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3.6/5 (sur 81 notes)

Biographie :

Amelia Gates est une auteure de romances.
Elle vit aujourd'hui en Allemagne.

http://ameliagates.com/
http://finelinepublishing.com/amelia-gates/

Source : ameliagates.com
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Citations et extraits (83) Voir plus Ajouter une citation
Il y avait quelques avantages à grandir dans une famille politique. L'un d’eux était le développement d’un sixième sens aigu pour percevoir qui bluffe et qui dit la vérité. Je regardai dans ses yeux qui semblaient fatigués, mais vifs et inébranlables. Il n'y avait pas de doute ou d'ombre de tromperie dans son regard. Quoi qu'elle ait dans sa manche, c’était un atout. Bien que je veuille en savoir plus, je décidai de me retirer. Autant j’aimerais que mon père soit mêlé à un de ces scandales inutiles qui font la réputation des connards riches, autant je ne pouvais pas me retourner contre la personne qui me nourrissait.
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Enfant, tout ce que je voulais c’était m’éloigner de la ferme et de l’odeur de merde de porc. Je voulais vivre en ville et être mannequin. J’avais presque quinze ans quand j’avais réalisé que le mannequinat n’était et ne serait jamais pour moi. Mon look n’était pas vendeur. Ma poitrine plate et mes muscles toniques me faisaient plus ressembler à un garçon pubère qu’à une fille qu’on mettrait sur une affiche sexy. J’avais le genre de visage qu’on voit sur les photos de femmes des Appalaches et de mineurs de charbon. Le genre de regard insensé qui dérange la plupart des gens.
« Je n’aurais jamais pensé te revoir par ici. » Le vieil homme traversa la rue en courant pour me rejoindre. Dans une ville comme celle-là, on pouvait s’en sortir même en ayant sale caractère, mais on ne pouvait pas se permettre de snober qui que ce soit. On ne savait jamais quand on allait devoir dépendre de leur gentillesse.
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« J’ai appris il y a longtemps que les gens croient les putains d’histoires qu’ils ont envie de croire, qu’elles soient vraies ou non. J’ai réalisé que la seule façon de les faire changer d’avis, c’est de leur montrer la différence et - même comme ça - il n’y a que 50% de chances que ça fasse une putain de différence. »
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Mon maquillage est minime — un soupçon de mascara et un peu de gloss à lèvres sont les seules choses que j’ai eu le temps d’appliquer. J’enregistre ma tenue : un jean slim et un tee-shirt blanc moulant, et ma veste fidèle en cuir par-dessus — décontractée, mais pas trop — ou du moins c’est ce que j’espérais. J’ai débattu entre les escarpins à talon qu’Isabelle a essayé de me persuader de porter, mais j’ai choisi de glisser dans des ballerines noires à la place. Je suis suffisamment nerveuse comme ça, la dernière chose dont j’ai besoin, c’est de m’inquiéter de savoir si oui ou non je vais me casser la figure sur mon visage. Comment sommes-nous censées planifier quoi porter pour un rencard lorsqu’on n’a aucune idée d’où nous allons ? Dieu merci, Caerus ne s’est pas pointé en costume, sinon j’aurais été royalement foutue.
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Ce n’est pas seulement un mec ; c’est un homme splendide, une superbe pause coca light. Ses cheveux noirs et sa peau mate lui donnent un air exotique et mystérieux et, même de loin, je peux apercevoir sa mâchoire finement ciselée, assombrie par une pointe de barbe de trois jours qui contraste fortement avec les flics rasés de près tout autour. Il est grand, au moins trente centimètres de plus que mon mètre soixante, et il remplit parfaitement le smoking qui coûte probablement plus cher que ma voiture. Ses lèvres pulpeuses arborent un sourire après avoir dit quelque chose à la superbe fille de type asiatique à son bras. Je me surprends à me demander la sensation qu’auraient ces lèvres sur les miennes. Lorsque je parviens à retirer mon regard de sa bouche, je le regrette instantanément.
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Elle était tout ce que je n’avais jamais été. Populaire, sereine, brillante et bienveillante. Je détestais secrètement ses beaux cheveux blonds, qui semblaient être toujours lisses et parfaitement coiffés. Notre seul point commun, si ce n’est notre sang, c’était une sorte de don pour tout ce qui concerne l’école. J’avais quinze ans quand j’avais obtenu mon diplôme de fin d’études secondaires. Sans surprise, je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire de ma vie, mais comme la plupart des gens, ma vocation m’était un peu tombée dessus. J’avais obtenu une bourse pour l’une des meilleures écoles d’enseignement du pays, et la suite était prévisible.
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Cette fois il est plus près de moi, seulement quelques centimètres nous séparent et je sens les battements de mon cœur s’accélérer à son toucher. Je me penche vers lui, mon regard fixé sur sa bouche, la chaleur se rassemblant entre mes cuisses, ayant désespérément besoin, et de façon urgente, qu’il m’embrasse à nouveau. Mon corps entier semble reprendre vie lorsqu’il est près de moi, tout à l’exception mon cerveau. Il lui faut un peu plus de temps pour passer à la vitesse supérieure et le souvenir des mots d’Avery viennent s’abattre sur moi. « C’est une habitude de traîner en dehors des toilettes pour femmes ? »
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C’était une de mes habitudes, repousser les gens qui m’étaient proches - ou du moins c’était ce que m’avaient dit mon père, mes frères et putain, toutes les copines que j’avais eues. Ce n’était pas une chose que j’avais jamais analysée, ou à laquelle j’avais passé trop de temps à penser - ce genre de remise en question n’avait jamais été mon truc. Mais cela ne signifiait pas que je ne me sentais pas mal d’avoir blessé Alex parce que je ne savais pas quand garder ma putain de bouche fermée. J’étais juste reconnaissant qu’il semble toujours être de mon côté, même si je ne lui facilitais pas la tâche.
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La seule chose à laquelle je peux penser, c'est que brûler vivante est probablement la dernière façon de mourir que je choisirais. J'ai été bénévole dans une unité de soins intensifs pour grands brûlés, et j'ai vu de mes propres yeux les blessures avec lesquelles les gens s'en sortaient. Leur douleur intense avant qu'ils ne finissent la plupart du temps par succomber à leurs blessures. C'est une des pires morts possibles, et je ne la souhaiterais pas à mon pire ennemi. Et pourtant, ça va être la mienne. Ceux qui prétendent que l'Univers n'a pas le sens de l'humour ne savent pas ce qu'ils disent.
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Il se croit important, il pense pouvoir tout acheter pour s’en sortir. Il s’est tiré d’une plainte pour agression en achetant le seul témoin présent, et c’est seulement la partie émergée de l’iceberg. Les connards comme lui me répugnent. » La colère de Joseph commence à avoir du sens. Lorsque tu grandis dans une famille de classe ouvrière, il est difficile de respecter les hommes comme Caerus qui balancent leur richesse, se sortant de tout grâce à l’argent dans leur poche. « Ce n’est pas le genre de type que tu veux avoir dans ta vie. »
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