Blainville c’est plutôt sympa pour un week-end, éventuellement pour des vacances mais le temps y est long pour un flic placardisé. Le commissaire Zamanski s’y langui depuis qu’il a quitté la PJ suite à la mort violente et suspecte de sa compagne…Si ses cauchemars l’ont suivi, l’action n’est pas au rendez-vous dans cette petite station balnéaire où il s’ennuie malgré la présence de sa pulpeuse associée Lolo…Jusqu’au jour où un incendie ravage l’hôtel La Capitainerie faisant une victime, René Mertens, un Belge domicilié à Ostende. L’affaire est classée sans suite, accident, mais pas pour notre commissaire… L’enquête est lancée.
Jean Claude Bertin, fonctionnaire sans histoire, marié et père de deux enfants, résidant en banlieue parisienne est appelé à Limoges par sa mère inquiète : son père Philippe a disparu. Ce dernier, policier à la retraite, a ouvert une agence de détectives privés à La Rochelle avec un ancien collègue, Vautier. Mettant le cap vers la célèbre cité maritime pour tenter de retrouver l’égaré, Jean-Claude va déclencher une série noire de découvertes nauséabondes qui le conduiront à Blainville sur les traces d’une certaine Jessica, occasion pour Bertin junior de saisir les multiples facettes du paternel et se découvrir lui-même une sacrée part d’ombre… La quête va s’avérer très meurtrière.
Tout le long du livre les deux récits se croisent, se rejoignent, deux affaires d’abord sans aucun lien, qui vont se rapprocher, les aller-retour entre les deux villes se multipliant, s’accélérant, jusqu’à l’apothéose finale. Tout cela finira mal sur fond de corruption généralisée, rien ne nous est épargné mais on ne s’ennuie pas une seconde, le scénario est impeccable, l’écriture ciselée, les personnages pourris à point… On exceptera nos deux flics, bien décidés à ne pas s’en laisser conter et les kilomètres défilent, un petit détour jusqu’à Ostende, les bagnoles se poursuivent, s’enlisent, foncent dans des chemins sans issue … Un petit break à la plage pas vraiment de tout repos ! Merci Koalas de m’avoir inspiré cette lecture !
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Branle bas de combat à Blainville en Normandie.
Un client est retrouvé carbonisé dans l'incendie de l'hôtel la Capitainerie.
L'affaire est classée sans suite par la crim'
mais pas par le têtu commissaire Zamanski et sa plantureuse adjointe.
Au même moment mais ailleurs,
un dénommé Bertin, fonctionnaire aux affaires sociales, recherche son père, un flic à la retraite qui a disparu de la circulation ...
Cette enquête tourbillonnante et cette quête haletante
bien emmelees sont rudement bien menées.
Alain Wagneur s'avère aussi à l'aise à faire couler du sang d'encre
que dans le démêlage des (têtes de) nœuds marins.
Terminus plage , bronzage pas garanti mais bonne pêche assurée !
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Livre jeunesse faisant découvrir la joie des colonies de vacances ou, selon le maitre d'école, des classes de mer.
Il tient à cette appellation, car les élèves sont aussi là pour apprendre.
Aventures, découvertes sont au rendez-vous sur l'île d'Yeu, pour cette classe de petits Parisiens. La faune, la flore marine et la voile...
Ils vont aussi apprendre à vivre en collectivité.
Pour Franck , c'est un bel apprentissage. Lui, qui ne peut pas s'empêcher de faire des bêtises et de se faire des ennemis, va finalement découvrir en lui un talent de caché. Tout n'est pas perdu.
Une belle histoire d'amitié entre Franck et Margaux, des instituteurs et des moniteurs attentionnés, et une petite leçon de morale en prime, font que ce roman ne manque pas d'intérêt.
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Alain Wagneur est directeur d’une école parisienne. À l’occasion d’une formation, il s’interroge sur le sort des milliers d’enfants juifs qui fréquentaient les écoles de la capitale pendant la Seconde Guerre mondiale. « Comment fait-on la rentrée lorsque tous les élèves ont été arrêtés, parqués dans des camps, déportés vers une destination inconnue ? » (p. 21) Wagneur se lance dans une recherche ambitieuse : comment l’école républicaine a-t-elle réagi devant les lois antijuives ? Dans les registres, que sont devenus les enfants juifs ? L’auteur propose une histoire de l’École en tant qu’institution et une histoire des écoles en tant que lieux de passage et d’apprentissage « Les bâtiments scolaires illustrent l’histoire de la République. » (p. 15)
L’auteur fréquente les archives nationales et départementales, exhumant des lettres, des circulaires, des rapports et des cahiers de liaison, à la recherche d’une manifestation quelconque en faveur de la protection des écoliers juifs. « La première manière de signaler la déportation d’un élève, c’est de ne rien écrire. » (p. 178) Ses conclusions sont édifiantes, mais jamais accusatrices. Il n’est plus temps de jeter la pierre, ni de pointer du doigt le silence de l’institution scolaire. Car il n’est pas facile d’être un juste parmi les nations quand la peur de l’occupant et le poids de l’administration entravent la révolte et la résistance. Humblement, l’auteur mène un travail qui tient plus du devoir de mémoire que de l’accusation. « L’école doit bien ces quelques graines de souvenir à ses anciens élèves. » (p. 233) Alain Wagneur rappelle qu’avec la triste affaire Merah, l’antisémitisme parvient encore sans difficulté à pousser la porte de l’école, alors que ce lieu et cette institution devraient être les meilleurs remparts offerts aux enfants de toute confession et de toute origine contre les assauts du monde. Il ne sera jamais vain de « réaffirmer l’inviolabilité de l’école ».
