Après tout, si quelque innocent est condamné injustement, il ne doit pas se plaindre du jugement de l’Église, qui a jugé d'après les preuves suffisantes, et qui ne lit pas dans les cœurs. Et si de faux témoins l'ont fait condamner, il doit recevoir sa sentence avec résignation, et se réjouir de mourir pour la vérité.