Citations de Amélie Sarn (72)
Le sujet est fascinant. Son apprentissage est beaucoup plus rapide que je ne l'avais espéré. Ma réussite est complète. J'ai créé de toutes pièces un humain amélioré.
Je ne sais qui d'Aegir ou de Thor t'a envoyé à moi, mais pour ne vexer aucun des deux, je t'appellerai Thorgal Aegirsson !
- Elle te va bien, cette robe. Tu pourrais être jolie si tu voulais...
- Je m'en fiche d'être jolie !
Hum, pas sûr que la technique soit plus puissante que la magie…
Et moi j'en mourais d'envie parce que ce que je préfère après les bains de soleil, c'est les bains de mer.
L'écume qui vous lèche les doigts de pied, les vaguelettes qui jouent à touche-genoux et, au fur et à mesure qu'on avance, l'eau froide qui claque sur les cuisses, sur le ventre.
[...] j'ai eu tort, Djelila. Ton jean n'était pas trop moulant, ni ton blouson trop court. Tu avais le droit d'être toi-même, mais d'autres en ont décidé autrement. J'ai oublié, oui, moi, j'ai oublié les préceptes du Coran. Je n'aurais pas dû te juger, Djelila, mais te comprendre et, de toute façon, te défendre. Je ne me sentais pas concernée par ta révolte, Djelila, mais je me suis trompée. Tua avais raison, la liberté, c'est sacré.
Mon père secoue la tête. Je sais précisément ce qu'il pense : « Ma petite fille, elle était si gentille, si sage… on s’amusait tellement bien ensemble… Quand est-elle devenue cette espèce de dragon qui rugit dans la cuisine ? »
- Qu'est-ce que vous avez ?
Malgré moi, j'ai posé la question sur un ton agressif. C'est vrai quoi, ils m'énervent avec leurs têtes de poissons rouges hors du bocal !
Elle a tiré délicatement sur la chaussette rouge, a dénudé le pied. Hugo n'a pas levé les yeux de sa bande dessinée. Il s'est enfoncé un peu plus profondément dans le coussin du canapé, a légèrement écarté les orteils.
L'extrémité des doigts de Florence s'est promenée sur les rondeurs, les courbes de ce pied. Parfois, elle laissait descendre l'ongle de son index, long et naturellement nacré, de la base des orteils jusqu'à la voute plantaire, ce point névralgique, où elle insistait comme négligemment.
La porte de la chambre froide n’a pas résisté longtemps.
Il est maintenant trois heures et demie et plusieurs centaines de zombies, bras tendus, haletants, grondants, se précipitent dans les couloirs de l’hôpital, attirés par le parfum enivrant des vivants.
Un grincement. La porte de la cave s’ouvre. Et se referme. Des pas lourds frappent les marches de béton. Elle s’immobilise.. Halète. Parvient à peine à respirer. Son agresseur arrive. Est là. Elle referme les yeux . Entend son souffle. Sent sa main sur ses cheveux. Et cette fois, elle crie. Elle hurle de toutes ses forces.
Des êtres humains, voilà ce que voit Margot. Avec tout ce qu'il y a de bon et de mauvais en chaque être humain. Et elle espère, de tout son coeur, qu'ils auront un avenir. (p329)
- Eh bien , tu sais, cet homme, il n'a rien inventé. Il crée lui-même les peurs, annonce les catastrophes, désigne les coupables, puis rassure les gens en leur disant que s'il est élu, il les débarrassera de ces coupables, les Arabes, les Juifs, peu importe. C'est si banal. Tu es un garçon intelligent et sensible. Réfléchis, tu comprendras que je ne te déteste pas parce que la haine des autres ne mène à rien de bon. Jamais.
La technologie n’a jamais été et ne sera jamais plus forte que la magie !
Lors de la grande guerre, tous les sorciers d’Udover ont été tués. Les Mansklings pensaient ainsi détruire la magie d’Udover et vaincre la forêt pour étendre leur mode de vie et leur technologie.
- Rose est jolie.
- Rose est jolie !
- Dis, Crow, c’est parce qu’elle est jolie que tu l’as amenée ici ?
- Non.
Ils étaient morts et vivants à la fois.
Tu ne me fais pas confiance ?dit-il. Tu crois que ce que j'éprouve pour toi,c'est du vent ?Que ça n'a aucune importance? Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée,Marie.Te rencontrer m'a ouvert les yeux.Tout me paraissait gris et uniforme , sauf quand j'étais avec Malo. Il était la seule personne belle et vraie de ma vie,et maintenant ,il y a toi.
Le chat gratte à la porte. Je lui ouvre et je m'habille rapidement. Je n'ai pas envie de croiser Maman ce matin. Je ne suis plus assez en colère et je risque de me montrer sympa avec elle. Et je sais où ça mène... Je préfère encore arriver en avance au lycée
Anaïs lève les yeux au ciel.
- Attends, je t'arrête tout de suite ! Moi, le surnaturel c'est pas ma tasse de thé. Primo, je n'y crois pas, secundo, ça me fiche les jetons.
Je ne fais pas remarquer à Anaïs que la logique de sa dernière remarque laisse un peu à désirer.