Tout bien pesé, le lait de femme était moins épais et moins gras, moins uni que celui des vaches, mais moins aigre que celui des chèvres, il tenait le juste milieu entre les deux et, si l’on en avait fait un fromage, ce dernier aurait sans doute ressemblé à certains pecorinos du nord de l’Italie, surprenants de fadeur. (page 179)