Alain Wagneur ne fait pas qu’interroger les archives et le passé, il se questionne aussi en tant qu’homme, tentant d’imaginer son attitude face au régime de Vichy. Il fait le récit de sa recherche et de ses résultats, doutant de sa légitimité à aborder son sujet. « Comment parler des Juifs lorsqu’on est directeur d’une école laïque ? » (p. 95) Entre récit personnel et réflexion historique, Alain Wagneur propose une sorte de texte policier, mais différent de ceux dont il est coutumier. Ici, le coupable est connu de tous et le destin des victimes l’est tout autant : ce qui importe donc n’est pas de découvrir le meurtrier ou le mobile, mais de comprendre comment le crime a été rendu possible.
Des milliers de places vides est un texte qui mérite largement sa place dans la production littéraire sur la Shoah. Et parce que l’École, en dépit de ses faiblesses et de ses erreurs, ne sera jamais une institution inutile, il est bon de rappeler la devise républicaine qui orne les frontons de ses bâtiments : Liberté – Égalité – Fraternité.
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Quand son père disparaît, un détective privé Claude Bertin découvre qu'il n'avait jamais connu son père. Pire il est traqué une bande qui elle aussi est à la recherche de son père parce qu'il s'est enfuit avec une bonne quantité de leur cam, c'est à lui soit de retrouver son père ou la cam, soit d'en payer la valeur, he bien le ciel vient de lui tomber sur la tête...de l'autre côté, le Capitaine Zamanski a bien des mystères à élucider dont cette affaire du père de Bertin qu'il semble mieux connaitre...
Un polar qui part de suspens en suspens, il nous tient en haleine qu'on finit par compatir avec le Bertin fils, on est troublé par ses découvertes étonnantes, ses inquiétudes car son père est un cardiaque, on déplore la course acharnée contre la montre à laquelle il se livre pour pouvoir mettre à l'abri sa vie et celle de sa petite famille, sans le vouloir vraiment il devient bien détective plus que son père!
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Une classe de CM2 de Paris, part en classe de mer sur l'île d'Yeu. Sur l'île, les enfants apprennent à naviguer en s'amusant. Franck, un nouvel élève, ne fait que des bêtises depuis son arrivée : il jette une Nintendo à la mer, fait tomber Margaux avec son vélo dans l'eau, se bat avec les autres... Jusqu'à ce qu'on l'accuse d'avoir volé de l'argent à un professeur.
Il va être renvoyé chez lui le lendemain. Mais, finalement, on trouve le vrai coupable.
C'est un peu trop tard, car Franck a fait une fugue. On le retrouve dans un château en lui demandant de revenir à la colonie.
C'est lui ainsi que ses coéquipières qui gagnent la course de voile, sans faire de"conneries", comme dit Farid.
Au début du séjour, Franck faisait des bêtises sans le faire exprès, car il était malheureux. À la fin, il prend confiance en lui. Il sait qu'il peut accomplir de belles choses et que les autres peuvent l'aimer.
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Des écoliers parisiens embarquent en classe de mer pour découvrir l'île d'Yeu.
Le séjour ne sera pas de tout repos : entre l'arrivée d'un nouvel élève turbulent, Franck Rouveyre, des sorties en bateau, en vélo, la visite d'un château, une boum, et un concours de voile, pas de quoi s'ennuyer !
Mais une "affaire" qui va concerner tout le petit groupe risque de faire tourner court le séjour...
Livre lu à la base uniquement pour avancer sur le challenge RIQUIQUI, car bloquée pour valider le premier palier avec une lecture sur le thème de l'école et de l'enfance.
Bien que pas l'habitude de lire des romans jeunesse, celui-ci était sympathique (malgré quelques clichés sur les ados).
Une petite enquête avec des touches d'humour.
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Un policier lent, qui manque de rythme.
