Un bien qui nous empêche de jouir d’un plus grand bien est en réalité un mal ; car bon et mauvais se disent des choses en tant que nous les comparons entre elles ; et (pour la même raison) un moindre mal est en réalité un bien. C’est pourquoi, sous la conduite de la Raison, nous désirerons (appetemus) ou (seu) rechercherons seulement un plus grand bien et un moindre mal.
(p. 329-330 de l’édition Folio Gallimard)