Placide prend son bain. Le téléphone sonne... Que fait notre étourdi ? Il décroche... la douche !
C'était un arbre comme les autres, ni plus grand ni plus vert ni plus ombragé. Pourtant, Petit Tom se trouvait bien sous ses branches. Son écorce lui semblait douce, son feuillage sentait bon. Petit Tom a passé toute la journée auprès de lui. Depuis, l'arbre est devenu son ami, et il vient le voir souvent.
-Bouh ! Un crapaud ! Chassez-le, oncle Bertrand !
-Le chasser ? Ah non. Le crapaud, avec le hérisson et le lézard, est peut-être le meilleur ami du jardinier. Grâce à lui, des milliers d'insectes nuisibles disparaissent chaque jour, sauvant les plantes d'une lente destruction.
Les fourmis forment l'espèce la plus nombreuse du globe. On les rencontre dans toutes les régions, actives, travailleuses. Elles vivent en colonie comportant des reines, des mâles ailés et des ouvrières sans ailes.
- Tu sais, remarque Véronique, je crois que ces coquins de chats s'offriraient volontiers un petit goûter... à plumes!
L'aigle possède une telle force musculaire qu'il peut emporter dans son aire des proies aussi lourdes qu'une chèvre ou un chien de berger.
Mais peu à peu, en prêtant l'oreille, un, puis deux, puis des dizaines de murmures se font entendre autour d'eux : la chanson de la source, le coassement de la grenouille, la romance de la cigale, le sifflement du rossignol, le frémissement des feuilles... Quel plaisir d'écouter leur chant !...
-L'apparition du tracteur dans l'agriculture, [...] a profondément changé la vie du fermier. Cet engin est en effet capable, à lui seul, de faire le travail de plusieurs chevaux, plus vite, et sans exiger de soins particuliers.
-Mais c'est une rivière sans importance, capitaine...
-Il n'existe pas de rivière sans importance.
Aussi, le chien Saint Bernard, spécialisé dans la recherche des victimes égarées, a-t-il été peu à peu remplacé par l'hélicoptère.
La plupart des gens de l'équipage s'étant pris de vin pour tâcher de se délivrer de l'effroi dont ils étaient saisis, je fis avaler un verre d'eau de vie à ceux qui étaient restés sobres et leur demandai s'ils voulaient s'embarquer avec moi dans la chaloupe pour gagner la terre. La mer était si houleuse qu'il paraissait impossible que notre frêle esquif pût tenir un moment sans être englouti. (p.43)