Des Landes au Mali, Zamanski enquête en solo sur le meurtre déguisé en suicide d’un de ses anciens profs.
L’Afrique est au centre de ses recherches.
C’est très actuel politiquement et se rapproche de faits réels ayant récemment existé .
J’avoue m’être un peu ennuyée au fil des pages et avoir trouvé le tout assez long, même si ce livre n’est pas mauvais en soi.
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Une fois encore, Alain Wagneur sait passionner son lecteur qui tourne avec avidité les pages pour aller de surprise en rebondissement dans une atmosphère bien sombre mais non dénuée d’humour et d’humanité.
Le commandant Zamanski, de livre en livre, impose sa présence et sa touche personnelle dans la famille des enquêteurs aussi désabusés qu’efficaces, les Nestor Burma, Pépé Carvalho et autres Adamsberg…
Un petit séjour à Blainville-sur-Mer hors saison, vous verrez, c’est très vivifiant, et beaucoup moins tranquille qu’on pourrait le croire…
L'intrigue distillée, à travers une vérité crue cloue le lecteur. Ce livre se dévore, très original, très bien écrit.
Un conseil cependant, ne lisez pas la quatrième de couverture qui raconte la moitié du livre !
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La vie s'écoule tranquillement à Blainville, bourgade sans problème de la côte atlantique. Là, Richard Zamanski attend plus ou moins que les choses se passent, regrettant ses années au sein de la PJ parisienne et remplissant ses devoirs de flic mis au placard en s'occupant des petits délits avec sa collègue Laurence Fuzier.
Jusqu'au jour où l'incendie d'un hôtel va leur laisser un cadavre sur les bras, celui d'un certain Mertens, citoyen belge dont la mort se révèle rapidement ne pas être accidentelle.
Commence alors une enquête qui va mettre à jour les différentes magouilles locales.
On suit en parallèle l'évolution des deux policiers et le parcours d'un homme, Jean-Claude Bertin, qui se lance sur la piste de son père, ancien flic devenu détective privé, récemment disparu.
Un polar sans temps mort, à l'écriture originale, incisive et un portrait de flic convaincant, marqué par un drame personnel, et qui fait face au destin avec courage et un esprit quelque peu frondeur.
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Il y a deux affaires distinctes dans ce roman policier.
D'abord celle d'un policier, Richard Zamanski, mis au placard dans une petite station balnéaire. Lorsque l'hôtel-restaurant de la ville est incendié, et malgré un mort, l'affaire est classée rapidement. Mais comme le chef des pompiers émet des doutes sur l'accident, voici Zamanski qui enquête en douce.
Puis il y a l'affaire du père disparu de Jean-Claude Bertin, fonctionnaire tranquille, qui va partir à sa recherche. Il va découvrir que son père, retraité, a ouvert une agence de détectives privés et est, à l'occasion, maître-chanteur. le compte à rebours est commencé, car la vie de ce père est menacée.
Le récit voguera régulièrement entre les deux enquêtes, de Zamanski à Bertin, l'un ignorant l'autre. Chacun a son style, le premier, calme, prend son temps, le second, fiévreux, court en tous sens.
Le scenario est très réussi et nous amènera à comprendre le lien entre les deux affaires.
Le suspense est impeccable. Les caractères sont bien définis, et dans une ambiance de perversité générale, chacun découvrira les parts sombres de son âme.
C'est un très bon policier, bien classique, bien efficace, on ne le lâche pas.
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Une quête et une enquête, qui vont finir par se mêler au fur et à mesure que les masques vont tomber. Philippe Bertin, ex-policier en charge d'une officine de détective privé sise à La Rochelle, disparaît brusquement. Son fils Jean-Claude va se mettre à la recherche du cher disparu, et sa vie pépère va basculer du côté "sombre". Non loin de là, dans la petite cité balnéaire de Blainville, où a échoué quelques mois auparavant l'inspecteur Richard Zamanski (voir "Hécatombe-les-Bains"), un hôtel brûle, en cramant au passage un client. L'enquête est vite classée "sans suite", mais c'est sans compter sur la pugnacité de notre inspecteur qui, en compagnie de sa pulpeuse collègue Laurence Fuzier, va mettre le nez une fois de plus là où il ne faut pas. De l'action, de la dérision, de la sédition, bref un Wagneur en pleine forme. À vos marques...
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C'est un livre amusant, avec une bonne leçon de moralité mais néanmoins beaucoup trop de répétitions dans ce livre.Le vocabulaire de ce livre est assez grossier.
Samer
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Deux classes parisiennes de CM2 partent sur l'île d'Yeu, mais attention, il ne s'agit pas de vacances, ils vont en classe de mer. Parmi les élèves, un petit nouveau, Franck qui cumule les problèmes.
