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Critiques de Ana Mirallès (229)
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Djinn, Tome 6 : La perle noire

Après Jade, c’est au tour de Kim Nelson de partir en quête de la déesse Anaktu à quelques dizaines de décennies de distance. Si les parallèles entre Africa et La perle noire sont nombreux, nous avons ici affaire à deux histoires proches mais disposant chacune de leur identité.



Nous retrouvons ici Kim bien plus aguerrie que nous l’avons laissée et pour cause ! Elle semble avoir vécu des aventures qui nous seront expliquées par la suite. Cette ellipse est originale, mais les révélations faites sont plutôt frustrantes. Certains passages, axés sur la piste du surnaturel (notamment une certaine découverte) peuvent également décevoir.



Les dessins sont ici moins portés sur l’érotisme. Si quelques scènes de nu viennent égayer la lecture, celles-ci se font bien plus rares qu'auparavant. Le talent de la dessinatrice trouve désormais à s’exprimer dans les paysages, généralement détaillés sans oublier quelques panoramas dignes des impressionnistes.



Voici donc un album réussi qui enrichit le scénario initial. Celui-ci est plutôt attendu et devrait plaire aux adeptes du cycle précédent. Les parallèles sont nombreux tant par l’intrigue que par les personnages. Le dénouement est franchement immersif et annonciateur d’une suite intéressante !
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Djinn, tome 5 : Africa

Africa marque avec brio le démarrage d’un nouveau cycle consacré à l’Afrique. Pour la peine, Jean Dufaux et Ana Mirallès perturbent nos petites habitudes en apportant de nombreuses nouveautés.



Comme il fallait s’y attendre, le changement de continent entraîne un changement d’ambiance. Celle-ci est typiquement africaine : les processions, la magie, la musique à base d’instruments à percussions, les paysages. Africa en est imprégné de la première à la dernière planche. Le scénario est intégralement consacré à Jade et à ses compagnons. Du moins s’agit-il vraiment de Jade ou du Djinn ? Peut-on dissocier les deux ?



Les dessins sont absolument sublimes. Nous avons droit à des points de vue très différents et d’une richesse assez déconcertante pour une mise en bouche. Tout cela est un régal pour les yeux. Le rythme est assez maîtrisé pour ne jamais lasser. Des scènes plus chaleureuses, viennent parfois interrompre enchaînement et la diversité des lieux, apportant une quiétude bienvenue.



Les scènes érotiques se font ici plus rares et semblent se concentrer davantage sur les hommes que sur les femmes ; ce qui est hélas regrettable. La critique du colonialisme tient ici une grande place, peut-être un peu trop grande, et ce dès la préface. Espérons que ce message ne deviendra pas trop prépondérant par la suite. Certains personnages ne sont pas sans (trop) rappeler des têtes déjà connues. Fort heureusement ces petites déceptions ne portent pas vraiment d’ombre à cet album de très belle qualité.



Africa fait facilement oublier la déception éprouvée avec Le Trésor. Nous voilà déjà avides d’en savoir plus sur les nombreux mystères évoqués ici. Vivement la suite !
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Djinn, tome 12 : Un honneur retrouvé

Je serai beucoup moins prolixe que monsieur Dufaux. De nouveau, comme pour les 2 tomes précédents, je n'ai pas tout compris... Je me suis perdue dans l'histoire de "prince" qui a une sœur malade, qui prépare son mariage, etc... Prince, guerre avec les anglais, trahison, harem, voilà en gros ce que je pu comprendre pour le reste c'est très confus et un peu désordonné. Alors pourquoi, je continue de lire cette série ??? Et bien pour les dessins qui sont magnifiques ! De ce côté là je n'ai jamais, au grand jamais, été déçue !
Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
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Djinn, tome 4 : Le Trésor

Le trésor marque la fin du cycle ottoman, ou plutôt annonce déjà le démarrage d’un nouvelle période. Si Le tatouage nous avait laissé espérer un dénouement intense et explosif, cette espérance reste hélas lettre morte.



