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Citations de Ana P. Llorens (42)


Mais malgré mes énormes moufles, mon écharpe en laine vierge et mes collants sous mon jean, je me pèle méchamment le cul, je claque du dentier et je tremble comme mon rabbit à vitesse maxi…
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Je ne sais que trop bien ce qu’ils pensent : comme tous les gens que je croise, pour eux je ne suis qu’un sombre connard prétentieux et arrogant, imbu de sa personne et à la recherche de son seul plaisir égoïste. Et ils ont raison.
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Nom d’une bite en bois, avec un tel engin il va me couper en deux. Mais si tel est mon destin, mourir dans cette souffrance, alors Alea jacta est. On ne peut décemment pas échapper à son destin, n’est-ce pas ? Je me dévoue pour la science et pour toutes celles qui n’ont eu droit qu’à des mini Knacki balls… Ne me remerciez pas les filles. C’est mon côté altruiste.
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Comment en suis-je arrivée à me laisser traiter comme une moins que rien par un connard de cul-béni qui n’a jamais rien branlé de sa vie à part sa queue d’égoïste ?
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Il est tellement avare que si je le jetais au plafond, il redescendrait avec les ampoules.
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Le spectacle qui s’offre à moi est à couper le souffle. Je n’ai jamais vu d’aurore boréale, et le plus honnêtement du monde, j’ai ressassé tout un tas de choses en venant voir Ida, mais pas une seule seconde je n’ai pensé pouvoir en observer.
Les vents solaires créent dans le ciel de magnifiques volutes vertes, bleues, parfois violacées. Je suis subjuguée. Plus aucun mot ne sort de ma bouche.
Le temps semble s’être arrêté, comme si nous étions suspendus dans un vortex, enveloppés dans une bulle qui nous isolerait du reste de l’humanité.
Je profite de ces couleurs dessinant des formes pures et douces dans ce ciel presque noir, tels des rubans dansant sur une toile vierge.
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Le silence m'angoissant toujours autant, je décide d'engager la conversation… Tendre naïveté…
- Sinon, tu fais quoi dans la vie ?
Question d'une banalité affligeante mais, en toute franchise, j'ai perdu tout sens commun et toute habitude de comment créer du lien social depuis que je me suis faite shooter en moto. Ce n'était déjà pas bien brillant avant…
- Si c'est pour parler de la pluie et du beau temps, on va éviter.
- Charmant, j'essayais juste de faire connaissance !
- Qui t'a dit que j'avais envie de faire connaissance ?
- Ne te donne pas davantage de peine à me répondre, je crois que je préfère encore m'enfoncer un tesson de bouteille pété dans le derche.
Vu la tronche qu'il tire, je pense que je l'ai mouché, et c'est bien fait pour sa gueule. J'ai beau manquer de confiance, hors de question que je me laisse marcher sur les pieds. Enfin sur le seul qu'il me reste.
Merci sainte vulgarité d'être venue à mon secours…
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Deux solutions pour lui : soit il est super timide avec la gent féminine, soit il est gay comme un pinson. Mais quoi qu’il en soit, il est aussi con et inutile qu’une bite molle.
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Face à ces deux armoires à glace, l’une au cœur tendre tentant de se persuader qu’il n’a plus d’amour à donner depuis qu’il s’est fait larguer et l’autre qui n’a pas ouvert la bouche depuis mon arrivée et aussi glacial qu’un Mr Freeze dans le derrière en plein hiver, je me sens minuscule et d’une fragilité sans précédent.
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Fascinée par la scène qui se déroule sous mes yeux, je m’approche, les yeux fixés sur les mains expertes qui dessinent sur la poitrine de mon boss, un cœur en pièces mécaniques, dénué de toute humanité et de toute trace d’amour.
