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Critiques de Anatole Planida (10)
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Andrarius : Le robot-homme

Dans le Paris contemporain, le professeur Marius Donovan est un génial ingénieur qui vient de mettre au point un robot androïde ultrasophistiqué. Il a non seulement doté sa créature (dénommée Andrarius) d'une intelligence artificielle jamais atteinte, mais il lui a également encodé quelques-uns de ses propres souvenirs, goûts, désirs, comportements,..., bref tout un pan de sa propre subjectivité. Et comme si cela ne suffisait pas, il l'a littéralement créé à son image, puisque Andrarius est le parfait sosie de Donovan, au point de bluffer tout son entourage.

A peine dévoilé au cours d'une conférence, Andrarius devient l'objet des convoitises des services secrets français et de la mafia russe, qui veulent se l'approprier. Et des problèmes d'un autre type surgissent lorsque le robot commence à développer ce qui ressemble furieusement à une conscience... et à des sentiments amoureux à l'égard de la fiancée de Donovan.



« Andrarius, le robot-homme » est une pièce de théâtre vaudevillesque, avec quiproquos, comiques de répétition, situations kafkaïenne et points d'exclamation à tire-larigot. S'y ajoutent les questions complexes et actuelles liées à l'intelligence artificielle : où s'arrête la machine et où commence l'humain ? Qu'est-ce qui définit l'humanité : le fait d'avoir un coeur et un cerveau (sachant que certains humains n'utilisent ni l'un ou//ni l'autre) ? Quid si une intelligence artificielle échappe à tout contrôle et agit de façon autonome ?...

Ces questions, qui ne sont pas neuves et ne sont pas près d'être résolues, sont ici le prétexte à une farce burlesque et parfois inquiétante. Malheureusement, je suis plutôt hermétique à ce genre d'humour, et de plus le sens de la scène finale m'a échappé.

Merci néanmoins à l'auteur de m'avoir proposé ce curieux texte.
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Andrarius : Le robot-homme

Découvrir une pièce de théâtre contemporaine, écrite par un auteur Ukrainien, dans un très bon français, jusqu'à l'argot même (c'est important l'argot ! hein professeur ?). Donovan, le héros, a créé un robot qui est sa copie conforme (enfin presque !). Et plus le robot s'humanise plus il se déshumanise (comme tous les humains ! ). Le scénario connait de nombreux rebondissements bien trouvés, en plus des dialogues cocasses et des situations absurdes. Mais il y a plus : qu'est-ce qui fait qu'on est homme ? A partir de quand un robot peut être semblable en tout point à un homme ? l'intelligence ? l'humour ? l'amour ? Questionnement que l'auteur nous invite à suivre ici, qui m'a rappelé Vercors et ses animaux-hommes.
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Andrarius : Le robot-homme

Les pièces de théâtre ne sont pas un genre vers lequel je me tourne. Je pense n'en avoir pas lu depuis le lycée. Donc, quand l'auteur m'a contactée pour me proposer de chroniquer sa pièce, j'étais un peu mitigée. Mais j'aime bien sortir de ma zone de confort de temps en temps. Et le résumé me plaisait bien. Après lecture, je pense que le sous-titre aurait pu être "L'Homme et la technologie". Le professeur Marius Donovan invente un robot qui lui ressemble. Et ça tourne mal. L'invention, qui n'était que le résultat du travail acharné d'un scientifique, commence à échapper au contrôle de son inventeur et soulève l'intérêt malsain des puissances étrangères.

Le style de la pièce de théâtre permet d'y ajouter un humour burlesque. Les échanges entre les personnages vont jusqu'à l'absurde permettant de rire de situations tout aussi absurdes. J'avoue avoir ri sur quelques scènes étranges. Mais cet humour est aussi à double tranchant. J'ai parfois trouvé que c'était un peu trop, et ça dépasse le stade où j'ai trouvé ça drôle.

Ça reste toutefois une bonne lecture. Je ne pense pas lire plus de pièce de théâtre à l'avenir, mais j'ai apprécié faire cet effort et sortir un peu de mes lectures habituelles. Merci à l'auteur d'avoir partagé son travail.
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Andrarius : Le robot-homme

Le professeur Donovan vient de créer une machine hors du commun, un robot humanoïde à son image qui pourrait leurrer n'importe lequel de ses interlocuteurs! C'est d'ailleurs ce que le professeur va s'atteler à faire découvrir lors de la présentation en avant-première d'Andrarius! Seulement Andrarius apprend vite et va finir par quasi-dépasser le maitre! D'autant que ce robot peut attirer de nombreuses convoitises...