Le scénario privilégie ici la voie du surnaturel. Il faudra donc faire preuve d’une grande ouverture d’esprit pour accepter les événements qui vont concerner Kim. Elle n’est d’ailleurs pas la seule à être impactée. Certains personnages vont connaître une évolution originale. L’originalité ne parvenant pas à masquer une sortie assez commode, pour certains d'entre eux du moins. Quelques surprises viennent toutefois nous surprendre de manière agréable.



Autant le reconnaître l’album est sauvé grâce au travail de la dessinatrice qui atteint ici des sommets. Si le cap de la maturité avait été franchi avec le dernier album, nous constatons qu’ici, celui-ci est dépassé. Certains personnages (notamment les figures masculines) gagnent en précision.



La phase contemporaine du récit prend, pour la première fois, le pas sur les événements d’avant Guerre. Le renversement se fait au moment où un monde s’éteint. Certains épisodes relatés ici marquent les esprits (la libération du harem). Merci Madame Mirallès.



Avec un scénario qui peut décevoir les plus cartésien(ne)s, le trésor se révèle être une histoire de transition, une invitation à un autre voyage que l’on va entreprendre avec plaisir, malgré quelques appréhensions...
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Djinn, tome 1 : La favorite

il s'agit là d'une bd qui ne s'inscrit que de très loin dans mon univers habituel en matière de littérature. Et c'est bien la curiosité avant tout du titre qui m'a poussé à l'emprunter, comme les deux suivants. Je ne m'attendais bien entendu pas à une énième bd de fantasy mais je voulais savoir ce qui se cachait derrière ce Djinn... J'y découvre un monde méconnu, un monde fait de manipulation, de pouvoir et de mystères, où l'érotisme et la sensualité occupent une place prépondérante. Comme le dit très justement Jean Dufaux en préface, " le corps d'une femme restera toujours le pouvoir suprême devant lequel plient les hommes." C'est en suivant les pas de l'héroïne Kim Nelson, en quête de la vie mystérieuse de sa grand mère, que cette phrase prendra progressivement tout son sens. Il s'agit seulement du premier volume, mais cela laisse présager que le cycle entier tourne autour de cette seule affirmation. Il s'agit d'une histoire sur le pouvoir, sur qui le détient, qui en use et comment. Force, brutalité, subtilité, sensualité, volupté, mystère sont autant de formes de ce pouvoir. reste à savoir qui, parmi les joueurs, s'en sortira le mieux au jeu du pouvoir.
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Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Le tatouage fait davantage avancer le Cycle ottoman dans la fin approche (déjà !) à grands pas. Lady Nelson passe au second plan laissant la première place à son lord de mari ainsi qu'à Jade, dont le rôle est de plus en plus envoûtant et mystérieux.



Arrivée au terme de son initiation, Kim apprend de nombreuses choses qui vont lui être utile pour se lancer sur la piste d'un trésor tant convoité. Si la partie contemporaine de l'histoire tient une plus grande place que précédemment, elle ne reste qu'une sorte de prétexte un lien pour étoffer le scénario. Seul les deux hommes qui semble-t-il vont devoir revêtir le rang de méchants suscitent des questions. Ceux-ci semblent être plus retors et complexe qu'à première vue.



Le trait d'Ana Miralès atteint ici son niveau de maturité. Il n'y a pas une planche, pas un personnage qui ne soit pas réussi. Tout est absolument sublime : qu'il s'agisse des scènes dans le dessert, des batailles diplomatiques ou tour simplement les dessins plus intimistes et ô combien réussis.



Les quelques faiblesses qui ont pu être notées par le passé sont ici oubliées. L'histoire d'amour est subtilement composée : tout en restant centrale elle ne demande pas une attention exagérée. Le récit est assez équilibré pour plaire à un large panel de lecteur (et de lectrices).



Assurément voici un point fort de la série ! La suite... vite !
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Djinn, tome 2 : Les 30 clochettes

Avec les trente clochettes, Dufaux et Mirallès nous proposent de suivre l’initiation croisée de Kim Nolan et de Lady Nolan, à plusieurs décennies de distance. Il n’est pas question de mysticisme mais de l’art d’aimer. Cette introduction est assurément le temps fort, le fil rouge et l’essence même de l’album qui pourtant fait avancer l’intrigue, notamment dans ses dernières planches.



