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Critiques de Agnès Martin-Lugand (5398)
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13 à table ! 2019

Le rendez-vous incontournable du mois de Novembre.

C'est toujours un plaisir de découvrir ces nouvelles chaque année et par la même occasion de faire une bonne action. Mais pour être honnête, j'ai été moins emballée que les années précédentes. Cependant, les nouvelles sont très bien écrites et on retrouve le style de chaque auteur.

Mon top 3: Maxime Chattam , Leila Slimani et Véronique Ovaldé.
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13 à table ! 2019

En effet grâce à l’achat de ce livre, quatre repas pourront être distribués, ce qui ne revient pas chère la gamelle mais contera bien des estomacs.



Pour la cinquième année consécutive les éditions Pocket en partenariat avec les Restaurants du Cœur éditent un recueil de nouvelles et les lecteurs fidèles ne seront pas étonnés de retrouver au sommaire des auteurs comme Françoise Bourdin, Maxime Chattam, François d’Epenoux, et quelques autres qui offrent chaque année une nouvelle afin d’aider les laissés-pour-compte.



Sur le thème de la Fête, tous se sont laissé aller en empruntant souvent à leurs leitmotivs littéraires mais en raccourci.



Mais le mieux est peut-être de vous présenter le menu, très copieux, roboratif, et de vous souhaiter bon appétit littéraire pour que les oubliés de l’Etat puisse subsister. Vous pouvez le déguster en plusieurs fois selon votre envie, votre plaisir, et cet ouvrage vous permettra peut-être de découvrir des auteurs dont vous avez entendu parler mais dont vous ne connaissez pas le style.







Avec L’Apparition, Philippe Besson a choisi de placer son intrigue à La Nouvelle Orléans, lors du fameux Mardi-gras, un moment au cours duquel chacun se déguise dans les couleurs traditionnelles, vert, violet et or, symbolisant la foi, la justice et le pouvoir. Louise Cooper a quitté New-York et son travail à la suite d’un surmenage et elle s’est installée en Louisiane, retrouvant son amie Claire et une certaine sérénité en devenant boutiquière. Du balcon d’où elle regarde le défilé, elle croit reconnaître un ami qui a disparu trois ans auparavant. Mais est-ce vraiment lui, ou un sosie, un fantôme peut-être.







Dans Laissée-pour-compte, Françoise Bourdin met en scène Lilybeth, diminutif d’Elisabeth et non de Lily bête, qui à trente-quatre ans n’a pas encore trouvé l’âme frère. Sa sœur Marianne est mariée, quatre enfants et enceinte pour la cinquième fois. Alors pour trouver un galant susceptible de lui réchauffer les pieds dans le lit, ou ailleurs, elle décide d’organiser une petite fête et d’inviter beaucoup de monde. Et ses connaissances peuvent même amener des inconnus, pour elle. Elle repère un beau quadragénaire qu’une de ses collègues lui présente, mais il ne faut pas se fier aux apparences, ni aux déductions hâtives.







Maxime Chattam nous invite, avec Le point d’émergence à nous propulser dans quelques décennies et à investir un cerveau. Point d’optimisme, contrairement aux deux textes précédents, dans cette nouvelle qui prend sa force et sa raison d’être dans l’épilogue.



De même, avec Big Real Park, que la fête commence, François d’Epenoux nous propose une vision peu engageante d’un avenir dédié à la fête, avec des parcs d’attraction hors normes, tout autant dans leurs surfaces que dans leurs conceptions.



Eric Giacometti et Jacques Ravenne nous offrent une Nuit d’ivresse. Alex a bu, un peu trop, un mélange qui lui tourneboule la tête, au cours d’une fête nocturne organisée par son patron. Celui-ci, bon prince, propose alors à Alex de se coucher loin des cris et des rires, d’ailleurs toutes les chambres sont occupées par des bambocheurs désirant effectuer le simulacre de la reproduction, dans une dépendance de son domaine, un ancien couvent. Il a tout transformé sauf un pavillon où, selon les archives locales, étaient enfermés les moines qui tournaient mal. Etait-ce une bonne idée que de coucher dans cette maisonnette, apparemment pas, car au cours de la nuit, Alex entend des bruits, perçoit des voix, aperçoit des moines, et une fosse.