Au programme découverte de la faune et la flore et surtout la pratique de la voile.
Un petit livre jeunesse tout simple, à lire sur la plage, tout en gardant un œil sur les bateaux.
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Ce qui fait la petite originalité de ce livre, c'est qu'il vous offre deux enquêtes pour le prix d'une. L'une menée de main de maître par le flic ne croit pas à la cause accidentelle de l'incendie qui a ravagé un hôtel du bord de mer et causé la mort d'un client et va s'appuyer sur sa longue expérience et son réseau pour démontrer qu'il y a anguille sous roche. Et l'autre plus amateur dans laquelle se lance le fils, fonctionnaire médico-social du côté de Limoges, qui va se transformer en fin limier pour remettre la main sur son père, ex-flic à la retraite, qui ne donne plus de nouvelles depuis trop longtemps.
Bien sûr, les deux enquêtes vont s'entremêler et mettre à jour les immondes saloperies d'un groupe de mâles nantis et veules.
Si vous aimez les villes balnéaires désertées hors saison, la dénonciation des turpitudes des notables de province, sans oublier le vieux flic désabusé mis sur la touche et le fils qui découvre que son père n'est pas celui qu'il croyait, vous allez trouver ici les ingrédients principaux d'un bon polar classique dans sa forme et son contenu. Pour autant, ça fait du bien de retrouver les ressorts d'une intrigue bien menée et efficace.
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Vous aimez la Françafrique ? Vraiment ? Alors, n'achetez pas (ou n'empruntez pas) ce livre, il n'est pas pour vous ! Alain Wagneur, qui se lance en géopolitique, surfe sur la vague de quelques "affaires" qui ont défrayé la chronique des débuts de ce vingt-et-unième siècle (L'Arche de Zoé, les pratiques "magiques" d'un certain président ivoirien...). L'action démarre en France, dans la tranquille bourgade de Blainville-les-Bains, ville imaginaire située en Charente Maritime, où le commandant Richard Zamanski ("Hécatombe-les-Bains", "Terminus plage") enquête sur le suicide mystérieux de Claude Parvillier, professeur en retraite récemment rapatrié du Mali. On le retrouve mort à côté de deux plaquettes de somnifères et d'une bouteille de whisky vide, mais son micro-ordinateur a disparu. Bizarre, non ? Il n'en faut pas plus à notre policier curieux mais tenace pour flairer la sale affaire. Il va poursuivre son enquête au Mali, où il retrouve son ami, le commissaire Habib Kéita (au passage, un clin d'œil à l'œuvre de Moussa Konaté, qui trouve là une publicité gratuite, mais amplement méritée). Dans la veine des romans précédents de l'auteur, une charge saignante et efficace contre les dérives d'une société pleine de faux-semblants, où les plus "méritants" peuvent s'avérer de fieffés voyous...
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Un bon polar bien saignant, qui appuie là où ça fait mal, dans une société bien-pensante où le côté sombre de la vie est bien caché sous le tapis. Blainville-les-Bains, une petite ville tranquille de bord de mer, dont la réputation familiale va être mise à mal par des scandales mettant en cause la police, les politiques de tout bord, les nouvelles mafias venues de l'est, et la presse par la même occasion. Tout commence par des meurtres inexpliqués, celui de l'ex-femme du premier adjoint, que suivra de près celui du commandant Berger, dont le lecteur n'ignore rien, dès les premières pages, des activités nocturnes plus que douteuses. Ce meurtre d'un policier pourri jusqu'à l'os va alerter les plus hautes instances du Ministère de l'Intérieur, qui vont dépêcher sur place le commandant Richard Zamanski, un fin limier de la Police Judiciaire, placardisé après le suicide mystérieux de sa femme. Pour corser l'affaire, notre héros ignore tout de la raison pour laquelle on l'a fait venir en Charente-Maritime et croit dur comme fer qu'il s'agit d'une sanction, alors même qu'aucune enquête ne lui a officiellement été confiée. Heureusement sa curiosité va vite prendre le dessus sur sa rancœur, et avec la mignonnette Laurence Fuzier, lieutenant de son état, il va se mettre à fouiner un peu partout. Sa ténacité bouleverse la fourmilière blainvilloise, qui va enfin devoir révéler au grand jour des secrets bien enfouis. Anarchiste, Alain Wagneur ? Allons donc... En tout cas, un vrai bonheur pour les amateurs de polar "à la française".
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La maison des voyages est un joli petit roman pour adolescent.e.s qui parle de rencontres, de camaraderie, de confrontations à la différence, d'amours contrariés, d’événements qui impactent et modifient la vie...
Ce livre a obtenu le prix Lire au collège en 1998.
Les thèmes qu'il aborde sont toujours d'actualité.
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