Citations de Matz (176)
Tiens, prends ça, mon pote. Ta maman aurait dû te dire qu'il ne faut pas déranger les gens quand ils pissent. Et faut pas regarder, non plus. C'est mal élevé...
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Je ne te juge pas Anselmo. D’abord parce que rares sont ceux qui n’ont pas fait de choses dont ils n’ont pas honte ou qu’ils ne regrettent pas, et parce que tu es un ami et qu’on ne juge pas ses amis. On les aide.
Page 33, Le Lombard, 2017.
C'est la deuxième fois qu'on me demande ce que je viens faire dans cette histoire.
De quelle histoire parlons-nous ?
Dans la vie, faut rester zen. Des cons et des mal élevés, il y en a partout...
Les coups de mains, ce n'est pas toujours de l'argent, les gens qui n'en ont pas, de l'argent, le savent bien...
Ce qu'il y a de bien avec le désert, c'est qu'il n'y a personne...Exactement ce que je cherchais : des paysages magnifiques, de l'espace, un climat agréable , et surtout la paix . la tranquillité, la solitude, le vide. on peut rouler des heures sans croiser personne, ici. C'est presque comme sur l'océan...
- 100 000 DOLLARS SUR SA TÊTE, ET RIEN DU TOUT. NORMALEMENT, CA REND LA MÉMOIRE AUX AMNÉSIQUES, LA VUE AUX AVEUGLES ET LA PAROLE AUX MUETS, CE GENRE DE SOMME !
L’attachement à l’empereur, le sentiment de participer à une grande aventure, les rêves de gloire et de fortune, la fierté de porter l’uniforme de l’empire, tout cela fait oublier aux hommes les difficultés par lesquelles ils passent, les risques qu’ils encourent, les sacrifices qu’ils consentent… ce qui signifie aussi que les raison pour lesquelles les hommes se retrouvent dans l’armée sont multiples et très différentes… parfois bonnes, parfois moins…
Il y a souvent loin de l’idée qu’on se fait des choses et la réalité, et c’est particulièrement vrai pour la guerre.
Le calme, l'infini. Le vrai désert, c'est la mer. La vraie paix, c'est sur la mer qu'on la trouve.
On mesure le succès d'un homme à la puissance de ses ennemis.
Ce qu'il y a de bien avec le désert, c'est qu'il n'y a personne.
Exactement ce que je cherchais: des paysages magnifiques, de l'espace, un climat agréable et surtout, la paix.
La tranquillité, la solitude, le vide, on peut rouler des heures sans croiser personne, ici c est presque comme l océan, un océan de pierre.
L'intuition féminine, ça existe, et AGUSTINA en a. Du bon sens, de l'intelligence et de la sagesse, aussi. Mais le type de Buenos Aire lui avait fait peur et la peur ça dérègle les capteurs.
Il est courageux et habile au maniement des armes… C’est une excellente combinaison pour se faire tuer au combat dans la fleur de l’âge et arborer une médaille dans son cercueil…
- Moi, je suis juste content qu’on ait traversé le Darien et la Colombie sans encombre. Pas de mauvaises rencontres, rien du tout…
- Ce n’est plus ce que c’était la Colombie, tu sais. Escobar, les cartels qui mettaient le pays à feu et à sang, sans compter les FARC qui enlevaient et flinguaient les gens à tout va, tout ça c’est fini…
- Ouais. N’empêche, y a tout un tas de gens que j’avais pas envie de croiser… L’Équateur, c’est plus tranquille.
- Alors là, excuse-moi de tempérer ton enthousiasme, mais je crois que tu n’es pas du tout à la page… L’Equateur a de sérieux problèmes. Les FARC se sont reconvertis dans le trafic de drogues et font sauter des bagnoles et des immeubles des deux côtés de la frontière pour essayer de la contrôler… C’est chaud, par ici…
- Toi, alors ! Je n’arrive pas à savoir si tu le fais exprès pour me saper le moral ou si tu es un oiseau de mauvais augure…
- Ni l’un ni l’autre. Je me tiens au courant des affaires du monde, c’est tout. Un homme averti en vaut deux. Et je te rappelle que celui d’entre nous deux qui a la poisse, c’est toi, et moi je te sors des emmerdes.
Je n'ai pas besoin d'argent. Pas quand je rends service à un ami.
Avant de foncer tête baissée dans les ennuis, il faut toujours tourner son flingue sept fois dans sa ceinture...
- Ça n’existe pas la poisse, Tango. Juste les emmerdes qui n’arrêtent jamais de tomber sur le coin de la gueule des braves gens. C’est la vie qui veut ça.
- Il a l'air à cheval sur les règles, le genre old school.
- T'as raison. J'ai cru qu'il allait sortir son flingue quand tu lui as piqué des frites.
- Et puis, un mec qui boit un milkshake avec un burger, il respecte rien. On peut pas lui faire confiance.
Comme je le disais, tout le monde ment tout le temps à tout le monde à tous propos, et chacun a ses raisons pour le faire...