Moins angoissant et plus proche de nous, ce SDF accompagné d’un chien nommé Sam. L’homme ayant récolté quelques piécettes achète des tranches de jambon, un paquet de gâteaux et deux bières. Il partage son maigre repas avec son chien, mais en cette nuit de fête, il se souvient de ce qu’il a été, comment il a recueilli Sam et nous le suivons sous les ponts parisiens jusqu’à son lieu de couchage. Il ne veut pas aller dans un centre, d’autant que les chiens n’y sont pas admis. Pourtant un chien, c’est fidèle, ça ne se plaint jamais, ne fait jamais de reproches. Un texte tout en finesse et en émotion de Karine Giebel titré Dans les bras des étoiles, un texte qui me réconcilie avec un auteur que j’avais dédaigné n’y trouvant pas mon compte dans ses romans. Comme quoi !



Philippe Jaenada avec Une vie, des fêtes, qui aurait tout aussi bien s’écrire Une vie défaite, s’intéresse avec ironie et humour à une femme qui fit les gorges chaudes à la fin du XIXe siècle, Marguerite, dite Meg, Steinhel née Japy, de la famille des radios-réveils et des machines à écrire. Meg s’est mariée avec un peintre plus vieux qu’elle, au talent contesté, mais il possède une grande maison sise dans un passage donnant sur la rue Vaugirard. Et c’est là qu’elle reçoit du beau monde, des personnalités littéraires et politiques auxquelles elle prodigue ses gâteries. Elle ne se fait pas payer mais ses amants de fortune achète les toiles de l’époux, alors on peut dire qu’elle œuvre pour assurer financièrement l’avenir du foyer. Jusqu’au jour le président de la république en titre meurt lors d’un débordement de tendresse. Cette histoire n’est pas terminée pour Meg mais ce qui est resté dans l’esprit des chroniqueurs c’est surtout la manière dont elle a su faire avaler des couleuvres.



Quand dans une maison d’éditions américaine, deux auteurs sont pressenties pour obtenir le Prix Nobel de Littérature, les attachées de presse de chacune des deux prétendantes sont sous pression. Sophie Le Caillou est stagiaire non rémunérée, heureusement des cousins lui ont offert gratuitement une chambre. Sophie est sous la coupe de Rita et est préposée aux petits boulots d’intendance mais elle se sent totalement impliquée dans le succès de la romancière dont s’occupe Rita. L’autre romancière en lice est chapeautée par une collègue de Rita, et leur chef, un tyran au féminin, sait les mettre en concurrence. Et le grand soir arrive avec un résultat pour le moins inattendu et pour autant prévisible. Un voyage dans les coulisses d’une maison d’édition et son service de presse écrite par Alexandra Lapierre et titré Bulles amères.



Ils se connaissaient, se sont perdus de vue et se sont retrouvés, avec chacun de leur côté un enfant. Une famille recomposée, avec d’un côté Eric et sa fille Louise, et de l’autre, Sophia, la narratrice, et son fils Dimitri. Sophia a décidé de s’occuper de tout pour fêter leur aménagement, mais seulement elle rate tout ce qu’elle entreprend. Pourtant elle ne manque pas d’envie et d’obstination. Une drôle de Crémaillère en perspective décrite par Agnès Martin-Lugand.



Difficile de porter un prénom, je ne dirai pas ridicule, mais encombrant. Perpetua. Le porter perpétuellement de plus. Perpetua Le Flaher. Ses copains, enfin les autres élèves l’ont rapidement surnommée A perpète-le-phallus-à-l’air… ça vous fait rire ? Pas Perpetua qui vit en compagnie, dans une sorte de maison au milieu d’une décharge à proximité de la route. Faut faire avec et comment ? C’est ce que nous raconte Véronique Ovaldé dans Je suis longtemps restée une clématite.



