je lui fis comprendre que la littérature n'avait pas à attendre que nous reconnaissions son existence à travers les actions, les bons sentiments ou la dévotion des auteurs pour une cause, fût-elle la plus noble au monde. Il fut choqué lorsque j'avançai qu'il y avait dans l'histoire des Belles-Lettres des "salauds", des ingrats ou des misanthropes qui étaient néanmoins des génies littéraires. (p. 208)