Andy Riley

Ils sont blancs, ils sont ronds, ils sont mignons, ils sont suicidaires.



Pourquoi ? Eux seuls le savent et ils sont bigrement ingénieux ! Qu'il s'agisse de s'embrocher sur le sabre laser de Vador, de se faire découper en rondelles, de s'asseoir là où il ne faut pas ou de monter des mécanismes farfelus, ces lapins sont bien résolus à mettre fin à leurs jours !



Pauvre de nous, lecteurs sensibles ! Il nous faut assister à une escalade de loufoquerie macabre et d'inventivité fatale ! Le pire dans tout ça ? Ces bestioles adorables n'ont pas une expression : elles vont à la mort sans peur, avec flegme et résolution, mais sans passion. Mais pourquoi ??? Sont-ils crétins ? Même pas...



Sous une couverture orange vif, les dessins en noir et blanc vous réservent de beaux éclats de rire ! Amateurs d'humour noir et d'humour british, ce livre est fait pour vous ! Amateurs de lapins (comme moi), ce livre est aussi pour vous et n'ayez pas peur, c'est pour de faux !

Les lapins suicidaires sont de retour pour un dernier round de morts 100 % inédites. L'humour noir de ces vignettes est toujours autant absurde, mais il dégage parfois une poésie certaine. Il y a de la beauté dans l'ingéniosité et la patience de ces douces bestioles à chercher le trépas le plus douloureux possible. Il faut saluer la solidarité dont les lapinous font preuve pour atteindre leur objectif commun et définitif.



Au milieu de l'ouvrage, un entracte bucolique est bienvenu pour nous faire oublier un moment ces décès aussi cruels que déplaisants. C'est à se demander pourquoi les pinpins se compliquent autant la vie, ou la mort ! Ils sont pourtant si mignons, avec leurs petites oreilles pointues... Mes pages préférées sont celles où il faut chercher la victime consentante, planquée dans le dessin et la machinerie fatale mise en place.



Après Adieu monde cruel et le deuxième volume de ces suicides déjantés, l'auteur va jusqu'au bout de son délire, pour le plaisir sadique de nos zygomatiques !

Après le trésor d'humour noir et d'inventivité de la trilogie 'Le coup du Lapin', la méchanceté gratuite, grinçante et jubilatoire de 'Méchants cochons', le génie des '92 inventions inutiles et indispensables', je découvre un album plus ancien d'Andy Riley qui répertorie quelques mensonges à destiner aux enfants, soit



- par flemme d'expliquer la vérité



- par bêtise/méchanceté pure et gratuite



- pour faire rire les adultes qui lisent ce recueil, et point final. L'auteur n'imagine tout de même pas qu'on peut toujours faire prendre des vessies pour des lanternes aux enfants sans avoir pleinement conscience de se moquer d'eux et donc sans avoir honte ?



Quelques coups de génies, mais surtout des idées complètement loufoques. L'auteur nous y a habitué, certes, mais là c'est rarement drôle, hélas.



Une déception. A empruter en médiathèque, ou feuilleter en librairie.

Des très jolis lapins, tous blanc, adorables et mignons à croquer...avec une volonté de mourir plus forte que tout.

Les méthodes traditionnelles ne sont pas pour eux visiblement.

L'auteur nous entraine dans un déluge (et délire) de procédés plus rocambolesques et loufoques les uns que les autres afin de passer de vie à trépas.

C'est souvent drôle et cocasse mais ça tourne assez vite à l'exercice de style et je me suis finalement un peu lassée...

Bande dessinée d’Andy Riley.

Sous-titre : Les lapins suicidaires les plus drôles du Royaume-Uni sont de retour !

Adieu monde cruel a bien expliqué le concept : d’adorables petits lapins cherchent sans cesse le meilleur moyen d’en finir. Ils sont patients, déterminés, solidaires et inventifs. Faisant feu de tout bois, montant des machines compliquées ou tirant profit de leur environnement, ces lapins ne manquent pas de ressources ! « Autodestruction enclenchée. Pour annuler, il vous reste cinq minutes. / L’art du jonglage en six minutes. »



Le lecteur prend une bonne dose d’absurde dans la face. Et s’il aime le cinéma, il y trouvera aussi son compte, car nos adorables petits lapins explorent les univers de Doctor Who, d’Alien, de Terminator ou du Seigneur des anneaux. Ne cherchons pas pourquoi ces bestioles qui n’ont même pas l’air déprimé veulent tellement se faire couic. Contentons-nous de rire un grand coup (du lapin) !

