Dans le cadre de la Masse critique de juin j'ai reçu "Lève-toi et code" de Rabbin des Bois, dont la 4e de couv' avait vivement suscité ma curiosité. C'est toujours un moment fort de recevoir un livre que l'on n'aurait pas acheté sans cela...
Ce petit bouquin (111 pages) raconte l'expérience d'un jeune hacker, qui a bien entendu pris un pseudo, inspiré par ses origines juives.
La novice que je suis a trouvé amusante la lecture de ce livre, crédible aussi, bref, j'ai passé un bon moment.
Un informaticien de mes amis n'a pas été emballé.
A recommander aux profanes plutôt, de plus ce petit bouquin peut très bien se lire sur la plage…
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Je remercie les éditions de La Martinière et Babelio pour ce livre reçu via l'opération Masse Critique Non-fiction.
Livre très court que j'ai avalé d'une traite. Des chapitres eux aussi relativement courts, avec un ton direct, l'auteur-narrateur principal s'adresse d'abord à "Dieu", le tutoyant. Puis, à toi, moi, le lecteur. Parfois il s'agit de dialogues issus de conversations dans l'internet profond entre Rabbin des bois et son-sa mentor ou pivot ou je ne sais pas comment l'appeler et qui va accélérer son accession et ascension dans le monde des hackers.
Je suis un peu déçu parce que j'espérais plus de détails techniques justement, parce que je suis ultra nul. Je me suis donc retrouvé un peu attiré, un peu appâté par les propos et le parcours de ce type, et en même temps, impossible de me sortir de ma condition de mouton, de viande comme il dit. J'en sais un peu plus, mais je n'en sais pas assez, en fait je n'en sais pas assez d'un bout d'un début. Je dois donc acquiescer sur tout, parce que je suis incapable de comprendre véritablement ce qu'il se passe.
Oh, le sous-titre : "Les confessions d'un hacker", certes il relate les "faits", les explique en détail, en explique vaguement les ressorts "psychologiques" ou "sociologiques" : les banlieues et les clichés, une intelligence qui ne s'adapte pas à l'école, surtout le décès de sa mère, son père qui a bossé toute sa vie pour pas un rond, etc. Relativement habituel, convenu. Mais bon, si c'est là la réalité, on ne va pas la nier, ni la dénigrer.
J'ai apprécié le fait qu'il y ait un couac dans le parcours, et que bizarrement, c'est de ce couac que vient la suite, la progression.
Ce ne sont pas tout à fait des confessions dans le sens où il n'y a pas de volonté de contrition, de regrets, de demande de grâce de la part de Rabbin des bois, n'attendez pas des excuses, il explique. Point.
Clairement, il y a deux mondes (voire trois), le monde purement réel, l'internet qu'on voit, l'internet -deepweb- qu'on ne voit pas. Tout est interrelié mais sans que peu de gens sachent en comprendre toute la complexité. hormis l'un ou l'autre. Pour un temps déterminé, encore. On ne sait pas. de même que les identités éclatent, se multiplient, se divisent, se fondent, se refondent, on n'y voit plus très clair.
Dans tout ça aussi, beaucoup de "travail", il faut s'acharner. Si l'auteur se décrit comme un branleur au début, on ne peut que saluer la charge de travail qu'il s'inflige. Pour le fric ? Seulement pour le fric ? Alors pourquoi vivre chez son père, dans une pauvre banlieue ? Pourquoi vivre comme un pauvre quand on est riche.
Il y a un vrai A QUOI BON ? qui reste, qui n'arrête pas de planer, tant dans le livre que dans cette vie, qui est de plus en plus folle. Et on en est qu'au début, et il semble ne plus y avoir de retour possible dans un ancien monde, fini, dépassé.
Beaucoup de choses bizarres, violentes s'annoncent, une guerre techno déjà commencée, mais qui peut, va sans doute prendre une ampleur folle. Et dans tout ça, Rabbin des bois nous invite si on ne veut pas être largué à s'y intéresser, s'y intéresser grave et vite : "Lève-toi et code"... Nouveau mantra, nouvelle exhortation divine... sous-entendu "si tu veux pas crever en enfer."
On n'a aucune idée de ce qu'on aura fait des données recueillies de Sciences-Po, le chef d'oeuvre de Rabbin des bois, on ne saura pas ce qu'il devient... A vrai dire, sans doute vaut mieux pas qu'on le sache et qu'il le dise.
Enfin, si tout ceci est "vrai".
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Terrifiant. C𠆞st le mot. Une confession incroyable. J𠆞n est tellement la chair de poule. C𠆞st fort c𠆞st intelligent. Pour moi les hackers sont des génies. Mais version 2.0 . Cependant, au rythme de ma lecture on perçoit un jeune homme qui vie constamment dans la crainte de jouer à un jeux beaucoup plus fort que lui. Il a raison sur la plupart des choses qu’il met en évidence. Mais il y a un point où je reste en non accord : « je ne vais pas aider le monde je m𠆞n fou. »
Cette manière de penser ne peut qu’être dirigé par la peur et je lui souhaite de prendre confiance en lui pour aider ses semblables. Signé: « une viande avec un peu d𠆞sprit »
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J'ai apprécié l'écriture directe et le ton un brin décalé de Rabbin des bois,
J'ai apprécié la fenêtre ouverte sur le monde des hackers.