En toute honnêteté je préfère aller voir une pièce de théâtre que la lire pour autant je suis ravie de m'être laissé tenter et d'être sortie un peu de ma zone de confort. Cette pièce s'inscrit dans le théâtre de l'absurde, à travers Andrarius, l'auteur dénonce le développement des nouvelles technologies. Des scènes ubuesques et rocambolesques nous sont proposées. L'auteur s'interroge sur le développement des nouvelles technologies, jusqu'au pouvons-nous aller et sur  les risques inhérents mais aussi sur ce qui nous différencie d'une machine tant de questions abordées avec beaucoup d'humour et qui fait que la pièce doit être très intéressante et divertissante à regarder. 



Une lecture qui interroge par son sujet abordé avec beaucoup de dérision. L'auteur Ukrainien manie en plus parfaitement la langue française et je trouve important de le souligner! Je le remercie pour cette découverte et encore une fois adresse tout mon soutien au peuple Ukrainien
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Andrarius : Le robot-homme

Quand Anatole Planida m'a contactée pour me proposer de lire Andrarius, le Robot-homme, sa pièce de théâtre, éditée au Lys Bleu et présentée comme « une pièce pas comme les autres, une pièce-roman, une pièce-film », j'ai naturellement accepté avec enthousiasme.



Presque 300 pages, en effet, c'est un peu long pour une pièce ; nous voilà plus dans du théâtre écrit pour être lu plutôt que joué… Une impression qui va perdurer quand je découvre la tonalité des premières didascalies ou passages qui y ressemblent, drôles et poétiques, qui laissent place à l'interprétation et à l'imagination de chacun et commentent l'action plus subjectivement que factuellement. J'ai rapidement pensé qu'elles devraient être lues à voix hautes et faire partie intégrante du spectacle.

Une liste de personnages impressionnante, non exhaustive, avec des groupes constitués autour des principaux protagonistes… Beaucoup de monde sur scène en même temps, des figurants…



La pièce commence par un prologue : le personnage principal, le professeur Marius Donovan, ingénieur-chercheur français, est incarcéré et s'applique à apprendre les usages et le langage argotique de la prison avant de passer devant le juge.

Les trois actes suivants font un bond dans le passé récent : le professeur Donovan a construit un super robot, un androïde à son image ; mais, très vite, le robot-homme devient l'objet de convoitises de la part de l'État, des services spéciaux et même de la mafia russe…

À partir du quatrième acte, le procès reprend.



L'action s'inscrit dans une suite de retournements de situations comiques ; les dialogues jouent beaucoup sur le comique de répétition. L'auteur s'amuse également avec les accents et les tics de langage, allant jusqu'à inventer un succédané de russe ; j'avoue ma surprise devant l'étendue du registre lexical argotique visiblement maîtrisé.

Face à l'éternel débat sur les possibilités des Intelligences Artificielles, je pensais qu'Anatole Planida allait, tout simplement, revisiter le mythe de Frankenstein, se demandant où était la vraie humanité puisque le robot réalise peu à peu qu'il ne veut plus être un simple objet mécanique : il veut vivre, aimer, faire des bêtises, être un homme dans la pleine possession de son être et, comme pour en donner la preuve, il tombe amoureux de la fiancée du professeur et souffre énormément de la non réciprocité de ses sentiments...

L'auteur transpose aussi l'idée du double maléfique, dérangeant, intrusif, à la manière de Dr Jekyll et Mr Hyde, car le robot prend très souvent la place de son créateur, notamment dans des situations intimes ou professionnelles. Ces scènes-là sont très drôles, relèvent du théâtre de boulevard : on se cache dans des placards, on enchaîne les quiproquos… Mais cela va plus loin car si, extérieurement, Andrarius est identique à Donovan, il se révèle plus fort et plus intelligent que lui, capable de prendre en mains son apprentissage et son évolution. Il décortique et analyse tous les raisonnements avec une logique imparable.

Anatole Planida nous propose aussi une satire de la justice à travers un simulacre de procès. Même si l'action se passe en France, à Paris et à la prison de la Santé, l'ambiance générale est dictatoriale, à consonnance russe… Anatole Planida est d'origine ukrainienne et nous pouvons lire entre les lignes une forme de caricature de la posture « poutininienne ». L'idée que les gouvernants pourraient être remplacés par des androïdes m'a paru intéressante à creuser…



Ce livre est assez déconcertant… J'avoue avoir eu un peu de mal à en terminer la lecture…

Personnellement, sur le plan purement scénique, je me suis demandé par quel artifice de mise en scène, le même acteur pourrait jouer les deux rôles de Marius Donovan et d'Andrarius quand ils apparaissent ensemble en scène : peut-être avec un jeu de miroirs et d'éclairages.