Romain Puertolas avec Les cochons de Karl Lagerfeld joue sur la dérision mais pourtant cela semble si vrai, si réel, dans cette société moderne où pour réussir il faut entreprendre et de préférence de façon baroque. Savoir se vendre auprès d’un gros financier et proposer quelque chose d’inédit, une initiative que personne d’autre n’a jamais eue et qui devrait faire fureur. Il faut savoir convaincre et ce n’est pas gagné.



Tatiana de Rosnay joue les Trouble-fête avec une nouvelle éponyme mettant en scène une quadragénaire bien sous tous rapports. Elle est mariée avec un sexagénaire, bien conservé, mais surtout elle est en quête de la perfection, quelque soit le domaine dans lequel elle navigue. Elle fignole aussi bien sa silhouette que les photos qu’elle poste sur un réseau dit social, mais elle ne se rend pas compte qu’elle tyrannise aussi bien son mari que son fis ou ses amies.



Ah, La fête des voisins, en général c’est un moment convivial mais pour la narratrice, ce n’est qu’un rêve, qui pourrait se concrétiser si elle n’avait pas un mari qui la séquestre. Et oui, cela arrive, si ce n’est près de chez vous, pas loin ou un peu ailleurs. Mais ça arrive, et ce n’est pas drôle tous les jours même s’il y a une forme de consentement, obligé. Une nouvelle de Leïla Slimani déprimante et optimiste à la fois. Incompatible, non, pas forcément !



Enfin, le dessert nous est proposé par Alice Zeniter avec Le goût des fraises sauvages. Et une odeur persistante de barbecue, de grillades, car le père, quelle que soit l’occasion, sait arrondir les angles en proposant de la viande grillée. Et lorsque la Fille 1 rencontre un grand garçon, grand physiquement, et qu’elle le présente à son père, à sa sœur la Fille 2, au cours d’un repas, avec quelques invités, pas beaucoup mais un peu quand même, et surtout des grillades, il y a comme de l’eau dans le gaz, ou sur le feu. Car ce que déclare le grand garçon, 2cm de moins que 2 mètres, est peut-être difficile à avaler même si la viande est grillée à point.







Alors, le lecteur passe par toutes les émotions, le rire, les larmes, l’inquiétude, la révolte, et bien d’autres sentiments, car tous les cuistots de service ont réussi l’amalgame d’un repas équilibré, sans lourdeur, sans fausse note, sans trop de sel, c’est mauvais pour la santé, ni d’épices, c’est mauvais pour l’estomac, un peu arrosé mais sans verser dans l’ivresse trop euphorique ou geignarde. Cela dépend du tempérament, celui des lecteurs, car nos cuisiniers en possède à revendre.
Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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13 à table ! 2019



Recueil de nouvelles au profit des Restos du cœur.

Cette nouvelle édition est un bon cru, 80 % des nouvelles m’ont vraiment plu, 10 % moyennement et le reste pas vraiment (mais je n’aime pas l’auteur, le contraire eut été surprenant).

Je ne peux que vous encourager à ACHETER ce Pocket à 5 € qui permet de financer 4 repas.

Une belle initiative qui allie culture et solidarité. On ne saurait s’en priver

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13 à table ! 2019

comme tous les ans un moment agréable de lecture et surtout de partage !
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13 à table ! 2019

Depuis que je suit ce recueil de nouvelles, j'ai toujours pris plaisir à ces lectures. Pour ce qui est de l'édition de cette année, je n'ai pas accroché du tout, aucune n'a attirée mon attention, donc plutôt déçu pour la lecture. Mais contente de l'avoir lu et acheter pour les restos du cœur, je trouve que cela est une belle entreprise.

Je vous laisse donc à votre curiosité et à votre propre ressentie.
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13 à table ! 2019

Livre que j'achète chaque année car les auteurs font une bonne action en donnant une nouvelle pour les restos du coeur !

Cette année le thème est fête, certaines m'ont plus, d'autres moins, mes deux préférés, celles de Agnès Martin-Lugand et Leila Slimani.