Je déplore un opus court, très court.
Je déplore les quelques raccourcis pris et le manque de détails.
Au final:
Je déplore de ne pas plus apprécier
et j'apprécie de ne pas plus déplorer ;-)
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Il est dur de rentrer dans le livre. Le récit est un peu brouillon au début. Puis on comprend que tout est écrit sur un chatlog privé, qu'Ani est Rabbin des bois.
Sur une note apparente semi-complotiste, semi-Matrix au début, le texte se lit bien et les concepts et idées sont bien apportés et compris.
On comprend vite que l'on est loin d'idées complotistes en fait.
L'auteur nous préviens et j'ai envie de le remercier pour ça.
L'auteur est comme une lumière et il nous montre la société sous un autre angle, et éclaire ce qui avant n'était qu'ombre et boîte noire.
Donc merci à l'auteur, même si la viande moldu que je suis ne comprends pas toujours toutes les implications.
Petit livre, mais qui donne beaucoup à réfléchir et incite beaucoup à observer notre monde.
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Ce n'est pas un manuel ni un guide pour apprendre à hacker mais une incursion dans la psychologie d'une personne attachante, même si c'est " un voyou".
Comment dans cette société, ni libre, ni égale, ni fraternelle, évoluer et rentrer dans le moule ? Notre héros anonyme choisit la voie de l'arnaque, plus des banquiers et des puissants que des simples personnes comme lui. Un plaidoyer aussi qui sonne comme un avertissement de notre société de plus en plus numérique et de plus en plus surveillée à travers nos écrans.
Certains commentaires parlent de vulgarité, alors que nous somme dans un style littéraire qui peut nous emporter dans l'univers fantasque de l'auteur, d’un révolté, d’un punk des “temps modernes”. Certains termes, "codes" de langage sont compréhensibles de l’univers des geeks. Vrai ou pas vrai, cette histoire est riche de réflexion et d’attention que l’on peut porter au quotidien. A prendre comme une œuvre littéraire, la maison d’édition de qualité peut certifier et être garante de ce choix.
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Il se lit trop facilement, trop vite à mon goût j'aurai voulu en savoir plus,
Livre sympa à lire, bon livre ? je n'irai pas jusque là.
Mais ce n'était pas l'ambition de l'auteur alors franchement il ne faut pas en attendre plus qu'un livre qu'il faut lire, qu'on passera un bon moment
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J'ai beaucoup apprécié le premier ouvrage de Rabbin des bois. Quand j'ai entendu dire qu'il allait sortir un nouveau livre, je n'avais qu'une seule envie : le lire.
Si "Lève-toi et code" est une sorte de "biographie" 2.0 de l'auteur, ou du moins comment il en est arrivé à ça, "Princesse Data" ressemble plus à une quête pour retrouver son mentor, ou à un hommage à celle-ci.
J'adore toujours autant ses paragraphes tranchants, qui nous force à ouvrir les yeux sur des conditions de notre vie qu'on a assimilé sans les remettre en question. J'ai toujours cette impression que le temps de cette lecture, une brèche sur une nouvelle réalité c'est ouverte pour se refermer en même temps que le livre.
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"Lève-toi et code : Confessions d'un hacker" de Rabbin des bois est un livre qui prête à controverse. Le récit se présente comme une autobiographie d'un hacker, dévoilant un monde souvent caché derrière les écrans et les codes. Cependant, le livre pourrait être perçu comme problématique à plusieurs égards.
Premièrement, il semble glorifier les activités illégales du hacking. En racontant ses exploits de piratage et en se vantant des sommes d'argent gagnées illégalement, l'auteur risque de transmettre un message dangereux, surtout aux jeunes lecteurs qui pourraient être impressionnés ou influencés par ce genre de comportement.
Deuxièmement, le ton du livre est arrogant et provocateur. Le hacker, se présentant comme un rebelle triomphant contre le système, pourrait être perçu comme manquant d'humilité et de compréhension des conséquences réelles de ses actes.
Troisièmement, il y a un manque de responsabilité et de remords dans le récit. Le piratage informatique peut avoir des conséquences désastreuses, tant pour les individus que pour les organisations, et le ton du livre ne semble pas reconnaître la gravité de ces actes.
Enfin, le livre peut être vu comme une incitation à la criminalité. En partageant des techniques et des expériences de hacking, l'auteur risque d'encourager les lecteurs à suivre ses traces, sans tenir compte des aspects éthiques et légaux.
En résumé, bien que "Lève-toi et code" puisse offrir un aperçu intrigant du monde du hacking, son approche et son contenu peuvent être considérés comme irresponsables et potentiellement dangereux.
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Vous ne sortirez pas indemnes des révélations de rabbin des bois. Vous envisagerez vos utilisations digitales d'une autre manière manière. Un peu flippant parfois mais épris de justice il vous entraîne dans l'autre monde... Celui de tous les hackeurs quel qu'il soient.
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Je n'ai pas apprécié ce roman. Que ce soit l'histoire ou la facon dont il est écrit, je me suis ennuyé en lisant ce livre et je n'avais qu'une envie : le finir rapidement pour passer à autre chose. Je ne pense pas relire un jour un livre de cette auteure
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