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2.76/5 (sur 308 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Liverpool , le 15/12/1974
Biographie :

Lisa Hilton est une écrivaine britannique de livres d'histoire, de fiction historique, d'articles pour des magazines et des journaux, notamment Vogue et The Sunday Telegraph, librettiste et comme L.S. Hilton, thrillers psychologiques "Maestra", "Domina" et "Ultima".

L.S. (Lisa) Hilton a grandi en Angleterre et a vécu à Key West, New York, Paris et Milan pendant huit ans.

Après avoir obtenu son diplôme à Oxford, elle a étudié l'histoire de l'art à Paris et à Florence.

Journaliste, elle a collaboré avec plusieurs journaux et magazines notamment The Spectator, The Times Literary Supplement, Literary Review, Vogue, Tatler, Elle, The Sunday Telegraph. Elle a été également critique d'art et présentatrice.

Passionnée par Françoise-Athénaïs, marquise de Montespan, elle est auteur d'une biographie, "Athénais: The Real Queen of France" (2002), traduit en français sous le titre "Athénaïs de Montespan".

Traduit dans 35 pays et déjà en cours d'adaptation par la productrice de Millénium et la scénariste de La fille du train, "Maestra" (Robert Laffont 2016) est le premier volet d'une trilogie noire et érotique.

Lisa Hilton vit actuellement à Londres avec sa fille.

son site: http://lisa-hilton.com/
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Bibliographie de L. S. Hilton   (4)Voir plus

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Extrait de "Ultima" de L.S. Hilton lu par Caroline Klaus. Editions Audiolib. Parution le 15 mai 2019 en téléchargement. Pour en savoir plus : https://www.audiolib.fr/livre-audio/ultima-maestra-livre-3


Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
À Venise, il y a toujours un moment de la journée où la ville est entièrement faite d'argent. Alors que le tout dernier rayon du crépuscule glisse sous la lagune, la pierre et l'eau se confondent dans une gravure à l'eau-forte, aux reflets miroitants d'étain, de noir argenté et d'or blanc. Il faut être attentif, le guetter, mais c'est le moment qui reflète le mieux l'identité et le mystère de la ville.
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[...] Une armure ne protège véritablement que si elle est invisible [...]
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— Tu vas l'épouser ?
— Carrément. On s'est fiancés quand je suis tombée enceinte l'année dernière, mais il a déjà six gosses de son ex, alors il m'a fait avorter.
J'ai touché la peau chaude de son épaule avec compassion.
— C'est terrible. Je suis désolée.
Elle a mordu sa lèvre inférieure qui débordait presque de collagène.
— Merci. Mais j'ai eu droit à un appart' à Eaton Place après l'aspiration, donc c'est pas si mal.
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S'il y a bien une chose que ma condition de femme m'a apprise, c'est celle-ci : dans le doute, joues les ingénues .
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J'étais riche, j'étais indépendante, j'étais libre, et j'étais ici. De mon plein gré, en tant que professionnelle. N'étais-je pas la preuve vivante que si on croit en soi et qu'on suit son rêve on peut arriver à tout ? Bon, mieux valait ne pas s'attarder sur les preuves qui avaient passé l'arme à gauche. Tout ce qui comptait, c'était le pouvoir de l'instant présent, et le mien. Le passé était inutile, Proust et l'infusion de tilleul de sa tante pouvaient aller se faire foutre. Dans la salle de bains, j'ai fait couler de l'eau froide sur mes poignets, avant de prendre une douche et de changer de vêtements, de nettoyer mon visage et d'attacher mes cheveux en un chignon strict. J'avais déjà parcouru tout ce chemin, et il allait falloir plus que le souvenir d'un parfum pour me déstabiliser. Il était temps de se mettre au travail.
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J'ai continué ce petit jeu un moment, mais je n'avais aucun moyen de savoir s'il était excité ou non ; son visage était cramoisi depuis qu'on avait déjeuné au soleil. Je l'ai fait rouler sur le dos, j'ai délacé mon caraco pour qu'il voie mes seins et j'ai manœuvré jusqu'à ce que mon visage se retrouve au-dessus de son entrejambe, le cul en l'air positionné de façon qu'il voie ma chatte par la fente de la petite culotte. Sa queue était minuscule, un petit bout de chair de cinq centimètres qui dépassait d'un épais coussin poilu. J'avais mis une capote dans ma sandale, mais je ne voyais pas comment j'allais la lui enfiler, ni comment lui pourrait m'enfiler – Dieu merci, mais bon, il allait bien falloir qu'il prenne son pied quand même.
— Est-ce que tu mérites de jouir, vilain garçon ?
— Oui, s'il vous plaît !
Clac.
— S'il vous plaît qui ?
— S'il vous plaît, maîtresse !
— Et qu'est-ce que tu veux ?
Il a encore fait cette moue, puis s'est mis à zozoter, encore plus dégoûtant.
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Qu’aurait ressenti Cendrillon si, enfin arrivée au bal, elle s’était retrouvée dans une soirée d’agence immobilière ? Les énorme bougies en pot Jo Malon ne suffisaient pas à masquer l’odeur âcre des rots de champagne. Des centaines de mecs au teint terreux et mal fringués étaient massés autour de l’open bar, frétillants comme des mormons lâchés dans Atlantic City.
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Allongée là, le souffle profond, une jambe tombée par terre, je sentais mon clitoris humide qui palpitait encore. C’est ça, le vrai pied, pour moi. Pas seulement le plaisir de la chair, mais le sentiment de liberté et d’invulnérabilité que je retirais à me faire écarter les cuisses et baiser par un parfait inconnu…»
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S'envoyer en l'air peut être un plaisir sans complication, aussi ancestral et élémentaire que le goût du sel et de terre d'une olive, ou qu'un verre d'eau fraîche après une longue marche dans la poussière. Alors pourquoi dire non ? La monogamie, c'est bon pour les physiques quelconques.
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Il existe un procédé appelé l'anamorphose . On peint un objet de biais, de façon à ce que sa véritable identité ne se révèle à nous que lorsqu'on voit le tableau du bon point de vue . L'exemple le plus célèbre est sans doute le tableau d'Holbein "Les Ambassadeurs , dans lequel une tache blanche qui figure au premier plan devient un crâne humain . Il y a un endroit à la National Gallery , à droite du tableau , où l'usure du sol est visible , là où il faut se tenir pour voir le procédé à l'oeuvre .
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