Absurde, inventif, digne du concours Lépine, un peu dégueu parfois, tiré par les cheveux, méchant et drôle, méchamment drôle…

Autant de termes - et bien d’autres encore - pouvant qualifier cet ouvrage illustré dans lequel Andy Riley propose de multiples inventions certes inutiles (encore que…) mais surtout indispensables pour dérouiller les zygomatiques. Quelques petites pastilles anti-déprime à prendre sans modération.

Difficile à expliquer sans l’image, le mieux c’est d’aller l’acheter dans toute bonne librairie ou de l’emprunter dans toute bonne médiathèque (comme la mienne).

Tout est dit dans le titre, mais la couverture ne rend pas hommage à l'ingéniosité et à l'humour dont fait preuve l'auteur sur la grande majorité des gags.

Même esprit que Le coup du lapin, parfois mâtiné de la méchanceté gratuite déployée dans Méchants cochons. Ce petit recueil, drôle et logique, est un régal. Il faut parfois s'attarder quelques secondes supplémentaires car Andy Riley a bien intégré ses cours de mécanique et le système des poulies (lui !)... ce qui peut donner lieu à des constructions très élaborées.



Accessible dès 10 ans comme Méchants Cochons, moins noir que Le coup du lapin...

Présentation de l'éditeur : Il n'y a que les lapins britanniques nés au pays du nonsense pour s'amuser à mettre fin à leurs jours en nous faisant mourir de rire !



Je peux rire à peu près de tout, sauf des blagues scato... et du suicide. J'ai beau apprécier la plupart des ouvrages de Jean Teulé, j'évite ainsi soigneusement son 'Magasin des suicides'...



Cette BD m'a néanmoins attirée en librairie, et j'ai vite fondu devant ce petit lapin aussi ingénieux que désespéré. Il montre une farouche envie d'en finir, et tous les moyens sont bons pour y parvenir. Beaucoup de bonnes trouvailles, de logique. Et l'adorable bestiole devient rondelles, tas de poils, spaghettis... pour recommencer de plus belle avec des méthodes barbares, douloureuses.



Le coffret de l'intégrale (avec les trois albums) est tout mignon, avec de vraies oreilles de lapin toutes douces à tripoter - en synthétique, SPA, détends-toi !



Si vous aimez Barnabé et/ou Wallace & Gromit, je trouve un petit air de famille. Ceci dit, on évitera de laisser les albums traîner devant les yeux des jeunes curieux. Même si c'est en noir et blanc, c'est gore et ça ne respire pas la joie de vivre.

Méchant pour le plaisir d'emm3rder le monde, d'une mauvaise foi criante, tête de c*n, borné, buté, voleur, profiteur, blasphématoire, mesquin, irrévérencieux, provocateur, mufle, sans scrupules... vous connaissez un individu qui cumule tous ces dons ?



Moi oui, et plusieurs : ce sont les "méchants cochons" d'Andy Riley. Tellement odieux qu'ils en deviennent presque aussi sympathiques que ses "lapins suicidaires" - tant de haine cache quelque chose, non ? Une bonne dose de souffrance ?



A vous de juger entre ces pages amusantes peuplées de cochons au groin et sourcils toujours froncés de contrariété...

Leurs trognes renfrognées annoncent la couleur et elle n’est pas rose, mais noire comme leurs idées ! Méchants, peut-être mais surtout sainement égoïstes, ne pensant qu’à leurs fesses et se moquant royalement des conventions.



Source : SFmag.net

Les lapins sont des animaux doux et mignons. Ils n’ont pas l’air désespérés, pourtant ils cherchent par tous les moyens à mourir. Je n’ai pas lu le premier tome.

Il est fou de voir leur détermination, leur inventivité et même leur solidarité. Avec ces animaux à grandes oreilles, le lecteur découvre que le danger est partout, même dans la vie quotidienne. L’un d’entre eux ira même jusqu’à embêter un Alien, Terminator et même l’œil de Sauron. Il y a des situations totalement absurdes, comme un lapin dans une station spatiale sur le point de s’autodétruire. Par moment, il n’y a que les oreilles ou le pompon arrière qu’on voit.

J’ai passé du bon temps à rire de ces boules de poils. Du coup, j’ai envie de lire le premier tome, car il y a bien d’autres façons possibles de mourir.

On connaît le lapin à la moutarde, en civet, farci, en broche... Mais là, on va à la rencontre de mignons petits lapins qui ne souhaitent qu'une seule chose. Juste en finir avec la vie. Attention, ne prenez pas cela pour une bd morbide. C'est juste un rendez-vous avec l'humour noir, simplement illustré en noir et blanc dans un style minimaliste.



