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Critiques de Alain Grousset (301)
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Celui qui dessinait les dieux

Plusieurs raisons m’ont poussé à aller vers ce roman jeunesse, la première étant son sujet : la passion de l’art et comment elle nécessite parfois des décisions difficiles… La deuxième, beaucoup plus futile, est la curiosité créée par le travail sur la couverture. Je m’explique : en tant que membre du club des lecteurs Scrineo pour 2019, j’ai eu l’opportunité de découvrir différentes propositions de couverture soumises par Noémie Chevalier à son éditeur. Et plus que ça, on nous a demandé de donner notre avis, et la couverture finale est celle qui a emporté les suffrages des membres du club. Les différentes couvertures proposées donnaient chacune une vision de l’histoire, et j’avais très envie de découvrir comment ces différentes variations autour du roman se concrétisaient dans l’intrigue.

La version finale de la couverture reprend des éléments essentiels de l’intrigue, à savoir deux des personnages principaux, et le lien fort de Ibhô à la peinture. Elle présente donc bien aux jeunes lecteurs le contenu du livre, sans pour autant trop en dire sur l’histoire, ce qui est très important, car au-delà de l’amour de la peinture du jeune héros, c’est aussi une grande aventure qu’il va vivre, pleine de surprises et rebondissements. Il n’est pas évident de survivre à la préhistoire, déjà quand on vit dans un groupe, à fortiori donc quand on se retrouve seul dans la nature…

C’est un narrateur externe qui nous raconte les aventures d’Ibhô, même si on reste quand même très majoritairement à ses côtés. Il est vraiment, avec sa passion de la peinture, et de l’art en général, au cœur de l’histoire. Le style est clair, les phrases sont courtes, ce qui facilite la lecture et la compréhension générale du texte.

Les en-têtes de chapitres sont ornés d’un dessin inspiré de peintures rupestres, représentant cinq motifs animaliers différents qui reviennent en alternance. Ils sont signés, comme la couverture, Noémie Chevalier. La police d’écriture est assez grande, la mise en page aérée, pour faciliter la découverte des jeunes lecteurs.

Concernant l’histoire en elle-même, j’ai beaucoup aimé la relation de Ibhô à l’art, mais aussi aux animaux. Il ne veut peindre que ce qu’il a pu observer, là où d’autres (notamment le fils du chaman) sont moins regardants. Il prend aussi le temps, quand il part à la chasse avec le clan, de rapporter des pigments, et plus tard, même quand il se trouve dans des situations pas simples, il lui faut toujours prendre un moment pour récupérer des couleurs rares, ou observer la nature qui l’entoure. Sa passion pour l’art est dévorante, quitte à le mettre en danger. Ça ne lui pose pas de problème puisqu’il vit pour et par sa passion. Je me suis fait la réflexion qu’au bout du compte, heureusement qu’il a été contraint de fuir son clan, car il n’aurait jamais pu s’épanouir au milieu des contraintes imposées par les croyances. En effet, l’efficacité d’une représentation animale auprès des dieux est plus important que la qualité du dessin pour son entourage…

Sa relation, au tout début du roman, à Taar, son maître d’apprentissage, est incroyable. Ils partagent bien plus qu’un simple lien maître / élève. Ils son profondément attachés l’un à l’autre, comme un père et son fils, et le décès de Taar est de ce fait un événement crucial et traumatisant pour Ibhô, qui va lui donner une force nouvelle, pour se montrer à la hauteur de tout ce que Taar lui a appris.

Les aventures, rencontres plus ou moins malencontreuses, et nombreux rebondissements font de ce roman un livre qu’on n’a pas envie de laisser, tellement on a envie d’en savoir plus sur la Grande Grotte, et de découvrir si Ibhô y parviendra.

A la toute fin du livre, une courte postface vient éclairer le lecteur sur qui est l’abbé Nouel, à qui est dédicacé ce roman, et pourquoi l’auteur a eu envie de raconter cette période de l’Histoire. Elle est suivie de quelques pages de dossier documentaire, signé Romane Fraysse, qui nous éclaire un peu plus sur l’art préhistorique, et qui peut tout aussi bien être lu avant le roman sans rien divulgâcher de l’intrigue.