La phase contemporaine est sans doute la moins réussie, car l’on imagine avec beaucoup de difficultés une jeune femme, a priori aussi indépendante que volontaire, subir toutes ses (més)aventures par simple curiosité d’ordre généalogique. S’agirait-il d’un manque de personnalité ? Ou d’un intérêt plus matériel ? Nous le saurons sans doute dans les prochains tomes… Il n’empêche que dans l’immédiat cette faiblesse est assez préjudiciable.



Les passages consacrés à l’Empire ottoman sont en revanche les plus immersifs et les plus passionnants d’autant que le scénario leur accorde toujours plus d’importance. Les personnages sont également plus intéressants et suscitent davantage la curiosité.



Les dessins de Anna Mirallès (merci Beatson et Pavlik) restent tels que nous les avons laissés avec La favorite. Les ambiances sont toujours aussi captivantes, de véritables invitations au voyage. Mais il faut bien reconnaître que la partie historique (les zouks et forcément le harem) est de loin la plus attirante. Si les traits de certains personnages demeurent encore un peu flous, l’amélioration est déjà sensible.



En résumé voici donc un second tome de qualité qui nous donne envie d’aller plus avant dans cette aventure qui devient franchement captivante !
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Djinn, tome 1 : La favorite

Voici un premier tome qui frappe fort... très fort et qui explique en un seul album le succès auquel est prédestiné cette saga de bande dessinée, devenue aujourd'hui une des best-sellers du 9 ème art.



Il faudra toutefois réserver cette lecture à un public adulte. Mais attention aux préjugés il s'agit ici d'érotisme, de sensualité, de volupté. La première de couverture étant assez suggestive en la manière, il est inutile d'insister. Encore faut-il évoquer et rendre hommage au travail de qualité réalisé par le dessinateur qui ressuscite une époque passée avec brio. Certains traits et personnages sont toutefois encore un peu flou, pas assez maîtrisés.



Le scénario est à l'image de ce que Jean Dufaux sait faire de mieux. Même si pour l'instant nous avons affaire qu'à un premier essai, celui plante un décor pour le moins prometteur et riche. Les personnages en soit sont déjà suffisamment complexes ou attachants pour qu'on ait d'emblée envie de les suivre.



Voilà donc un premier chapitre qui frappe très fort et qui va vous embarquer dans un voyage pour le moins dépaysant ! Vous voilà prévenus...
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Djinn, tome 10 : Le pavillon des plaisirs

Qui dit nouveau cycle dit nouvelle découverte, nouvelle imprégnation dans cet univers étrange, celui de l'Inde au début des années 1920. Alors qu'elle est encore sous domination anglaise et que Gandhi commence à faire parler de lui et que l'Indépendance est encore loin, il peut se passer encore bien des choses...

Note mitigée pour ce premier tome (en réalité, comme vous pouvez le voir sur la couverture, il s'agit du dixième tome mais je rassure ici tout de suite ceux qui n'auraient pas lu les précédents, il vous sera fort aisé, si le coeur vous en dit, de prendre l'histoire en route sans que vous soyez déstabilisé outre mesure !) et en voici mes raisons . D'un côté, ce qui fait pencher la balance en faveur du "oui" est que cela se déroule sur un fonds historique avec tout le folklore de l'histoire de l'Inde qui va avec, univers des Maharadjahs, des esprits ainsi que de la mythologie indienne (et ça j'adore) mais d'un autre côté, l'histoire de la djinn (une femme qui serait capable de contrôler sexuellement tous types de personnes, aussi bien les hommes que les femmes) m'a gênée. Bien qu'elle fausse elle aussi partie des légendes indiennes, le fait de n'entendre quasiment parler que du pavillon des plaisirs m'a un peu gâché mon propre plaisir (avouez que c'est un peu paradoxal et ironique) de cette lecture !



