A. B. Winter

Mon premier roman initiatique et oui il faut un début a tout, je n'ai pas été déçue du tout. Un très bon récit, original ( pour moi) . Des évènements qui lient a un moment où a un autre les personnages. Rien de grave ou de lourd. Un travail sur soi pour se retrouver et vivre sa vie. Pas de critique pénible de notre société , je pense que l'auteur part avec l'idée que le lecteur sait , ni moralisateur ou pessimiste . Une jolie suite logique qui mène a l'accomplissement d'une famille toute entière .

Ce livre m’a tellement plu, que je ne sais pas quoi dire. Juste l’idée des masques m’a vraiment touchée. J’avais l’impression de vivre avec Sydney sa renaissance. Je me suis sentie happée, complètement touchée par cette histoire. Ça ne fait pas trois jours que j’ai terminé de le lire, que je le recommande à tous mes amis. L’important, ce n’est pas l’histoire en soi, qui est bien racontée, mais le message véhiculé. Juste le bout où Besoin de s’Aimer et Culpabilité se battent dans la tête de Sydney, c’est tellement vrai, tellement réaliste… Je crois que tout le monde peut se reconnaître… encore plus ceux qui ont déjà changé pour plaire aux autres… À lire, vraiment!
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Je n'ai pas aimé ce roman initiatique je l'ai dévoré.

Je n'étais pas en grande forme et pourtant ce roman a boosté mon moral.

L'identification au personnage principal s'est opérée dès les premières pages pour avoir connu un burn out similaire.



De grands auteurs ont traité le roman initiatique au point qu'il est difficile pour un auteur de travailler sur ce style sans copier. Ici, le sujet est traité de manière vraiment originale et crédible.



Ce livre m'a tellement plu que je l'ai fait lire à un ami prescripteur de petites pilules qui maintenant en conseille la lecture à ses patients, avant la prise de médicaments. Il permet de prendre du recul sur sa vie personnelle, professionnelle et sur les valeurs de la société.



Bref une lecture indispensable, non pas pour sa culture mais pour sa construction personnelle.

J’avais été littéralement happée par le premier livre, La Grande Mascarade. Je l’avais lu en un seul trait, ce que j’ai d’ailleurs fait encore avant de lire la suite. J’avais donc de très hautes attentes pour cette suite qui était pour moi inattendue. J’ai eu plus de mal à embarquer dans l’histoire au début, comme si les petites histoires entrecroisées coulaient moins bien que dans le premier. On pousse l’histoire beaucoup plus loin cette fois-ci, allant jusqu’à remonter à Beethoven (d’où le titre d’ailleurs). Par contre, l’essence de l’histoire est là, on s’attache aux personnages et on peut même parfois s’identifier à eux. Comme L’Ode à la joie est le deuxième livre d’une trilogie, je ne peux qu’attendre avec impatience le tome final de cette série qui m’aura tant fait réfléchir.
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le début du livre est un peu spécial, original... ça commence doucement... puis à un moment, l'histoire prend son rythme avec un bon suspens, en plus on s'attache aux personnages... alors ce n'est pas le livre du siècle, mais se laisse lire et parle de nos différents masques dont nous nous servons pour plaire à notre entourage... mais au prix de la perte de notre personnalité.

Un livre surprenant sur nos origines, l'enfance sous forme d'une enquête.

C’est la fin de cette trilogie et je ne suis pas déçue. Déçue de ce troisième livre, oui, mais pas que ce soit la fin. J’avais adoré La grande mascarade, été légèrement déconcertée par L’ode à la joie, mais là, je suis vraiment déçue. L’histoire m’avait grandement touchée et je conseillais les deux premiers à mon entourage en leur disant de ne pas se laisser décourager par la mention « thriller spirituel », mais je dois dire que ce dernier livre entre tout à fait dans cette catégorie et c’est vraiment dommage. Ce n’est plus spirituel, c’est ésotérique. Tant pis, je continuerai à conseiller le premier. De toute façon, il n’est pas obligatoire de lire les suites, La grande mascarade se suffit.
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Je n'ai pas aimé ce livre. Je n'ai même pas pu arriver au bout et pourtant, ce n'est pas faute d'avoir essayé. Dans la mesure où, lorsqu'il s'agit d'un partenariat, je me force à terminer le livre, j'ai vraiment pas pu cette fois. Je tiens d'ailleurs à présenter mes excuses à la maison d'éditions.



En effet, malgré une écriture assez fluide et une très jolie couverture, le charme n'a pas opéré.



Dans ce livre, on peut voir les conséquences des exigences des autres sur nous et ce, à tous les âges. Mais j'ai eu l'impression que le contenu est trop utopique: nous sommes tous parfaits, chacun à notre façon. Jusque là, ça va. Mais ne plus prendre en compte les exigences des autres pour pouvoir être soi-même, c'est plutôt compliqué non? Surtout dans une société où nous devons travailler pour vivre et où il y a forcément une hiérarchie à respecter.



Je n'ai pas pu m'attacher aux personnages. Partant de là, je savais que ma lecture allait se compliquer puisque c'est quelque chose d'indispensable pour que j'apprécie un roman.



De plus, j'ai trouvé qu'il n'y avait pas assez de rebondissements, j'ai trouvé le récit trop long, je me suis ennuyée.



Néanmoins, je remercie Babelio et les éditions First de m'avoir permis de lire ce livre.
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