Avec classe, et une émotion poignante, Montcouquiol trace les visages, les rivalités, la sueur dans les yeux, les trous dans la peau, le ramdam sous la poitrine, les cabrioles devant la mort. D'aucuns diront que, à force d'écrire la vie et la fin de Christian, Alain s'empêche de vivre
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