Un graphisme extrêmement bien travaillé, riche en couleurs et cela ferait encore une fois pencher la balance du côté du "Oui", d'où le fait que je ne peux que vous recommander la lecture de cet ouvrage, et d'où le fait que je ne pourrai m'empêcher de lire le second tome actuellement paru (du moins, disponible à la médiathèque de ma petite ville !).



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Waluk

waluk il et tout seul sans sa mere
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Djinn, tome 12 : Un honneur retrouvé

Douzième et dernier tome et de très loin le tome le plus abouti de toute la saga.



Tout y est :

- le scénario est très bien mené de la 1ère à la dernière page, avec ce qu'il faut de rebondissements et de suspense ,

- les personnages et leurs desseins (plus ou moins secrets) et leurs issues se confirment ,

- les graphisme d'Ana Miralles sont plus aboutis que dans les tomes précédents, certaines planches en particuliers où les jeux de lumière sont particulièrement bien maîtrisés ,

- les scènes érotiques sont toutes en volupté, rien de cru ni de vulgaire. Et en plus, dans ce tome, les sentiments amoureux viennent semer la zizanie sur le long fleuve paisible du désir,

- et enfin les dialogues donnent tout leur relief aux personnages.



Un super moment de lecture !
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Djinn, tome 4 : Le Trésor

Quatrième tome de Djinn et dernier du Cycle ottoman, cet album termine l’histoire entreprise par Miss Nelson sur son aïeule en quête d’un trésor qu’elle souhaite retrouver. La recherche dans le désert est violente pour les personnages qui tournent autour du personnage principal pour finalement nous rendre compte qu’il ne se trouve peut-être pas là où on le pense. L’histoire paraît un peu nébuleuse et certaines scènes sont complètement chaotiques. Le scénario est bizarrement fait au détriment d’une compréhension générale. Seule la chute paraît irréelle, Miss Nelson s’étant obliger à parcourir l’univers du harem pour pas grand chose et qui lui serait arrivé presque avec autant de facilité.

Le graphisme retrace toujours aussi bien l’ambiance du désert, de la politique du siècle dernier, et des coucheries, mais il faut reconnaître que le niveau n’est pas à la hauteur de la couverture qui en revanche elle est franchement magnifique. L’art de ces albums résident dans leur apparence extérieure. C’est beau, envoûtant, sensuel…

En somme, ce tome est assez décevant et l’ensemble de ce premier cycle ne semble pas à la hauteur du succès de cette série.
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Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Ce troisième album permet au récit d’entrer plus en profondeur dans l’objectif de cette jeune femme et de mieux comprendre ses aspirations, mais aussi de découvrir le pouvoir d’une Djinn ainsi que l’histoire, la vraie celle-ci, de son ancêtre. L’histoire est plus intéressante et plus complexe bien qu’agrémentée de longues pages de charme. Il faut reconnaître malgré tout que le récit devient plus intéressant.

Le graphisme quant à lui s’améliore avec un net travail apporté au visage des personnages. Les scènes de nu sont nombreuses sans être choquantes, mais elles me semblent trop nombreuses. La couverture est tout simplement magnifique lui donnant un air de tableau parfait pour son côté tout en courbe sensuelle. Certaines cases sont bien sûr très belles aussi et l’ambiance en dehors du harem est dans cet album plus prenante.

Ce troisième album permet à ce premier cycle de monter enfin et réellement en puissance mais les scènes de nu trop présentes gâchent un peu l’ensemble.
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Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Un très beau tome
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Djinn, tome 1 : La favorite

Le premier tome est superbe, l'histoire et les dessins sont au rendez-vous.
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Djinn, tome 2 : Les 30 clochettes

Le tome 2 est passionnant
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Djinn, tome 4 : Le Trésor

J'ai arrêter la série au tome 4 je n'accrochais plus.
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Djinn, tome 2 : Les 30 clochettes

