Très vite, je compris que la France ne devait pas changer. Je découvris aussi ( folle découverte) que les français choisissaient leurs députés ; les gens décidaient vraiment de leur avenir, grâce à un bout de papier glissé dans une urne, et ils le faisaient en souriant, alors que personne ne souriait jamais en Iran quand il s'agissait de choisir des hommes politiques.