Andy Riley a beaucoup d'imagination car presque chaque page est une méthodologie pour se suicider et ne pas se rater. Tout ce qui nous entoure peut-être utile, pisser sur les rails d'un métro, mettre sa tête dans un tourniquet avec des portes en verre, se mettre sur le chemin de patineur sur glace, éviter de monter dans l'arche de Noé, se mettre dans un grille pain ou mettre un coup dans les parties d'un extraterrestre. Cela ne demande aucune connaissance particulière du monde pour comprendre et apprécier ces adieux au monde cruel. D'ailleurs, le succès est tel qu'on le retrouve dans les idées cadeaux de Noël, mais aussi sous forme de calendrier, de cartes....



Je vous encourage à passer du côté obscur de l'humour dans un univers so british. Pierre Desproges ou les Monty Pitons vous évoquent quelque chose que vous aimez, alors vous aimerez ces lapins.
Lien : http://22h05ruedesdames.word..

J'ai toujours lu des livres avec des héros surpassant toutes les épreuves pour survivre, s'accrochant au plus infime petit espoir. On appelle ça la "rage de vivre".

Et bien prenez toutes ces représentations dans le sens contraire et vous aurez ce petit livre illustré de lapins suicidaires. A dire vrai, je ne pensais pas qu'il y avait tant de façons aussi tordues pour mourir (et complexes de surcroît !).

Ça m'a d'ailleurs drôlement fait penser au clip vidéo en vogue en ce moment " Dumb Ways to Die" (très drôle également).



Un livre à savourer chez soi, seul ou en groupe.

Merci à mon amie de me l'avoir fait découvrir !

Andy Riley ne manque pas d'imagination. Par contre son humour noir n'est pas pour tout public. Le sujet de fond reste tout de même le suicide et à travers les lapins. Certains risquent de crier qu'il faut arrêter de vouloir faire du mal à d'innocents animaux. Il vaut mieux prendre des humains et puis avec la pandémie, c'est d'autant plus d'actualité. Mais pourquoi faudrait-il se passer des lagomorphes? C'est drôle et cela détend les zygomatiques. Aucun doute qu'après avoir finit la bd, on ne voit plus l'aménagement de son chez soi pareil. Un champ des possible s'ouvrent devant notre manque d'inventivité. Et comment ne pas être émerveillé avec l'utilisation du fabuleux et extraordinaire Docteur Who? Cela donne juste envie de revoir des épisodes pour se remonter le moral. Et c'est assez que l'on voit des lapins en plus et il ne laisserait jamais un lapin mettre fin à ces jours. Sauf si vraiment un gros méchant extraterrestre. Bref, une lecture sympathique à garder dans sa bibliothèque et à ressortir quand le moral vacille. 
Lien : https://wp.me/p1F6Dp-9ed

A laisser en vue dans vos toilettes, vos amis vous estimerons d'autant plus... Cynique, très drôle, idées géniales, trop mignon ce lapin aux idées aussi géniales que tordues pour mettre fin à ses jours

Le coup du lapin...

Des lapins tout mignons, tout gentils, mais… suicidaires. Ceux qui aiment l’humour noir, par ici! A chaque page, un nouveau gag ( Décapitation, machines de suicides, coupage en deux, etc.). Je ne sais pas comment l’auteur fait pour trouver des idées aussi farfelues, mais c’est dessiné de manière très, très drôle. Evidemment, cela est impossible dans la vraie vie. Des lapins suicidaires… On aura tout vu ! On peut dire que Andy Riley(l'auteur) sait faire rire les gens! Je vous conseille fortement ce livre(sauf si on prend tout au 1er degré) et j'espère que vous y prendrez plaisir!

Un livre de suicides de lapins... Oui oui vous avez bien lu ! Vous aimez l'humour noir, les lapins et des situations farfelues ? Ce livre est...mortel ! A prendre au premier degré et à consommer sans modération.

Quand on est amateur d'humour, et plus particulièrement d'humour noir, et amateur de BD, c'est un incontournable !

À chaque page on se dit qu'on ne devrait pas rire de ces choses-là mais rien à faire, on ne peut pas s'en empêcher. C'est systématiquement cruel, sadique mais paradoxalement jamais idiot tant les lapins redoublent d'ingéniosité pour mettre fin à leurs jours.

Un vrai petit bijou pour les amateurs d'humour noir.

Comme le titre l'indique, Riley nous présente là la fine fleur des inventions ! Le concours Lépine n'a plus qu'à bien se tenir ! Toutes aussi absurdes les unes que les autres, voire parfois un peu méchantes..
Lien : http://lesgridouillis.over-b..