Je ne suis pas convaincue par le mélange théâtre-roman, un prologue et un épilogue entourant cinq actes aux dialogues déjantés, des didascalies très narratives… C'est un peu trop long et répétitif à mon goût, avec un humour un peu lourd, et l'ensemble manque donc de rigueur et de rythme.

J'ai vécu cette lecture comme une expérience, pas inintéressante, mais pas vraiment concluante.


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Andrarius : Le robot-homme

L'avantage de lire une pièce de théâtre, c'est de pouvoir imaginer la mise en scène, les comédiens et le décor...

Je lis rarement des pièces de théâtre, ce n'est pas vraiment ma milieu de prédilection, mais j'aime découvrir et explorer des domaines inconnus et je remercie l'auteur pour sa confiance.

J'ai parfois été déstabilisée par certaines scènes et par des dialogues dont je ne voyais pas trop l'intérêt dans le contexte, mais je dois dire que j'ai passé un agréablement moment à la lecture. Je n'ai pas pu m'empêcher d'avoir quelques fous-rires et je pense que sur scène ce sera assez cocasse.

Le thème de la cybernétique est au cœur de l'intrigue avec cette éternelle et toujours actuelle question de la place de la robotique dans l'humanité. Tout n'est pas plausible mais ce n'est pas le but recherché, l'auteur privilégie avant tout l'humour, les quiproquos et les situations cocasses... C'est une partie gagnée, on ne s'ennuie pas et ma curiosité à été piquée...
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Andrarius : Le robot-homme

Une belle découverte pour un roman écrit comme une pièce de théâtre . Des dialogues courts qui s’enchaînent , l’auteur allant à l’essentiel ce qui donne du rythme à votre lecture . L’histoire commence dans la prison de la Santé dans laquelle un certain Marius Donavan , un détenu , doit repasser un examen sur les mots d’argots …Pourquoi est-il emprisonné et que signifie cet examen ? Les réponses seront données tout au long de votre lecture qui commence par l’acte 1 . Nous y découvrons Marius, ingénieur chercheur qui présente un robot-homme qu’il a créé . Un robot à son image . Ce robot-homme , Andrarius, est le sosie conforme de son concepteur . Une ressemblance physique mais pas que . Il pense comme lui , a ses souvenirs , ses phobies , son caractère …Marius le présente lors d’un forum scientifique. Andrarius devient alors un objet de convoitise de l’état et des services spéciaux de la Russie . Mais tout va déraper quand la technologie va prendre le dessus sur l’humain . L’auteur nous présente sous forme de pièce de théâtre une histoire parfois loufoque , légère mais qui soulève des sujets importants. Un univers d’hommes et de robot avec ici un robot très performant , humain . Mais justement créer de telles « choses » n’est-il pas un risque de voir ces robots prendre le dessus sur la technologie et se perfectionner eux-mêmes …Un sujet traité avec humour mais qui pousse à réfléchir . Comment Marius va-t-il réagir devant ce robot-homme qu’il a construit et qui semble lui échapper ? La seule vraie différence entre Marius et Andrarius est un organe vivant : le cœur . Mais tous les hommes en ont-ils vraiment un ? Un livre qui aborde de manière originale et humour un sujet qui fait peur et qui doit nous alerter. La technologie est formidable mais jusqu’à quel point? Une lecture agréable avec un auteur ukrainien qui maitrise la langue française puisque professeur de français dans son pays . Un livre qui pousse à réfléchir sur la technologie et ses limites.
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Andrarius : Le robot-homme

Il est des services presses qui m’interpellent plus que d’autres. De part leurs genres, leurs problématiques ou leurs cultures. Celui-ci regroupent les trois domaines. C’est bien la première fois que je chronique sur mes réseaux une pièce de théâtre. Et je vous avoue, chers lecteurs, que je n’en avais pas lu depuis les bancs de l’école. Je me souviens encore de Molière, de mon enthousiasme lors de mes lectures, de mes crises de rires surtout ! Et quelle surprise de retrouver tout cela dans Andrarius. Une plume fantastique qui nous embarque sur scène malgré nous. Le théâtre s’anime devant nous. Et les planches vibrent sous nos pieds par la dynamique des dialogues.

Lorsque notre auteur, Anatole Planida, c’est présenté à moi pour chroniquer son œuvre, il m’a révélé être auteur Ukrainien. Percutant sur la situation mondiale actuelle, il m’est apparu comme une évidence de donner vie et visibilité à cet écrivain. Bien que l’histoire n’est rien à voir avec l’actualité, vous y retrouverez la place d’un mouvement politique russe dans ce récit aussi comique qu’invraisemblable.

Un récit mettant en scène une avancée technologique presque incertaine où les rebondissements seront nombreux. Entre la réalité humaine et humanoïde vous risquez de vous y perdre, tout autant que nos personnages. Le professeur Marius Donovan était loin d’imaginer où le conduirai la création d’un automate. Un automate dont la ressemblance si troublante en perturbera plus d’un, lui le premier. Qu’adviendra t-il de tout cela ?

