J'avais été littéralement happée par le premier livre,
La Grande Mascarade. Je l'avais lu en un seul trait, ce que j'ai d'ailleurs fait encore avant de lire la suite. J'avais donc de très hautes attentes pour cette suite qui était pour moi inattendue. J'ai eu plus de mal à embarquer dans l'histoire au début, comme si les petites histoires entrecroisées coulaient moins bien que dans le premier. On pousse l'histoire beaucoup plus loin cette fois-ci, allant jusqu'à remonter à Beethoven (d'où le titre d'ailleurs). Par contre, l'essence de l'histoire est là, on s'attache aux personnages et on peut même parfois s'identifier à eux. Comme
L'Ode à la joie est le deuxième livre d'une trilogie, je ne peux qu'attendre avec impatience le tome final de cette série qui m'aura tant fait réfléchir.
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