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Critiques de Agnès Martin-Lugand (5398)
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13 à table ! 2024

Le rendez vous annuel du recueil de nouvelles 13 à table qui nous offre des textes inédits de 15 auteurs francophones autour du thème j'ai 10 ans car c'est le 10ème anniversaire de ce petit livre qui contribue à l'aide des restos du cœur.

Dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé les nouvelles de ce recueil et plus particulièrement celle de Michel Bussi qui m'a beaucoup touché car elle est simplement incroyablement émouvante.

N'hésitez pas à vous procurer ce petit bijou pour la modique somme de six euros qui permet de financer cinq repas des restos du cœur.
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Les gens heureux lisent et boivent du café

Les thèmes abordés sont très difficiles, je n'ai pu que m'identifier à cette femme qui perd brusquement mari et enfant dans un accident de voiture. Comment se remettre d'une telle tragédie ?

J'ai bien aimé suivre son cheminement psychologique pour remonter la pente, son exil en Irlande, dans un endroit où elle ne connaît personne, pour que personne ne connaisse son histoire et ne lui pose de questions.

J'ai un peu moins aimé le rapprochement d'avec son voisin à certains moments, ça penchait trop vers la romance à mon goût.

Beaucoup d'émotions en tout cas, l'écriture d'Agnès Martin-Lugand est toujours très agréable à lire, c'est toujours un plaisir de la retrouver
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La vie est facile ne t'inquiète pas (BD)

Il s'agit de la suite "Des gens heureux lisent et boivent du café".



Diane est de retour à Paris. Elle n'a pu aller au bout de son histoire avec son bel irlandais, Edward. Elles est toujours fortement imprégnée des images et des souvenirs avec Colin, son mari et Clara, sa fille, tous les deux disparus dans un accident de voiture. Cependant Diane a commencé à s'ouvrir aux autres, à prendre un peu de distance avec ses disparus.



Diane reprend son activité dans son café littéraire, toujours accompagné par son fidèle, Félix. Peu à peu, le chiffre d'affaires du café se redresse mais les parents de Diane, actionnaires ont décidé de prendre un gérant, jugeant leur file incapable de gérer cette affaire. Diane se sent abandonnée par ses propres parents. Au lieu de l'enfoncer, cela la booste et va racheter les parts familiales afin d'être la seule propriétaire, d'être maîtresse de son destin, de reprendre sa vie en main, de prouver qu'elle est capable de réussir. Elle sera secondée par Félix.



La vie va avancer. Edward ne répond pas aux messages de Diane. Celle-ci se sent prête à engager une nouvelle partie de sa vie. Elle va se laisser conquérir par Olivier et ils feront le projet de vivre ensemble, de partager un appartement. La nouvelle histoire semble s'écrire jusqu'au vernissage d'une exposition de photos. Le photographe n'est autre que Edward. Est-ce que celui-ci a tourné la page, est-il vraiment passé à autre chose ? Est-ce que Diane a vraiment oublié Edward ? L'amour d'Olivier sera t'il assez fort pour garder Diane ?



Edward repart en Irlande et Diane va vivre avec Olivier. Mais Diane va apprendre qu'Abby, la tante d'Edward est en fin de vie et elle va décider d'aller la voir, de retourner dans les landes irlandaises. Ce sera une bascule dans sa vie.



Le graphisme de Cécile Bidault est toujours aussi attrayant et nous plonge dans la mélancolie des héros. Le travail sur les visages est plus précis que dans le tome 1. Le découpage en chapitre facilite la lecture. J'ai apprécié les planches en page complète à chaque début de chapitre.



