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3.56/5 (sur 17 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 16/05/1942
Biographie :

Alain Rafesthain, né le 16 mai 1942 dans le Cher est un homme politique français. Membre du Parti socialiste, il a été président du conseil régional du Centre et est l'actuel président du conseil général du Cher.

Sorti de l'école normale de Bourges, il a enseigné l'éducation physique et sportive au collège d'Aubigny-sur-Nère (Cher) et a été instituteur à l'école Marcel-Sembat de Bourges. Passionné par l'histoire de la Résistance, Alain Rafesthain a créé à Fussy, un musée de la Résistance.

Source : µWikipédia
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Bibliographie de Alain Rafesthain   (11)Voir plus

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Encadré régionales : Conseil régional Centre rappels
En prévision des prochaines élections régionales, un point sur le Conseil régional du Centre dont Alain RAFESTHAIN est le président de Gauche avec 33 sièges, contre 30 pour la Droite et 13 pour l'extrême Droite. Cette assemblée régionale est née d'un scrutin proportionnel à un tour qui a eu lieu en mars 1998. Retour sur les élections de 1998 avec la polémique liée à l'alliance de...

Citations et extraits (7) Ajouter une citation
Le relief jurassien, sans égaler celui de Haute-Savoie, ne manquait pas de charme et nous permit quelques belles découvertes comme celles des Echelles de la mort ou du Saut-du-Doubs, réduit malheureusement par la sècheresse à un filet d’eau.

Une anecdote savoureuse m’est aussi restée en mémoire : ayant projeté une excursion en Suisse, nous fûmes arrêtés par les douaniers français qui exigèrent nos cartes d’identité. Nous en étions pourvus mais celle de Daniel Godin était périmée. Il ne pouvait pas quitter la France. Nous étions sur le point de faire demi-tour quand l’un de nos contrôleurs se ravisa : moyennement le payement d’une taxe, il était possible de lui délivrer un laissez-passer pour la journée. Merveilleuse administration française qui pouvait établir un document licite à partir d’un autre qui ne l’était plus !
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Tôt le lendemain, nous partons vers les Pangalanes dans deux minibus brinquebalants dont la suspension est mise à mal par l’état de la chaussée, une nationale pourtant. Des trous, encore des trous que le chauffeur ne peut pas tous éviter et je m’attends à tout moment à ce que le car rende l’âme. Après une journée de périple à travers collines rouges et rizières, nous parvenons néanmoins sans encombre au canal des Pangalanes. Là, c’est l’émerveillement : sous la lumière chaude du soleil déclinant et dans un calme qui tranche tellement avec l’animation de la capitale, nous découvrons la végétation luxuriante d’où émergent de nombreux palmiers inclinés au-dessus des berges, ils délimitent un bras large de quelques centaines de mètres où s’aventure un bac, qui s’enfonce à moitié sous le poids de deux antique camions.
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L’émotion ne peut se confondre avec le bonheur même si elle en constitue parfois le fondement. Par contre, l’écriture à laquelle je m’adonne presque chaque jour ― il serait plus juste de dire chaque nuit ― m’aide à accepter la vie trépidante qui est la mienne et me procure un véritable bien-être. Après plusieurs ouvrages consacrés à la Résistance, une trilogie et un essai politique, j’ai eu le plaisir de publier fin 2002 : « Quand les Uhlans passèrent la Loire », roman historique qui plonge le lecteur dans la guerre de 1870 et la Commune de Paris. […]. Je crois pouvoir affirmer que l’écriture et ce qu’elle engendre a toujours été pour moi un élément d’équilibre et de sérénité.
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Je pris rendez-vous avec l’infirmier militaire en vue de l’indispensable prélèvement sanguin. Celui-ci n’eut aucun mal à me poser un garrot et à trouver une veine dans le pli du coude mais le sang ne coula pas. Il fit au moins cinq tentatives sans obtenir la plus petite goutte et, bien que je ne sois pas douillet, je commençais à sentir la sueur perler sur mon front. Il s’en aperçut et décida d’appeler un autre infirmier qui réussit du premier coup […]. Renseignement pris, mon premier piqueur était mécanicien dans le civil et devait sa place qu’à une formation accélérée, sans doute bien insuffisante.
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Je participe à la campagne de François Hollande pour les élections présidentielle d’avril mai. Le candidat vient passer une journée entière au « Printemps de Bourges » où je reçois sur le stand du Conseil général.
Sa journée se termine par de nombreuses interviews au cours desquelles il me surprend par ses connaissances sur les artistes et le monde du showbiz, avant qu’il ne passe au diner. Je me trouve séparé de lui par une jeune femme qui m’est inconnue. Je crois être discret lorsque je demande qui elle est à mon voisin de droite. Discret, je ne le suis sans doute pas assez puisque ayant entendu ma question, elle se présente à moi comme étant Valérie Trierweiler. Puis se tournant vers son compagnon, elle constate avec amertume : « Tu vois, je manque vraiment de notoriété ! »
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Ils étaient les « Monzami »… Dans la France de la
fin des années 40, c’est ainsi que l’on nommait ces
colporteurs arabes, combattants rescapés, qui
sillonnaient les campagnes en vendant de maigres
effets.
Une nuit froide, l’un d’eux demanda l’hospitalité
à Edmond et Simone, les boulangers de
Presly. Au petit matin, Monzami laissa derrière lui
une montre pour remercier ses hôtes. Elle ne quittera
plus François, leur enfant, qui la reçut pour
sa communion.
Bien des années plus tard, c’est à cette montre
que celui-ci se raccrocha, blessé grièvement
lors de sa première embuscade en Algérie. On
l’y avait envoyé pour maintenir un ordre, celui
des colons, qu’il ne comprenait pas.
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Si j’ai choisi comme titre de ce livre : « Le bonheur en héritage », c’est que le bien-être moral et l’estime de soi (terreau du véritable bonheur) constituaient le seul legs que pouvait me transmettre maman. Y est-elle parvenue ? C’est pour essayer de le comprendre que j’ai rédigé les pages qui suivent, remplies de souvenirs personnels, familiaux ou collectifs.
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