Citations de Le Petit Futé (39)
Les Emirats sont au nombre de 7 avec chacun leur univers : Abu Dhabi, Dubaï, Sharjah, Ajman, Ras al-Khaïmah, Umm al-Quwain et Fujairah sur le golfe d'Oman. En quelques années, Dubaï est devenu un passage obligé et Abu Dhabi rattrapera bientôt sa rivale. Les architectes du monde entier y rivalisent d'audace avec de grands projets comme le Burj Al Arab, la plus haute tour du monde, les îles artificielles les Palm Islands et The world, ou encore les musées du Louvre et du Guggenheim d'Abu Dhabi. Les sports et les divertissements sont ici à l'honneur. On ira skier au Ski Dôme de Dubaï, avant de faire de la plongée dans les eaux chaudes du Golfe Persique, du shopping dans les souks ou les grands malls.
Préface :
« Pour tous les particuliers, ouvrir les portes de son jardin, c’est un peu comme laisser son journal intime sur le banc d’un square. »
Alain Richert.
Tout homme est tiraillé entre deux besoins. Le besoin de la Pirogue, c’est-à-dire du voyage, de l’arrachement à soi-même, et le besoin de l’Arbre, c’est-à-dire de l’enracinement, de l’identité.
Les hommes errent constamment entre ces deux besoins en cédant tantôt à l’un, tantôt à l’autre jusqu’au jour où ils comprennent que c’est avec l’Arbre qu’on fabrique la Pirogue.
Oslo, capitale de la Norvège est une ville verte, étreinte par son fjord, nichée au sein de majestueuses forêts. Elle est assurément une des capitales les plus agréables au monde. Ville bien ancrée dans le quotidien, les vestiges de son histoire n'en sont pas moins absents. Le musée Kon-Tiki célèbre la grandeur de l'empire viking, la forteresse d'Akershus retrace la gloire des rois scandinaves et le courage de la résistance norvégienne pendant la Seconde Guerre mondiale. Quant aux musées de Munch, Vigeland (Gustav et Emanuel) et Ibsen, ils mettent au jour les génies de leur époque dans toute leur splendeur. Le centre-ville, et notamment Karl Johans gate, a conservé comme sur papier glacé les héros de naguère : nombre de restaurants et cafés anciens semblent figés dans le temps. La ville garde les empreintes de cette période sombre où Christiania était danoise ou suédoise et lève fièrement la tête en tant qu'Oslo, capitale norvégienne. Ville multiculturelle (on peut visiter le remarquable musée Interculturel), Oslo promet de jolies surprises et de belles rencontres, à tous les coins de rue... ou dans une assiette ! N'hésitez plus, partez à sa rencontre !
L’architecture canarienne traditionnelle résulte d’un incroyable mélange d’influences andalouses, galiciennes, portugaises et sud-américaines. On en trouvera des marques sur l’île de Lanzarote mais sa particularité réside surtout dans la marque laissée par Cesar Manrique, l’enfant du pays. Son objectif : une architecture contemporaine revendiquant les ressources naturelles et la tradition locale et faisant la part belle à la circulation de la lumière.
En 1312, le Génois Lancelot Maloisel, appelé Lanzarotto Malocello par les Espagnols, débarqua sur l'île. Elle deviendra ensuite Lanzarote. Par la suite, d'autres explorateurs vinrent du Portugal et de Majorque.
Comme toutes les Canaries, Lanzarote est née d’une activité sismique importante. Ici, c’est la lave des éruptions volcaniques des XVIIIe et XIXe siècles qui a créé son paysage et sa couleur noire, si emblématique. Au total, l'île compte plus d’une centaine de cônes volcaniques et 300 volcans, que l’on peut visiter toute l’année. Le clou dans ce domaine reste la découverte du Parc national de Timanfaya, avec ses cônes de scories multicolores.
lémuriens : Ces drôles de cousins sont presque endémique à la grande île. C'est le symbole, l'emblème, l'armoirie du "royaume naturel" malgache. Facétieux ou indifférents, brailleurs ou sournois, ils n'arrêteront pas de vous étonner.
D'un point de vue géologique, MADAGASCAR est surtout constituée d'un socle de roches cristallines très anciennes dont certaines ont plus de deux milliers d'années.
Pièce maîtresse du système fluvial russe reliant les cinq mers, la Volga est jalonnée par de nombreux barrages permettant une navigation active, l’irrigation et la production d’électricité. La moitié de tout le fret fluvial de Russie passe par son cours qui est aussi utilisé pour irriguer les steppes du sud.
L’âme russe existe, mais personne ne doit lui donner de mots. Ils ne seraient ni assez durs ni assez beaux.
Suite au succès de la Révolution, Lénine rendit à Moscou son statut de capitale le 5 mars 1918.
La construction de Saint-Pétersbourg est décidée en 1701. C’est l’incarnation de la volonté d’ouverture de la Russie par Pierre le Grand. Les premiers bâtiments émergent des marécages insalubres de la Neva en 1703 et la ville devient alors la capitale, aux dépens de Moscou. Fenêtre sur l’Europe et aussi vitrine de la Russie pour les étrangers, Saint-Pétersbourg se veut une cité idéale qui rassemblerait le meilleur de l’Europe.
Fiodor Dostoïevski
A partir de 1837, la vie et l’œuvre du grand écrivain russe, né en 1821, furent liées à Saint-Pétersbourg. C’est ici qu’il écrivit et publia ses premiers romans : Nuits blanches et Les Pauvres Gens, ainsi que d’autres plus tardifs, comme Humiliés et offensés, Crime et châtiment, Les Frères Karamazov et Les Possédés. Pétersbourg de Dostoïevski est le thème de l’une des visites guidées proposées aux touristes, avec celle du musée littéraire de l’écrivain. Dostoïevski est mort en 1881.
En Russie, les scientifiques, les artistes et le peuple restent très proches de la nature, par tradition et par culture. Depuis les années 1960, quand l’écrivain Mikhaïl Cholokhov dénonçait la pollution du lac Baïkal (en Russie orientale), le mouvement d’abord informel de protestation contre la pollution de la Volga, mère des fleuves russes, n’a cessé de grandir en force et en efficacité. Si les Verts restent encore aujourd’hui marginaux sur la scène politique, quelques frémissements écologiques permettent d’espérer, comme la mise en place du tri sélectif dans certains quartiers de Moscou. La conscience verte des Russes reste cependant encore largement tributaire de l’idée selon laquelle la Russie est vaste, pleine d’espaces purs… et disponibles.
Géographie
Dans une certaine mesure, on peut dire que la Volga est la Russie. Il suffit de descendre le fleuve pour s’en convaincre. Au nord, ce sont les lacs et les architectures de bois. Vers l’Anneau d’Or, ce sont les villes de la forêt et leurs églises du Moyen Age en pierre blanchie à la chaux. A Kazan, les minarets rappellent que la Russie est un pays multiculturel. Enfin, vers le sud, la Volga se perd dans la steppe avant de se jeter dans la Caspienne, une ouverture vers l’Orient. C’est tout un pays qu’on découvre sur les flots paisibles de ce fleuve, un fleuve tellement ancré dans la mentalité russe qu’il est donné à chacun de pouvoir l’appeler « mère ».
Notre cher département en a fait couler de l'encre et de toutes couleurs.
Le XIVème siècle est une période épreuves.
La cuisine tire sa saveur de leurs arômes.
L'oliver, notre arbre roi.