Les deux autrices ont permis aux personnages inventés par Agnès Martin-Lugand de prendre forme. J'ai trouvé ce roman graphique sur la résilience très bien construit avec une graphisme poétique. On s'attend à la fin, à cette chute. D'aucuns pourront parler d'une histoire à l'eau de rose sortie de la collection Arlequin. Pour moi, c'est juste l'histoire de personnes, adultes ou enfants, fracassées par la vie, ne sachant pas s'ils auront à nouveau l'occasion d'être heureux ou surtout ne sachant s'ils s'autoriseront cette seconde vie, cette renaissance. Je dois avouer que cela m'a ému et tiré quelques larmes.



Beau roman graphique à découvrir pour l'histoire initiale mais aussi pour la qualité du travail de Véronique Grisseaux et Cécile Bidault.
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Les gens heureux lisent et boivent du café (BD)

Diane a perdu son mari, Colin, et sa fille, Clara, dans un accident de voiture, il y a un an. Depuis, elle vit prostrée, enfermée dans son passé, se coupant du présent, vivant avec ses souvenirs et ses fantômes. Elle accepte juste la présence de son ami Félix, qui tenait avec elle et Colin un café littéraire : Les gens heureux lisent et boivent du café. Depuis un an, l’activité du café, acheté en partie par les parents de Diane, repose sur les épaules de Félix.



Diane va chercher la fuite en Irlande, pays où Colin rêvait d'aller. Elle va louer un cottage appartenant à un vieux couple. Le cottage est mitoyen d'un autre appartenant au neveu du vieux couple.



Diane vit avec ses souvenirs dans le décor pluvieux et frileux de l'Irlande. Elle est confronté à la rudesse de son voisin, Edward, qui ne la regarde pas, qui l'ignore et se montre extrêmement brutal avec elle, alors que son chien fait la fête à Diane.



Que va t'il pouvoir se passer entre ces deux écorchés vifs, entre ces deux blessés de la vie ? Comment Diane peut-elle reconstruire sa vie ? Quel est le secret de Edward, que cache sa rudesse ?



Diane ne s'autorise pas à vivre au présent et a envisagé le futur. Elle a peur de trahir ses chers disparus. Elle ne s'autorise pas à être heureuse sans eux. Peu à peu, le temps va faire en sorte que Diane évolue, qu'elle entre en résilience. Et elle va regarder différemment celui qu'elle prenait pour un salaud. Diane saura susciter de la compassion et de l'amitié chez les autres.



Cécile Bidault nous propose une mise en forme graphique subtile, tout en légèreté. Le dessin est sobre, les traits des visages estompés. Les couleurs nous renvoient à l'Irlande avec ses paysages sous la pluie ou dans la brume.



Je ne connaissais pas le roman de Agnès Martin-Lugand. J'ai été pris par le récit proposé par Véronique Grisseaux, emporté par les dessins de Cécile Bidault. J'ai partagé la détresse et le trouble de Diane. J'ai été avec elle dans son errance et dans sa reconstruction.



Comment se relever d'un traumatisme majeur ? Peut-on à nouveau après une disparition et ce sans avoir l'impression de trahir ? A t'on le droit d'être heureux à nouveau après un deuil ? Comment se projeter à nouveau dans le regard d'un enfant après avoir perdu le sien ? Toutes ces questions abordées mais y aura t'il des réponses. Pour le savoir, je vais lire la suite : " La vie est facile, ne t'inquiète pas.







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Une évidence

D'Agnès Martin-Lugand je n'avais lu jusqu'ici que "Les gens heureux lisent et boivent du café" et sa suite "La vie est facile, ne t'inquiète pas" mettant en scène l'histoire de Diane. J'avais apprécié, sans plus.



Mais celui-ci je l'ai dévoré ! L'histoire de Reine et de son fils m'a beaucoup touchée, j'ai failli verser quelques larmes à plusieurs reprises.

Le personnage de Reine est mieux travaillé et beaucoup moins énervant que celui de Diane.



En bref, une jolie histoire émouvante qui nous fait nous questionner sur nos choix de vie, comment on les assume, etc.
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Les gens heureux lisent et boivent du café

Je n’ai pas l’habitude de lire des romans contemporains mais celui-ci a été particulièrement plaisant.