Ce deuxième album de Djinn s’incluant dans le cycle Ottoman, décrit comment les deux jeunes femmes, l’une au siècle dernier, l’autre de nos jours, tentent d’intégrer un harem, l’une par amour, l’autre pour des raisons encore mystérieuses. Pour cela, il leur est passé autour de la taille une cordelette pourvue de trente clochette. Chaque clochette devant être levée par un amant ou une maîtresse différent. Cette méthode permettra à l’esprit de se détacher du corps, afin de pouvoir dissocier les deux, et de pouvoir utiliser le corps non pas comme la projection de son esprit mais comme un outil. Le récit est assez violent psychologiquement, et se limite principalement à l’accumulation de leurs amants et la descente de ces femmes dans l’enfer du harem. L’histoire est assez pauvre et presque sans intérêt. Autant le premier tome donnait une vision de l’enquête menée presque historique, autant cet album a moins d’intérêt et fournit au lecteur que peu de rebondissements. Le graphisme quant à lui est bien meilleur que le précédent opus. Les détails sont bien mieux travaillés et les visages, les corps et les décors sont plus réalistes. Bien sûr, il y a quelques scènes un peu crues mais l’attrait sensuel ne se retrouvent pas dans ces pages mais plutôt dans les postures d’une femme. Les couleurs aussi dans cet album sont mieux travaillées et donnent ainsi plus d’ampleur au travail de Miralles et surtout commence à confirmer le pourquoi du succès de cette série. La couverture étant aussi finement travaillée et vraiment belle. On découvre un deuxième album bien différent, au scénario un peu plat mais au graphisme plus beau. L’avis reste mitigé et la série ne me semble pas encore à la hauteur de mes attentes.
Lien : https://lectureroman.wordpre..
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Djinn, tome 1 : La favorite

Ce premier tome de la série Djinns fait partie du cycle Ottoman. De nos jours, une jeune femme tente de retrouver les traces de sa grand-mère, qui a été dans un harem il y a près d’un siècle, au moment de la première guerre mondiale. L’histoire se sépare alors en deux parties, tantôt nous nous retrouvons au début du siècle dernier, dans un environnement fait de complots entre les turcs et les allemands, tantôt nous nous retrouvons de nos jours où cette jeune femme prend des risques inconsidérés pour retrouver des traces vieilles d’un siècle.

L’histoire construite avec deux personnages principaux, la favorite du harem, puis la descendante en mal d’héritage, permet au lecteur de s’immiscer dans la peau des femmes, ces deux femmes belles et attrayantes, au pouvoir hypnotique, aux atouts que peu d’hommes arrivent à résister. Le récit semble assez nébuleux dès le début mais les personnages et les deux histoires s’installant progressivement, l’arrivée au dénouement est compréhensible et laisse penser à une suite quelque peu déroutante.

Le graphisme, quant à lui, est certainement ce qui pousse le lecteur à lire et découvrir cette série. Les jolies femmes des harems en couverture peuvent pousser quelques lecteurs à se lancer dans cette suite de bandes dessinées. Mais l’intérieur est bien différent. Mis à part quelques scènes de nudité sans érotisme, la bande dessinée a le mérite de ne pas se complaire dans le nu et le charme à outrance. D’autant que le graphisme manque cruellement de détails, autant pour les personnages que pour les décors. De plus, les couleurs sont assez ternes et manque vraiment de dynamisme. En somme, hormis une couverture étonnante comme tous les autres albums de la série, l’intérieur n’est pas à la hauteur.

En somme, ce premier album propose ici une histoire intéressante au graphisme moyen, mais mis en avant grâce à une couverture attrayante décevant encore plus le lecteur.
Lien : https://lectureroman.wordpre..
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Djinn, tome 1 : La favorite

Quand on fait une recherche sur les harems, on ne trouve pas grand-chose. J’ai l’impression que beaucoup de gens fantasment dessus, mais il y a peu de références sur le sujet en France. Ici, une jeune femme cours après l’ombre de son aïeul. Elle se retrouve entraîner dans une aventure dangereuse et érotique. Son histoire et celle de son ancêtre s’entrecroise de façon magnifique. J’ai été totalement envoutée par cette histoire. Les dessins sont très beaux et colorés. Ils font rêvés. Il est question de manipulation, de corruption, de sentiments et de volupté. Ce qui m’a le plus plus, c’est que cette bande-dessinée plait autant aux hommes qu’aux femmes.
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