L'Associé du diable (The Devil's Advocate), film américain réalisé par Taylor Hackford en 1997 d'après le roman The Devil's Advocate d'Andrew Neiderman. Avec Keanu Reeves, Al Pacino et Charlize Theron. Extrait
«Les hommes ont parfois tendance à considérer leurs épouses comme une chose allant de soi, fit Norma d'un ton sentencieux. Nous devons les maintenir sur le qui-vive, entretenir le mystère, les amener à se poser constamment des questions. Sans quoi, vous devenez très vite l'une de leurs possessions parmi tant d'autre. »
L'avocat du diable
Andrew neiderman
« il eut le sentiment de faire partie de beaucoup plus qu'un cabinet juridique: il entrait dans une sorte de confrérie, une fraternité du sang, les avocats des damnés. La loi et la procédure leur servaient â bâtir des forteresses, à forger des armes. Quoi qu'ils choisissent de faire, ils étaient victorieux, et leurs efforts couronnés de succès.»
L'avocat du diable
Andrew neiderman
«Les hommes ont parfois tendance à considérer leurs épouses comme une chose allant de soi, fit Norma d'un ton sentencieux. Nous devons les maintenir sur le qui-vive, entretenir le mystère, les amener à se poser constamment des questions. Sans quoi, vous devenez très vite l'une de leurs possessions parmi tant d'autre. »
L'avocat du diable
Andrew neiderman
« il eut le sentiment de faire partie de beaucoup plus qu'un cabinet juridique: il entrait dans une sorte de confrérie, une fraternité du sang, les avocats des damnés. La loi et la procédure leur servaient â bâtir des forteresses, à forger des armes. Quoi qu'ils choisissent de faire, ils étaient victorieux, et leurs efforts couronnés de succès.»
L'avocat du diable
Andrew neiderman
"Mais tu n'es pas une geisha, Miriam. Tu es ma femme. Je veux partager avec toi mes déconvenues aussi bien que mes réussites. Je veux que tu sois partie prenante de ce que je fais et de ce que je suis, tout autant que je désire être partie prenante de tout ce que tu fais et de ce que tu es. "
L'associé du diable
Andrew neiderman
La cerise sur le gâteau ! Un vieux truc de professionnel que lui avait appris son père : il fallait garder les surprises pour la fin, et si possible, les annoncer d’un ton dégagé.
Le cerveau humain est ainsi fait. Il aime à retenir le temps où le corps était jeune, beau et fort. Parfois, je me dis que c’est pour le mieux car on se rend moins compte de sa déchéance.
Les hommes ne sont pas si impulsifs ! avait déclaré son amie. Surtout les hommes d’affaires comme Stephen et Jason. Ils se soucient plus du montant de leur portefeuille boursier que de la coiffure de leur femme.
Crois-moi, les hommes adorent se sentir importants. Dès qu’une femme affiche son indépendance, ils en conçoivent une cuisante humiliation. Cela s’entend dans leur voix, dans leurs sarcasmes.
On dit que chacun a son sosie de par le monde.