Chapus s'enivrait du relent des vieilles bicoques, ce mélange de latrines et de lessive qu'il n'aurait pas échangé contre tous les parfums d'Orient. L'odeur du petit peuple, de la misère qui s'ébroue et bat son linge pour rester digne. Il aimait ce moment particulier où l'humanité se prépare à reprendre le combat. Il se sentait proche de ces gens qui luttaient pour leur survie. Un jour, un jour prochain, ils sortiraient de la nuit, ils se feraient entendre.