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13 à table ! 2019

Comme chaque année, des nouvelles de plusieurs écrivains autour d'un thème donné - ici, la fête - pour soutenir une bonne action.

Comme chaque année, à partir d'un même thème, des variations complètement différentes.

Comme chaque année, des histoires plus intéressantes que d'autres.

Je retiendrai celle de Karine Giebel pour l'émotion et celle de Philippe Jaenada, fidèle à son style, pour les éclats de rire.
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13 à table ! 2019

Le recueil de nouvelle de « 13 à table » est un événement attendu avec impatience chaque année, tant par son action qui est d’aider les Restos du Cœur en offrant des repas grâce au reversement intégral des bénéfices, mais aussi par sa forme, puisque ce livre nous permet de lire en un seul ouvrage plus d’une dizaine d’auteurs regroupés autour d’un unique thème, un bon moyen pour retrouver ses auteurs favoris et pour en découvrir d’autres !


Lien : https://blogleslecturesducha..
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13 à table ! 2019

Un bon recueil où 15 auteurs se sont prêtés au jeu pour nous offrir ces nouvelles sur le thème de la fête.

Ne boudez pas votre plaisir quand en plus cela sert les plus démunis.
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13 à table ! 2019

Très déçue par cette édition 2019. On le sait, il est rare d'être ébloui par chaque texte dans un recueil, mais ici, les nouvelles se succèdent sans éveiller la moindre émotion en moi! Jusqu'à l'avant-dernière, celle de Leila Slimani m'en a donné pour mes sous!!!! Au moins, j'aurai fait une bonne action et je ne me laisse pas démonter car je compte bien y trouver du plaisir dans la prochaine édition!
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13 à table ! 2019

Une belle action d'acheter et de lire ce livre qui regroupe des nouvelles de différents auteurs sur le thème de la fête. Elles abordent les fêtes de tous les genres et à travers différents genres littéraires. Romantiques, fantastiques, etc... Grosse claque avec la nouvelle Big Real Park
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13 à table ! 2019

Recueil de nouvelles pour la bonne cause...

La seule que j' ai aimé La fête des voisins de Leïla Slimani. Avec une femme qui vie prisonnière de son mari dans son appartement jusqu' au soir de la fête donnée par des voisins où tout bascule.

Les autres je les ai trouvées bien fade avec pourtant d' excellents auteurs ...
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13 à table ! 2019

Je suis toujours épatée par la créativité des auteurs, par la richesse et la diversité des récits qui émergent du même thème !

Ça foisonne, ça rebondir, ça explose, c’est plein de surprises -bonnes ou moins bonnes, peu importe- moi j’applaudis à pleines mains cette générosité !

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13 à table ! 2019

Premiere nouvelle de Philippe Besson : Séparation puis retrouvaille les choses de la vie.

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13 à table ! 2019

Avant tout acheter ce livre c’est faire un petit geste pour les restos du coeur. Cette année encore 15 auteurs ont écris des nouvelles pour cette grande cause.

Le sujet centrale est la fête que chaque auteur s’est approprié à sa façon.

Le cru de cette année n’est pas mon préféré mais je dirai mention spéciale pour :

- l originalité : Maxime Chattam

- ma préférée : Karine GIebel, celle qui m’a plut le plus

- la plus sombre : Leïla Slimani.

Merci à tous ces auteurs.
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13 à table ! 2019

Petit recueil de nouvelles assez sympa...J'ai beaucoup aimé La fête des voisins, dans les bras des étoiles, la crémaillère, laissée pour compte et trouble fête. Celle que je n'ai pas appréciée, la dernière : le goût des fraises sauvages. C'est toujours agréable d'avoir plusieurs nouvelles qui nous permettent de découvrir un auteur, en plus c'est pour la bonne cause: n'hésitez pas!
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13 à table ! 2019

Il y a les fêtes auxquelles on voudrait assister pour se sentir enfin acceptée ou juste vivante. Quand on est une ado et qu'on se prénomme Perpétua, c'est pas gagné d'avance, comme nous le montre Véronique Ovaldé dans sa nouvelle "Je suis longtemps restée une clématite", nouvelle où elle analyse avec sa finesse habituelle les relations entre un père et sa fille vivant dans un environnement très particulier.