Mes chères lectrices et chers lecteurs, laissez-vous emporter par ce scénario qui vous donnera un accès direct sur la scène d’un théâtre. Que vous soyez acteur ou simple spectateur vous vivrez une expérience théâtrale exceptionnelle.

Installez-vous confortablement et commencez votre lecture par cette citation. Imprégnez-vous de cette comédie qui vous attend…

« On pourrait également citer des mathématiciens et inventeurs de génie tels que Léonard de Vinci et Alan Turing, Nikola Tesla et bien d’autres jusqu’à nos jours, sans oublier, évidemment, les automates de Jacques-Droz : « Le Dessinateur » ou « L’Ecrivain », ou encore le merveilleux « Cigne d’argent » des inventeurs Jean-Joseph Merlin et James Cox ! Les chercheurs contemporains ont à leur tour fait un progrès remarquable en ce qui concerne la création non seulement des robots, dirais-je, dans le sens propre du mot, mais surtout des robots ressemblant à l’homme ! »
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Andrarius : Le robot-homme

Mon avis :

Tout d'abord, j'ai trouvé très judicieux le choix de faire de cette histoire une pièce de théâtre. Le comique de situation, souvent utilisé, s'y prête complètement. Je me serais très bien vue dans la salle à assister à ce spectacle.

De plus, les situations sont souvent loufoques et je me suis beaucoup amusée à la lecture de ces pages, m'imaginant parfaitement les scènes décrites.

De nombreux quiproquos, des répétitions voulues et assumées, voilà un vaudeville moderne qui se déguste comme une gourmandise.

Au delà de l'histoire, j'ai réalisé que l'auteur voulait faire passer des messages importants. Comment gèrera-t-on les futures intelligences artificielles ? A quel point seront-elles identiques à nous autres, êtres humains, dans leur sensibilité ? Serons-nous capables de garder le contrôle ou serons-nous complètement dépassés ? Des interrogations légitimes et intéressantes que nous sommes tous à même de formuler dans le monde actuel dans lequel nous évoluons.

En conclusion, une lecture fort plaisante que je vous recommande vivement.

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Andrarius : Le robot-homme

Andrarius, le robot homme

Anatole Planida

245 pages

Sorti le 25 mai 2022



Lire un roman écrit comme une pièce de théâtre, c'est une première pour moi ! Je remercie l'auteur de m'avoir permis de découvrir cette formule.



Au tout début, j'ai été un peu déstabilisé.

Mais c'est normal, car cette lecture m'a sorti de ma zone de confort. Puis au fil des pages, j'ai vu les personnages, les décors se matérialiser devant moi.

Vous savez, par moment, j'ai souri, ris à certaines situations un peu loufoques, cocasses, un peu comme les vaudevilles.

Marius Donovan est un chercheur, ingénieur, et il crée un robot à son image, il a les mêmes souvenirs, envies que lui.

Lors de l'unique présentation publique de son robot, tout s'enchaîne. L'androïde devient un secret d'Etat, il est convoité par les services spéciaux de la Russie. Tout le monde veut ce robot hors norme. Mais pense-t-on au robot à ce qu'il ressent ! Vous allez me dire, il ne peut rien ressentir puisqu'il n'est pas vivant, il n'a pas de cœur, d'esprit...

Donovan lui a influé ses souvenirs, ressentis, sentiments pour en faire un double presque parfait...

Ce fut une lecture très intéressante, originale, un peu déroutante par moments, mais j'ai passé un excellent moment de détente.

L'auteur a une écriture fluide, amusante, rempli de quiproquos. Les descriptions des personnages, des ressentis et des décors sont bien décrits. Par moments, on aurait pu entendre le public rire et applaudir à tour de bras.

Je vous conseille de découvrir cette histoire qui vous changera de vos lectures habituelles.



4ème de couverture

Paris, de nos jours… Le professeur Marius Donovan, ingénieur, chercheur, construit un super robot androїde qui lui ressemble à s’y méprendre. Personne ne peut les distinguer ! Seulement, très vite, l’androїde devient l’objet de convoitise, d’une part, de l’État avec ses services spéciaux, d’autre part, de la mafia… russe, en l’occurrence. Par dessus le marché, quand le robot réalise, un jour, qu'il ne veut plus être un simple jouet mécanique... là, les choses se compliquent.



À PROPOS DE L'AUTEUR



Enseignant de français de formation, Anatole Planida affectionne particulièrement le Théâtre. Tour à tour au-devant de la scène et dans les coulisses, il est également l’auteur de plusieurs œuvres dont Le bizarre.

À découvrir
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