Celui qui dessinait les dieux est un roman d’aventures original, de part sa crédibilité par rapport à l’époque préhistorique, mais c’est aussi une très belle quête initiatique d’un amoureux de l’art à une époque où un homme se doit de nourrir et protéger son clan, et où la pratique artistique est réservée à une élite. Ibhô transcende les usages de son temps pour vivre pleinement sa passion, quitte à se retrouver isolé et en danger. C’est un personnage fort et attachant, et sa relation aux autres, à la nature et aux animaux, empreinte de respect et d’ouverture d’esprit, est un bel exemple pour le lecteur.
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Sens interdit

Je ne saurais dire ce qui m'a réellement conquise dans ce livre, et pourtant j'ai été envoutée. C'était il y a plus d'un an déjà, et je ne crois pas me souvenir d'un style particulier attachant. Pourtant, je ne peux m'empêcher d'y mettre cinq étoiles. Les quatre virgule cinq étant synonymes d'un livre parfait et adoré, et les cinq étoiles d'un coup de cœur, que le livre ait ou non des défauts. L'histoire m'a littéralement alpaguée, et je me suis retrouvée au cœur de cet univers. Nul doute, pour moi, que c'est à partir de « Sens interdit » que je me suis mis à dévorée des uchronies : auparavant, je les aimais, mais sans plus, et cette œuvre a été pour moi une sorte de déclic.

L'aventure en elle-même est, si je me souviens bien, pleine de suspens et d'inattendu. Mais réellement, ce qui m'a plu, c'est cette idée, cet univers. Partant d'une simple maladie qui se répand et a des conséquences désastreuses, on abouti à un présent parallèle. Si terrifiant qu'il en serait presque magnifique. Imaginez-vous, lecteurs, ne pouvant sentir qu'une sorte d'odeur ? Vous serez chanceux, si l'odeur douce des fruits était la seule qui parvenait à vos narines ; mais que diriez-vous, si vous ne sentiez que l'essence, ou pire, uniquement les excréments ? Car c'est bien ce qui se passe, dans ce monde. Notre aventure commence en Afrique, mais partout, l'odeur unique que les hommes peuvent percevoir est testée, et détermine leur place dans la société, elle-même gouvernée par des fanatiques religieux. Mais il y a pire, bien sûr. Tellement pire... car lorsque la différence devient universelle, on l'accepte comme normalité. Alors, quoi de pire, dans ce monde uchronique, que de pouvoir tout sentir ?



Une sublime œuvre. Si je la relisais, je trouverais sans doute des défauts. C'est pour ça que je n'ai pas envie de la relire, pour le moment. Je n'ai pas envie de me dire que le style aurait clairement pu être amélioré, ou autre chose. Non, j'ai envie de rester sur ce coup de cœur de gamine.
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Celui qui dessinait les dieux

On retrouve dans ce livre tout ce qui a fait le succès d'Alain Grousset et c'est tant mieux car on ne se lasse pas de ses héros en quête de vérité dans des mondes brimant trop souvent les jeunes. Ici c'est Ibhô, apprenti peintre préhistorique qui voyage en compagnie de Maraa, douée pour poser des pierres en équilibre, ce que de nos jours on appelle le stone balancing. Mais leur parcours est parsemé d'embûches. On regarde bizarrement les artistes depuis l'aube des temps ! Mis à part un "marre de tout ça" qui m'a fait sourire, n'allant guère avec les peaux de bêtes, tout est cohérent et se lit aisément. A mettre entre toutes les mains de jeunes lecteurs - et moins jeunes - pour découvrir l'art des peintures rupestres.
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Celui qui dessinait les dieux

J’ai vraiment beaucoup aimé ce petit roman jeunesse certes tout simple, mais qui je trouve est extrêmement bien rythmé et très intéressant, ce qui ne gâche rien. J’ai particulièrement apprécié la passion qui se dégageait de cette histoire et qui m’a littéralement transportée, fait vibrer, mais qui m’a aussi, je dois l’avouer, pas mal touchée.