La plume de l’autrice est vraiment agréable, fluide et addictive et c’est pas mal parfois de changer un peu de registre.

L’histoire n’est pas super originale mais le début a eu le mérite de me mettre un coup au cœur et je suis restée accrochée.

Je préconiserais par contre de ne pas lire la 4ème de couverture avant d’entamer le roman. Ça permet de ne pas savoir à quoi s’attendre et d’apprécier d’autant plus la lecture.

Concernant les personnages, on s’y attache facilement. Diane est aussi entière que Edouard est bourru.

Les voir évoluer en Irlande permet de voyager avec eux. Je me suis surprise à aller chercher les villes concernées pour mieux me rendre compte à quoi elles ressemblaient.

Et j’ai apprécié aussi le fait que le dénouement ne soit pas forcément celui auquel je m’attendais. Et il y a un tome 2…

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13 à table ! 2022

Ces recueils de nouvelles vendus à petit prix pour aider les Restos du coeur sont toujours agréables à lire. Quelques tauliers restent présents pour le millésime 2022 (Bourdin, Lapierre, Giebel, d'Epenoux par exemple), mais j'ai aussi eu la surprise de lire Cyril Lignac et François Morel.

Ma nouvelle préférée? Dag Hammarskjöld de Jean-Paul Dubois, pas très gaie, titre improbable, très motorisée et enfumée façon années 60. Elle se termine malencontreusement sur les pentes du Jaizquibel au Pays Basque. Quel rapport avec le titre me direz-vous? Lisez ce livre et vous le saurez.
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La Datcha

Je suis ravie de ce choix, car les romans d'AML m'ont toujours tenté à force de les voir, mais je ne sais pas, ces couvertures en noir et blanc assez enigmatiques, toujours avec un personnage féminin, me faisaient peur.

J'ai enfin réussi à passer outre et c'est une belle découverte.



Celui-ci en l'occurrence parle d'amour. Mais un amour inconditionnel, un amour viscéral, celui de l'amour pour un lieu. Un endroit qu'on appele SA maison.

Alors oui nous avons tous une maison, mais pour Hermine, la Datcha représente beaucoup plus.

C'est le lieux qui lui a permis de grandir, s'épanouir, évoluer et vivre sa vie.



En parallèle nous découvrirons deux âmes au grand cœur, Jo et Masha, les propriétaires de l'hôtel, ceux qui ont donnés leur chance à Hermine, et qui s'occupent de cet havre de paix.



Ils ne se passera pas des tonnes de péripéties, mais ce roman saura vous toucher par l'émotion de ses personnages et les descriptions qui nous permettent d'imaginer ce lieu comme si nous y avons déjà été.



J'ai passé un très bon moment de lecture et je n'avais pas envie de quitter la Datcha, je voulais rester pour le bal de l'été et les dîner sandwich en terrasse du moulin. Une belle parenthèse.
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Désolée, je suis attendue

J'ai entendu parler de ce roman en lisant l'essai du sociologue Marc Loriol sur l'addiction au travail qui est effectivement le problème de la personnage principale.

Désolée, je suis attendue se lit assez facilement, on n'est clairement pas sur de la grande littérature. Cependant, l'autrice parvient bien à faire sentir les tensions qui traversent Yaël et les différents effets que peuvent avoir sur elle les appels qu'elle reçoit sur son téléphone.

La réflexion sur un certain monde du travail m'a semblée intéressante de même que la mise en lumière de la solitude qui caractérise les sociétés modernes mais qui n'est pas l'objet premier du roman. J'ai aussi apprécié que les personnages ne soient pas aussi caricaturaux que ce qu'on aurait pu craindre.

En conclusion, un bon livre détente à caler entre deux lectures un peu plus exigeantes.

