Nietzsche, dans Humain, trop humain, en appelle à Épictète. L’esclave philosophe dissipe la montagne de psychodrames : “On appartient à la populace tant que l’on fait toujours retomber la faute sur les autres ; on est sur le chemin de la vérité lorsque l’on ne rend responsable que soi-même ; mais le sage ne considère personne comme coupable, ni lui-même, ni les autres.”