Cette passion sera ici plus particulièrement tournée vers le dessin et la sculpture, mais je suis persuadée que quiconque lira ce roman et aura déjà été passionné par quoi que ce soit dans sa vie, adhérera et comprendra sans aucun problème l’ardeur, l’énergie, le feu intérieur et la passion qui animent les deux personnages principaux.

Cette histoire est en quelque sorte une ode à l’art et à la passion qui peut animer tout un chacun, mais aussi une belle leçon de vie qui nous démontre que peu importe les embûches, les problèmes ou les ralentissements que l’on peut trouver sur son chemin, quand quelque chose nous anime vraiment et que l’étincelle de la passion ou de l’envie est là, ça vaut vraiment le coup de s’y accrocher et de la vivre à fond les ballons.

Bref, j'ai adoré cette lecture et je remercie très fort les éditions Scrineo pour cette découverte.
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Nounou

1889, Paris se prépare pour l'exposition universelle et la présentation de la Tour Eiffel.



C'est dans ce contexte que Céline débarque, depuis le Morvan, à Paris dans l'espoir de trouver du travail et régler les dettes accumulées chez elle.

Étant jeune maman, elle va trouver une place de nounou, entendez pour l'époque : fournisseuse de lait maternel pour bébé bourgeois.

Certes la famille lui fait vivre une vie inespérée : vie bourgeoise, habitat sain, nourriture disponible, voyage à Deauville, dimanche à la campagne mais cette vie lui apportera aussi désillusions, drame et tristesse comme le décès de son fils.

Ainsi était la vie à l'époque, la mère laissait son petit à une nounou de basse extraction pour elle-même aller nourrir un petit mieux né encore.



Ce roman, à la fois fresque social et historique vous offrira un moment de détente, vous permettra de parcourir de façon romanesque le Paris de l'époque tout en vous narrant la condition des nourrices, le superficiel de la vie mondaine



Ah et, vous rencontrerez Gustave Eiffel. Si, si ! Avec les romans tout est possible ou presque ;-)
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La guerre des livres

Roman pour jeune ado. Bien !
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Gigante, tome 1 : Au nom du fils

Roman pour jeune ado. Très bien !
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Celui qui dessinait les dieux

Quand la préhistorique rencontre l’art des tous premiers Hommes, une rencontre avec Ibhô ne peut s’avérer que formidable !



Je remercie les éditions Scrineo pour cette lecture. Celui qui dessinait les Dieux est un roman que j’avais aperçu il y a déjà quelque temps sur Facebook. Faisant parti du club des lecteurs Scrineo, nous devions sélectionner la couverture qui allait le mieux représenter ce livre. Je suis heureux de savoir que c’est celle-ci qui a été sélectionnée !
Lien : https://www.acaniel.fr/celui..
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Vertical

Un roman jeunesse pour les fans d'Avatar

Rendez-vous en tribu inconnue! Le peuple de la Falaise vit en harmonie avec la nature. Il détient le secret d'une plante miraculeuse qui pourrait guérir toutes les maladies, évidemment très convoitée. Thékla, jeune ethnologue envoyée en mission de reconnaissance par sa firme pharmaceutique va rencontrer le beau Lix et son peuple.

J'ai aimé le mélange d'ingrédients : ethnologie, science-fiction, aventure, escalade, amour, suspense... qui composent un roman palpitant, dépaysant, invitant à la réflexion entre les aspirations de sociétés hyper technologiques et celles des minorités.
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Le magicien du pharaon

Djar est inquiet. Son oncle, un célèbre architecte, est parti à Thèbes pour traiter des affaires courantes, mais il n’en est jamais revenu. N’écoutant que son courage, il décide de partir à sa recherche, sans argent en poche et sans aucune information. Heureusement, il est débrouillard et plein d’astuce. En arrivant sur place, il découvre un sombre secret qui le dépasse totalement… et qui pourrait bien mettre en péril le Pharaon – rien de moins !



