Je me rappelle toujours de cet esprit rebelle à qui j’adressai ma salutation habituelle : « Sois sage ». Un jour, il me répondit à brûle-pourpoint : « Et toi, marche droit! » Cela me procura un plaisir extrême. Il m’estimait pour moi-même et n’avait pas pris les pincettes que prennent ceux qui me sourient béatement [...] Il y a des sourires qui blessent, des compliments qui tuent.