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Les gens heureux lisent et boivent du café

J'ai beaucoup apprécié l'histoire même si un peu facile, l'auteur saute a pieds joints dans pas mal d'évidences. Lecture agréable néanmoins.



Les personnages sont attachants, le décor très bien décrit, la fin laisse un goût d'inachevé cela dit et heureusement j'avais acheté la suite en même temps
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La vie est facile, ne t'inquiète pas

Encore une fois sur le fil des émotions, flirtant avec les sentiments, c'est une lecture comme on les aime, qui met du baume sur les plaies, comme sait si bien le faire Agnès Martin-Lugand ! J'ai adoré suivre Diane dans sa reconstruction, pas après pas, ne pouvant lutter contre les éléments...pour que finalement tout s'imbrique correctement, chacun à la place où il doit être. Merci pour ce moment.
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L'homme des mille détours

Attendre chaque année la dernière sortie de l'une de ces autrices préférées est à la fois un bonheur mais aussi une vraie angoisse. Et si le petit nouveau ne me plaisait pas ? Et si, blasée, la magie des mots ne m'emportait plus ou moins qu'avant ? Des "si" à la pelle qui arriveraient à ternir la joie de cette sortie. Et si je lisais sans pression pour me faire mon opinion une bonne fois pour toute ?



Patatras, le début ne m'emporte pas des masses, une histoire qui s'installe à Saint Malo par un enchainement de coïncidences improbables, où j'avoue j'ai pensé l'autrice en cruel manque d'inspiration, usant de ficelles grosses comme la sardine ayant bouchée le port de Marseille. Une ambiance aussi différente et me plongeant dans la nostalgie de celle de la Datcha qui m'avait profondément emportée. Bref, un début de lecture tiédasse.



Puis, la magie des personnages a opéré. Gary, Erin, Ivan ont rencontré mon cœur, l'ont percuté de plein fouet. Loin d'être parfaits, lisses, ils ne sont que défauts et rugosité mais dégagent une telle humanité que l'envie de les chérir a transcender ma lecture.



Fait nouveau selon moi, une certaine angoisse s'est distillée au compte-goutte au fil des pages, le dénouement incertain m'a fait craindre le pire, impossible de poser le livre tant l'envie de le connaître m'a porté. Un véritable page-turner comme je les affectionne, addictif et débordant d'émotions, les larmes jamais très loin.



Alors oui, j'ai passé un excellent moment de lecture passé les premiers chapitres peu convaincants, l'ambiance bretonne entre vents et crachins m'a engloutie, conquise.



Est- ce que j'attendrais le prochain romain avec autant d'enthousiasme ? Oui, sans aucun doute. 



Et on en parle de cette couverture ? Sublime ne lui rendrait pas justice... 





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Les gens heureux lisent et boivent du café

Un coupe ordinaire comme on en trouve partout, aimant, attachant, et une petite fille qui n'avait que la vie devant elle. Mais ça c'était avant l'accident, un camion percutant la voiture, laissant Diane dans une sombre solitude. Afin de reprendre sa vie en main après une errance de près d'un an et demi, direction l'Irlande. Rencontre d'un couple de retraités parfait, d'un voisin limite associal et de sa sœur cherchant une meilleure amie.

Après la haine, apparaît l'amour, qui lu cru ? En réalité tout le monde. On entre dans un rebondissement vu à des kilomètres malgré la fumée des 4 cartouches de cigarettes prises en 187 pages. Le pompon, Edward le taciturne se mettra à roucouler. La cerise sur le gâteau, apparition de son ex légèrement encombrante.

En résumé un amas de mièvreries, parfait pour une ado de 15 ans ne sachant pas quoi lire durant son été.
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L'homme des mille détours

Le dernier roman d’Agnes Martin-Lugand m’a déconcertée au départ. Le lecteur alterne le point de vue de plusieurs personnages, un homme -Gary-, une femme -Erin-,l’un plongeur à la Réunion, l’autre mère solo à St Malo depuis que son mari a disparu sans crier gare, 7 ans avant.