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Son regard, lourd sur moi, me met mal à l’aise et il doit le remarquer car il se radoucit instantanément.Je change de sujet, on parle cinéma, musique, humour… Sa compagnie est plaisante et lorsque sa main touche la mienne sur cette table au milieu de ce bar, de légers frissons me parcourent. Une sensation aussi plaisante que flippante dans la mesure où les avertissements de ma sœur résonnent à mes oreilles.Le temps passe à une vitesse folle et alors que nous nous apprêtons à nous quitter, Nicolas me tend un papier sur lequel il a griffonné son numéro de téléphone.— Appelle-moi ! Je serai ravi de te revoir, Alex.Ses yeux, aussi clairs qu’un ciel sans nuage, me fixent avec une intensité qui me transperce et ses mains viennent chercher les miennes. Sentant le danger se profiler s’il venait à m’embrasser, je lui tape la bise avec la délicatesse d’une truie sauvage voulant échapper à un chasseur et pars me mettre à l’abri dans mon refuge.
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Malgré le fait que je sois asociale dans ma vie privée, j’aime le contact avec les gens dans le domaine professionnel. Je n’ai pas à leur raconter ma vie, juste à prétendre que tout va bien et leur apporter ce pour quoi ils paient. Et je prends mon pied. Surtout avec Kévin et Guillaume avec qui je m’entends super bien. Je n’ai pas à me forcer, les rapports sont simples et sympas.En sortant du boulot, j’erre dans les rues de Paris, respirant l’air frais des pots d’échappement et de la pollution. Mon sud me manque : le soleil, les températures clémentes, l’air vraiment plus frais et plus clean… Je me perds dans les ruelles pleines de petites boutiques lorsque je suis hélée, à l’angle de deux rues, par un charmant bipède à propos duquel les mises en garde de ma sœur me frappent avec autant de violence que celle avec laquelle je viens de le colliser…
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Son sourire en coin est une torture pour toute personne de sexe féminin un peu ébréchée et surtout éméchée comme je le suis en ce moment. Sa mâchoire carrée accentue son côté charmeur et j’imagine sans peine la longue liste de conquêtes dont il doit être affublé.Et je suis toujours la sale gosse et lui la boîte de chocolats interdite…Alors que je m’apprête à lui demander ce qu’il fait dans la vie, mon garde du corps blond, perché sur talons de dix, se pointe, lui jette un verre de quelque chose à la figure et m’entraîne au loin, non sans lui avoir crié tout un tas d’injures que même moi, je n’oserais répéter… Haine viscérale, je vous dis.
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Comment les gens pleins aux as comme ça ne sont pas foutus de trouver un putain de canap’ un minimum potable et mou pour fessier sensible ? Parce qu’en fait, les coussins qui semblaient moelleux et accueillants pour mon merveilleux séant, sont en fait un leurre et je vais bientôt me faire des escarres si je ne me lève pas de ce truc au confort tout relatif.
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Je me sens abandonnée. Comme si, au fond de moi, j’avais espéré qu’il revienne à la vie normale et que nous reprenions notre vie là où nous l’avions laissée le jour où j’ai tout perdu.
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C’est complètement con, la façon dont le cerveau s’entête dans une sorte de déni, à espérer que peut-être un jour, il se réveillera. Tant que le mot fin n’a pas été prononcé, on y croit encore. It Ain’t Over ‘Till It’s Over comme le chante si bien Lenny Kravitz.La bonne nouvelle, si l’on peut dire, c’est que le notaire que Cal m’a trouvé afin de se charger de la succession m’a informée que, je ne sais pour quelle sombre raison, sa mort fait que je ne devrais plus être solidaire de ses dettes. Mais j’attends confirmation officielle en le voyant écrit noir sur blanc.
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L’homme qui m’a soutenue, sauvée et redonné goût à la vie s’en est allé. Et alors que des rideaux de larmes inondent mon visage, je souris car je sais que mon rêve n’en était pas un. Il est venu me dire adieu. L’amour de ma vie…
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J’ai beau manquer de confiance, hors de question que je me laisse marcher sur les pieds. Enfin sur le seul qu’il me reste.Merci sainte vulgarité d’être venue à mon secours…
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Le charmant monsieur c’est la boîte de chocolats… Et moi, je suis la sale gosse désobéissante et bien trop curieuse… Enfin, seulement quand je fais abstraction de mon morceau manquant…
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Là où elle est canon et féminine naturellement, avec un côté sauvage et mystérieux, je suis d’une banalité affligeante. En tout point.Enfin, j’étais !
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