La suite sur le blog ! =)
Lien : https://antredeslivres.blogs..
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Les passe-vents

Un livre agréable à lire mais le dénouement est prévisible et l'ensemble se lit un peu vite. Certains passages auraient pu être détaillés davantage.
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Gigante, tome 2 : Au nom du père

Un très bon cru de Bordage !!!

Un one shot resserré, à l’écriture fluide comme toujours.

J’ai passé un très bon moment de lecture : le monde inventé est fabuleux dans tous les sens du terme. Sa démesure m’a séduite.

Mon sens de la logique a bien été titillé une ou deux fois (sur les histoires de jour/nuit) mais c’est vraiment mineur.

J’ai découvert l’existence du pendant « jeunesse » en lisant les autres critiques, je crois que j’y jetterai un coup d’œil à l’occasion.
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La citadelle du vertige

MAGNIFIQUE
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Dix façons d'assassiner notre planète

Cette anthologie axée sur l'impact que l'homme peut avoir sur la planète saura parler à tous. Nous avons tendance à penser que les annonces catastrophistes de certains scientifiques relèvent de la science-fiction, qu'il n'arrivera rien d'aussi effroyable. Comment imaginer, en effet, un changement de climat rendant nos continents inhabitables, comment concevoir que nos déchets, si savamment ramassés, triés et surtout dissimulés, pourraient finir par nous ensevelir ? Comment appréhender ce qui n'a pas encore d'effet direct sur notre confortable quotidien ? Il suffit de lire ces nouvelles pour être quelque peu déstabilisé dans ses certitudes et envisager, je l'espère, un vrai changement dans les comportements humains. Une lecture d'intérêt public !
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10 nouvelles fantastiques : De l'Antiquité à ..

Un livre très intéressant, dans la mesure où il démarre avec un auteur de l'Antiquité, son vocabulaire assez alambiqué, pour arriver rapidement à l'époque actuelle, en traversant tous les styles d'écriture. C'est très formateur pour des enfants qui pourront se rendre compte que le genre littéraire de la nouvelle existe depuis bien longtemps mais a largement évolué au fil des siècles ! A recommander sans problème.
Lien : https://livre.fnac.com/a3087..
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10 nouvelles fantastiques : De l'Antiquité à ..

Un livre très intéressant, dans la mesure où il démarre avec un auteur de l'Antiquité, son vocabulaire assez alambiqué, pour arriver rapidement à l'époque actuelle, en traversant tous les styles d'écriture. C'est très formateur pour des enfants qui pourront se rendre compte que le genre littéraire de la nouvelle existe depuis bien longtemps mais a largement évolué au fil des siècles ! A recommander sans problème.
Lien : https://livre.fnac.com/a3087..
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La citadelle du vertige

Excellent livre lu il y a de nombreuses années, à l’adolescence et qui m’a ouvert les yeux sur le danger des croyances aveugles.

Je viens de le racheter pour l’offrir à mon fils tellement il est toujours d’actualité.
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10 nouvelles fantastiques : De l'Antiquité à ..

J'avais beaucoup apprécié l'anthologie de nouvelles SF concoctée par Alain Grousset ("Les archives du futur un siècle de SF" paru au Livre de poche jeunesse). J'avais trouvé le choix des nouvelles très réussi et la façon de les présenter très pertinente. Du coup, quand j'ai vu qu'Alain Grousset avait également fait ce travail de compilation avec un recueil de nouvelles fantastiques, je me suis jetée dessus. J'ai très bien fait, ce recueil est très bon et permet de voir l'évolution du fantastique au cours de l'Histoire. Bien sûr, toutes les nouvelles ne se valent pas, certaines sont moins enthousiasmantes que d'autres mais elles présentent toutes un intérêt.