Quand on est une femme sous emprise cloitrée chez elle par un mari sans amour, La fête des voisins de Leila Slimani peut déboucher sur une folle envie de libération à tout prix.

Il y a aussi les fêtes l'on donne pour se convaincre qu'on est une famille joyeuse , même si amputée, pour retrouver "Le goût des fraises sauvages" chez Alice Zeniter.

Celles qui tournent mal, par exemple quand l'obsession de la perfection risque de gâcher tout plaisir ou quand le passé rattrape les pestes chez Tatiana de Rosnay . Y aurait-il une justice ? Philippe Jaenada semble montrer que non, revisitant , non sans humour, l'histoire d'une femme demeurée dans les mémoires comme étant la Pompe funèbre...

Il y a enfin les fêtes que l'on donne avec un objectif clairement assumé: se trouver un amoureux chez Françoise Bourdin, nouvelle où j'ai appris le nom des figures du rock, ou un financier comme chez Romain Puertolas . Objectifs atteints ou non ? à vous de le découvrir en dévorant cet excellent cru, couverture illustrée par Plantu.
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13 à table ! 2019

13 à table 2019, cette année c'est la fête



C'est la cinquième édition de cette magnifique initiative qu'est 13 à table, proposée par les éditions Pocket. 14 nouvelles dans un recueil en faveur des Restos du coeur. Une bonne action de tous qui permet de financer 4 repas pour chaque livre acheté. Cette fois encore, tous ont participé gracieusement à cette belle aventure humaine (les auteurs, l'éditeur, l'imprimeur, les publicitaires, les médias…). 3,4 millions de repas supplémentaires servis grâce aux quatre premières éditions !



5 € pour se faire plaisir et faire une bonne action !



Il y en a pour tous les goûts, cette fois-ci sur le thème de « La fête ».

Les auteurs (tous des pointures) ont superbement joué le jeu, les histoires sont belles et travaillées. Des récits souvent surprenants, positifs ou très sombres. Cette bonne action permet de se faire plaisir et de découvrir certaines plumes qu'on aurait peut-être pas lu. Encore un très bon cru !



Philippe BESSON et son histoire d'amour retrouvé

Françoise BOURDIN et son histoire d'amour trouvé

Maxime CHATTAM et son histoire de mémoire

François d'EPENOUX et son histoire de sensations fortes

Éric GIACOMETTI et Jacques RAVENNE et leur histoire de possession

Karine GIEBEL et sa sombre histoire vagabonde

Philippe JAENADA et son histoire historique

Alexandra LAPIERRE et son histoire de requins

Agnès MARTIN-LUGAND et son histoire de couple

Véronique OVALDÉ et son histoire filiale

Romain PUÉRTOLAS et son délire porcin

Tatiana de ROSNAY et sa grande fête

Leïla SLIMANI et sa noire histoire de couple

Alice ZENITER et son histoire de famille.

Illustration de couverture de PLANTU



(Mon quintet personnel : d'Epenoux / Slimani / Giébel / Chattam / Puértolas)
Lien : https://gruznamur.com/2018/1..
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13 à table ! 2019

Cinq étoiles, forcément, parce que l'achat de ce livre est une bonne action.

Les nouvelles sont inégales à apprécier selon les auteurs et ses propres goûts littéraires.
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13 à table ! 2019

13 à table - 13 raisons de l’acheter : 13 auteurs à découvrir et surtout 4 repas distribués au Restaurants du Cœur !



Le thème de cette année est la fête sous toutes ses formes : triste, joyeuse, entourée, solitaire, familiale, amicale.

Plusieurs m’ont beaucoup plu : celles de Philippe Besson, Karine Giebel, Agnès Martin-Lugand, Tatiana de Rosnay et Leïla Slimani. Voilà pour mon top 5, toutefois, les autres histoires sont très bien aussi.



Pour la bonne cause et pour les amoureux de la littérature, ce livre est à acheter et à offrir autour de soi 🎉
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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