Et peu à peu, on parvient à entrer dans la vie de ces personnages et à comprendre leur quête. L’auteure construit son roman comme un drame en trois actes, avec une tension qui s’accroît page après page. J’ai dévoré cette histoire, impatiente de connaître la chute, la craignant d’ailleurs. Mais Agnès Martin-Lugand nous réserve une fin juste et lumineuse.

J’ai aimé ce roman car je trouve que l’auteure nous propose quelque chose de différent, en clair/obscure avec des personnages plus vrais que nature, qui m’ont beaucoup émus. Notamment les trois enfants d’Erin, traumatisés par l’abandon dont ils ont été victimes, qui vont apprendre à refaire confiance.

Très beau roman!!
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La Datcha

Cela faisait un petit temps que je n'avais plus lu du Agnès Martin Lugand... Mais j'apprécie toujours autant sa plume et ses personnages attachants. Il est ici question d'une jeune fille qui traine la fameuse casserole de l'abandon. Engagée dans un hôtel, Hermine laisse lentement tomber ses carapaces et devient un peu la fille adoptive des propriétaires qui la prennent sous leur aile. Les années passant, elle a 2 beaux enfants malgré sa séparation avec Samuel. Mais au décès des propriétaires, son avenir est à nouveau incertain et la réapparition de Vassily, le fils de ses patrons, la déstabilise totalement.Beaucoup de sensibilité sans tomber dans la sensiblerie... J'ai dévoré ce roman.
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Nos résiliences

Oh mon Dieu que c'est long, que c'est banal, que c'est creux !



Si le sujet était intéressant et le début prometteur, cela tourne vite en romance mièvre et répétitif. C'est un récit fort cul cul la praline très inintéressant.



Je l'ai terminé péniblement.
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Les gens heureux lisent et boivent du café

J'ai adoré ce roman, mais comme à chaque fois avec Agnès Martin-Lugand. C'est pour moi une valeur sûre pour passer un excellent moment, toujours empreint de nombreuses émotions et traitant de sujets profonds. Ici, nous rencontrons le deuil d'un mari et d'un enfant, et toutes les montagnes russes qui s'en suivent dans la reconstruction. Petit + : le dépaysement en Irlande, que j'ai adoré !
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Entre mes mains le bonheur se faufile

Depuis ma lecture de "Les gens heureux..." Et "La vie est facile...", je m'étais promis de relire un roman d'Agnès Martin Lugand. En effet, la lecture de ces deux derniers, m'avait beaucoup plu. Plongée dans le récit dès les premières pages, je n'ai pas mis très longtemps à les terminer.

Ici, il en fut de même. Dès les premières pages, le décor est planté, et on rentre très rapidement dans l'histoire. La lecture est fluide, et tranquille. J'ai tout de même eu quelques craintes au début. L'histoire me semblait évidente et de ce fait assez platonique. Mais l'intrigue a basculé et a réussi à me surprendre !

Curieuse de découvrir un nouveau roman de cette auteure !
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La Déraison

J'ai aimé tous les livres d Agnès Martin Lugand donc je partais très confiante sur cette lecture. Mais je n'ai malheureusement pas du tout accroché, je n'ai pas retrouvé sa formidable plume qui sait en général si bien nous toucher. Quel dommage. Il en faut pour tout le monde. Peut-être n était-ce pas le bon moment pour moi ? Je vais attendre pour lire son prochain.
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Une évidence

J'ai été très déçue par ce livre, il est extrêmement prévisible, et rempli de cliché sur l'amour et les relations entre les gens.

J'ai trouvé les personnages creux, le meilleur reste encore le fils.

C'est super facile et rapide à lire par contre, c'est écrit pour

Le seul truc bien c'est la morale du mensonge, comme quoi il faut pas mentir, et encore moins baser sa vie sur un mensonge!
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