Pendant que la foule se ruait dans les wagons, il entonna le couplet que j'avais déjà entendu :
Là où une mer d'azur caresse une île de marbre,
Une magicienne m'attend dans son château doré,
Et chaque nuit, couchée sous l'éventail d'un arbre,
Elle pleure et m'appelle ! Jamais je ne viendrai ...