AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Amélie Sarn (72)


Elle est au pied de la tour, tête nue; elle porte la banderole qui proclame: Nous ne t'oublions pas, Djelila.
Commenter  J’apprécie          10
Elle ne le jugeait pas. De quel droit l’aurait-elle fait ? Elle se contentait de l’écouter et d’essayer de le comprendre.
Commenter  J’apprécie          10
- Mon père croit s’occuper de mon petit frère, mais en réalité, il ne s’occupe que de sa maladie. Au lieu de passer du temps avec lui, il lit des livres censés lui expliquer son fonctionnement. Alors, il passe à côté de l’essentiel, avait déclaré Liam à Marie sur un ton agacé.
Commenter  J’apprécie          10
Marie ne fit pas de commentaire. Si elle était curieuse, elle ne voulait pas le brusquer. Elle-même avait horreur qu’on la presse de questions et elle n’avait aucune envie de lui faire subir un interrogatoire.
Commenter  J’apprécie          10
-Tu veux être comme les autres, Marie ? Mais quel drôle d’idée ! Tu ne vois donc pas à quel point tu es unique !
Commenter  J’apprécie          10
L’amour un concept si flou qu’il est impossible à définir. Le cauchemar du scientifique !
Commenter  J’apprécie          10
A quoi ça sert la vérité si la vérité fait si mal ?
Commenter  J’apprécie          10
Jamais je n'ai senti avec autant de force le vide que ce mot-là laissait à l'intérieur de moi.
Commenter  J’apprécie          10
Tu étais drôle et différente. En même temps sombre et lumineuse.
Commenter  J’apprécie          10
Chaque journée n'était-elle pas déjà un défi en soi ?
Commenter  J’apprécie          10
Elle sort une cuisse de poulet qu'elle pose sur la table, juste devant nous. Elle replonge la tête dans le réfrigérateur, et, à ce moment-là... je n'en crois pas mes yeux ! La poivrière s'envole toute seul du coin du buffet, s'arrête au-dessus de la cuisse de poulet, se renverse et saupoudre allègrement.
Commenter  J’apprécie          10
"- Putain, râle Paul. J'espère qu'ils nous refilent pas des maladies ! C'qui m'a fait le plus flipper, c'est la décharge qu'ils nous ont fait signer. Le mec a eu beau m'expliquer que c'était juste pour l'administration, ça m'a pas inspiré confiance. Mais en même temps... Y m'a dit que je resterais pas là plus de six mois et dans la balance, six mois ou trente-six mois, y a pas à tortiller !
Zoltan prend une grande inspiration. Il a accepté pour les mêmes raisons que Paul. Entre sortir dans six mois avec un casier vierge et rester à Orvault encore un an et demi avec un contrôle judiciaire jusqu'à ses vingt-cinq ans...
- Pour le moment, ils font que nous prendre du sang, alors c'est certain qu'ils ne nous inoculent pas de maladie, marmonne-t-il plus pour lui-même que pour son compagnon de chambrée.
- Ouais, j'espère que t'as raison, renifle Paul avant de vider sa tasse de café d'une traite.
Alors qu'il s'apprête à la reposer, une sirène assourdissante retentit dans tout le bâtiment..."
Commenter  J’apprécie          10
Elle s'est recroquevillée sur elle-même. Tout son corps est douloureux. Ses bras, son dos, son ventre. Partout où il l'a frappée. Il n'a épargné que son visage. Comme chaque fois.
Commenter  J’apprécie          10
_ Il faut qu'on en ait le coeur net.
_ Moi, je bouge pas d'ici, affirme Ava.
_ Personne t'a demandé de venir, la rembarre Pauline.
_ Ouah, on dirait que c'est le grand amour, commente Zoltan.
Commenter  J’apprécie          10
Margot n'en revient pas. Entre Pauline qui se croit dans Plus Belle La Vie et lui qui déconnecte de la réalité en un clin d'oeil, elle est bien entourée!
Commenter  J’apprécie          10
Elle se met à trembler. Si fort que ces dents claquent. Elle se recroqueville. Se ramasse sur elle-même. Elle essaie de crier. Étrange qu'elle n'y ait pas encore songer. mais aucun son ne sort de sa bouche. [...]

[...] Elle se contorsionne. Ne parvient pas à se lever. Elle se traîne, rampe sur le sol en terre battue. Elle est chez elle. Tout va bien, elle est chez elle.
Commenter  J’apprécie          10
Alors qu'elle est prise d'une agitation frénétique et incontrôlable pour tenter de se défaire de ses liens, un élancement lui traverse la nuque. Au même moment, le goût. Celui du sang dans sa bouche. Et des souvenirs. Vagues. Décousus. Des images. Les trois coups frappés au carreau. Le visage derrière la vitre. Souriant. Et une main, avec une boîte en plastique débordant de framboises. Et après...
Commenter  J’apprécie          10
Trois tiroirs se sont ouverts en même temps sous la poussée. Michèle Marquesse, une autre femme et un homme, tous trois déclarés morts en début d'après-midi ont aussitôt bondi. Le visage gris silloné de veines noires, la professeur d'espagnol était méconnaissable.
Mues par un mystérieux instinct, les créatures se sont ruées vers la porte. Pendant qu'elles se jetaient dessus en poussant des grognements, d'autres casiers se sont ouverts.
La porte de la chambre froide n'a pas résisté longtemps.
Il est maintenant trois heures et demie et plusieurs centaines de zombies, bras tendus, haletants, grondants, se précipitent dans les couloirs de l'hôpital, attirés par le parfum enivrant des vivants.
Commenter  J’apprécie          10
"Mais je te le jure sur la tête de mon poisson rouge que je ne recommencerai plus"
Commenter  J’apprécie          10
"J'ai l'impression qu'un éléphant s'est assis sur ma poitrine. Impossible me rendormir maintenant."
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Amélie Sarn (1837)Voir plus

Quiz Voir plus

Etes-vous aussi Les Proies

Quel est le nom de famille de Margot?

Dunnett
Donnet
Donnette
Danette

20 questions
7 lecteurs ont répondu
Thème : Les proies de Amélie SarnCréer un quiz sur cet auteur

{* *}