Et quand je t'aurai bien massacré, toi et ton peuple, je te déverserai des tonnes et des tonnes de nourriture que tu ne pourra pas refuser car assoiffé tu baves ; car affamé, tu crèves. Je n'attendrai pas que tu tendes la main... Je ne te donnerai pas ce choix. Ta vie m'appartient. Sous les bombes ou contre mes nourritures. Je reconstruirai ta terre millénaire à ma manière. Tu chanteras démocratie. Tu scanderas démocratie. Tu réciteras démocratie. Et le monde s'alignera sur ma volonté.