Le 1er récit, "la maison hantée" de Pline le jeune permet de rappeler que le fantastique est un genre universel et intemporel. Sans doute existe-t-il depuis que les Hommes se racontent des histoires. Le récit de Pline le jeune est très plaisant à lire et d'une étonnante modernité, tous les ingrédients d'un récit classique de hantise sont là : l'apparition, les chaînes, les bruits effrayants...



Comme le rappelle Grousset dans son introduction, au Moyen-Age le fantastique n'a pas vraiment bonne presse. Mais on trouve tout de même des textes remarquables, comme ce "Bisclavret" de Marie de France qui est une très bonne histoire de lycanthropie. Bien sûr, le dénouement très moral est un peu attendu mais le récit fonctionne bien et le mélange entre histoire d'amour et surnaturel est réussi.



Je connaissais déjà Augustin Calmet pour avoir lu "Dissertations sur les apparitions des anges, des démons et des esprits, et sur les revenants et vampires de Hongrie, de Bohême, de Moravie et de Silésie" (ce titre !). Je n'ai donc pas été surprise par le récit ici proposé mais c'est le genre d'histoires qui fonctionne bien et dont la mécanique parfaitement huilée a fait ses preuves et a maintes fois été utilisée depuis.



"Le château du diable" de Gérard de Nerval est un des textes qui m'a le moins emballée. La 1ère partie de la nouvelle est très bonne et parvient à instaurer une atmosphère intéressante mais la suite est un peu décevante.



En revanche "le masque de la mort rouge" de Poe est un délice du début à la fin. L'atmosphère gothique est très prenante. Le côté à la fois macabre et merveilleux est fascinant et très séduisant.



"Qui sait" vient rappeler combien Maupassant est un conteur de génie. L'histoire qu'il propose est à la fois amusante et inquiétante. L'intrigue est rythmée et bien menée sur un sujet inattendu.



"La disparition d'Honoré Subrac" est un bon texte d'Apollinaire mais assez anecdotique. Si l'écriture est plaisante, l'intrigue n'est pas vraiment passionnante.



Le récit de Ray Bradbury, "le coquillage", est tout simplement magnifique. l'intrigue est originale et poétique. Le récit est bien mené. Cette nouvelle est un véritable bijou.



Une autre très bonne nouvelle du recueil est "Popsy" de Stephen King. Même si la fin est un peu attendue, le récit est si bien mené, l'auteur sait rendre son histoire si addictive que la lecture de ce texte est un régal.



Le dernier récit, une nouvelle écrite à l'occasion de ce recueil par Pierre Bordage, est une autre perle de la compilation. Sur un sujet qui, a priori, ne m'intéressait pas (une histoire de téléphone portable), Bordage propose une histoire très prenante et prouve une nouvelle fois qu'il est un conteur hors pair.



Voilà donc une très bonne anthologie qui conviendra aux jeunes lecteurs (à partir de 11-12 ans) mais aussi aux plus grands.

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Dans le ventre de papa

oici un album qui m'a fait tilt dès que je l'ai vu sur l'étalage au salon du livre jeunesse où dédicaçait Carl Norac. Mon conjoint a une petite bedaine comme le personnage (enfin moins quand même !) et on s'amuse souvent à dire qu'il y a un bébé dedans. C'est exactement ce qui se passe dans cette histoire ! La petite fille croit que son père va avoir un bébé alors elle ne dit rien mais elle fait tout pour aider son père : elle porte les sacs, elle sort les poubelles, elle engueule une dame qui ne lui laisse pas sa place dans le métro... à force de focaliser sur son père, elle ne remarque même plus sa maman ! Et la chute est super sympa !



J'ai beaucoup aimé ce livre, et mon Mini aussi ! On a bien rit, surtout qu'il sait très bien qu'il ne peut pas y avoir de bébé dans le ventre du papa ! Une belle découverte !
Lien : http://blogonoisettes.canalb..
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Le magicien du pharaon

J'ai lu deux fois ce livre, en 2014 puis en 2017. Merveilleux, histoire magnifique.
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