche de sa proie. L’affrontement final ne tient malheureusement pas vraiment ses promesses et le dénouement est un peu prévisible.



Pour le reste, l’ambiance est à nouveau soignée jusque dans les moindres détails, de la maquette du livre au style rétro et usé de l’ensemble, en passant par les fausses publicités, un poster détachable en fin d’ouvrage, les mini-coupons à découper ou ce vrai-faux courrier des lecteurs, qui sont insérés avec minutie dans l’album, rappelant le bon souvenir des vieux comics underground.



Bref, un septième épisode de bonne qualité, qui ouvre la porte à quelques nouveaux-venus au sein du neuvième art.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Frank Lee : L'après Alcatraz

L’album est un vrai thriller dont le héros au quotient intellectuel très élevé va réussir ce qui restera un acte unique dans les archives d’Alcatraz.
Lien : https://www.ligneclaire.info..
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Horseback 1861

Un one-shot détonnant et sans concession, à découvrir rapidement dans la collection Label 619 d'Ankama.




Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Horseback 1861

Horseback 1861 est un récit pulp et sans prise de tête, ouvrant les portes d’un univers intéressant et d’une ambitieuse uchronie. Malheureusement, le récit est mis à mal par une écriture sans finesse et des dialogues manquant de justesse. Un bilan en demi-teinte rehaussé par les dessins énergiques et expressifs de Nikho.
Lien : https://www.lescomics.fr/rec..
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Doggybags One-Shot : Mapple Square

À l’image des albums précédents du collectif, les planches sont truffées de références cinématographiques et entrecoupées de documents portant sur les inspirations des auteurs. Mais malgré leur capacité à en jeter, ces jeux d’ambiance pèsent malheureusement bien trop sur l’intrigue qui tarde à décoller réellement. Et ce, malgré un surprenant retournement de situation et une construction chronologique habilement menée.
Lien : http://www.bodoi.info/mapple..
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Doggybags One-Shot : Mapple Square

Après le très bon collectif « Midnight Tales » de Mathieu Bablet, paru en mai, voilà « Mapple Squares », le premier one shot (récit complet) avec lequel David Hasteda et Ludovic Chesnot inaugurent la collection éponyme : 160 pages nerveuses en coup de poing.
Lien : http://bdzoom.com/132696/act..
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