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Critiques de Anne Bozellec (41)
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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

Déjà tout petit, on nous dit : "t'es une [ ]F" ou "t'es un [ ]M".

Et les parents nous rangent dans la case qui convient.

Or si, comme Julie à huit ans, on est un garçon manqué ? ...qui entend ses parents le lui répéter à longueur de journée ? "Si bien qu'un matin..." Julie, en sortant du lit, remarque qu'elle a une ombre de garçon ! Une ombre qui caricature tous ses gestes et qu'elle est la seule à voir. Après s'en être amusée, Julie commence à douter de son identité. Elle va essayer de se débarrasser de ce "double" qui l'encombre, en sautant dans les flaques d'eau et en cherchant l'obscurité...mais c'est peine perdue... Jusqu'au jour où elle rencontre dans le parc un garçon dont tout le monde dit qu'il pleure comme les filles...

J'ai trois (grands) enfants : une [X]F, un [X]M et une [ ], qui a l'âge de Julie préférait jouer à la Tarzanne dans les arbres...avec le temps son ombre s'est féminisé...



Dépêchez-vous d'aller emprunter ce joli ouvrage sur l'identité sexuelle (tout premier album des éditions le Sourire qui mord en 1976, réédité en 2009 et maintenant définitivement épuisé), dans votre biblio-/médiathèque...tant qu'il s'y trouve encore !



En 1986, l'auteur-illustrateur Marie-Claude Monchaux fut à l'origine de la campagne de censure visant la littérature jeunesse, mettant en joue des éditeurs comme École de Loisirs, Syros et le Sourire qui mord... Elle publiait alors "Écrits pour nuire", livre dans lequel elle dénonçait "la gangrène de la Subversion" dans les publications pour la jeunesse. (document répertorié dans la base de Babelio. le BBF (Bulletin des Bibliothécaires de France) a renvoyé le 15 février 2014 (!) à un article, datant de 1987 : voir le lien concernant ce livre, sous "critiques, analyses...")



En 1986-'87, je travaillais dans la section jeunesse d'une grande bibliothèque en Alsace...mes collègues et moi avons essuyé, comme tant d'autres bibliothécaires, la tempête "Monchaux" qui a failli dévaster notre travail qui consistait à oeuvrer pour la reconnaissance en bibliothèque de ce qu'à l'époque on appelait "les livres miroirs" : ouvrages reflétant dans des collections adaptées pour les jeunes, les problèmes de société et le questionnement identitaire.

La tempête est passée, balayant d'un coup de revers (politique) la bibliothèque et la bibliothécaire de la ville d'Orange (voir l'article du BBF de 1999 : http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-1999-03-0044-005 )

...et le vent s'est calmé...



Vingt-sept ans après, un nouveau ouragan se prépare. Celui-ci s'appelle "Gender" : a l'origine un mot anglais "inoffensif" qui signifie : "genre ; sexe féminin ; sexe masculin" et qu'un certain mouvement politique français a récemment transformé en "guerre contre l'altersexualite"(*) dans la littérature de jeunesse.

La tempête "Monchaux" visait surtout les livres pour adolescents..."Gender" vise plus bas !



Je NE veux PAS qu'on tire sur l'ombre de Julie : elle et avec elle, beaucoup d'autres filles et garçons vont être rangés dans les cases (et casiers)...dont ils ne sortiront plus !



(*) altersexualite : néologisme permettant de réunir en un seul mot les sexualités "non strictement hétérosexuelles", notamment l'homosexualité, la bisexualité, la question sur l'identité sexuelle...



P.s. Vous pouvez éventuellement (re-)lire ma "critique" de "La fête des mères" dans laquelle j'avais recopié un interview avec Didier Daeninckx, relatant également cette année 1987.
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Les Chatouilles

Déshabillez-moi ♪♫

Oui, mais pas tout de suite,

Pas trop vite... ♪♫

( ... suite des préliminaires ... la tension monte ... )

Déshabillez-moi ♪♫

Oooh, déshabillez-moi...

Et vous, déshabillez-vous ! ♪♫

.

Même histoire dans 'Les chatouilles', sauf que ceux qui s'adonnent à ce jeu, dans un lit, sont des enfants de sept ou huit ans. Un garçon et une fille, peut-être un frère et une soeur - mais les supposés liens familiaux ne changent pas grand chose au 'problème'.

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C'est l'énigmatique 'Pas facile, l'amitié' qui m'a donné envie d'en savoir plus sur l'auteur (Ch. Bruel).

On m'a parlé du controversé 'Les chatouilles' (merci L.) qu'un Youtubeur présente page par page, en faisant part de son indignation.

Le gars a des petits airs complotistes (genre 'je vois des pédo- partout'... mais il n'a pas complètement tort, y en a beaucoup en liberté). Donc je décide d'être prudente. Mais au vu du déroulé de l'histoire et des illustrations, j'ai beau essayer de me faire mon avis, ce que je vois ne me plaît pas.

Beaucoup de commentaires criant à l'inceste et à la pédoporno- également sur Amaz*n, mais on sait comment ça fonctionne, les multi-comptes (cf. RJ Ellory, voir un personnage dans 'Vernon' de Despentes, et l'exemple de N. ici)...

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Pas de texte, juste des scènes où chacun découvre ('dénude' et 'fait connaissance avec'...) le corps de l'autre au gré de chatouilles, avec une plume. Les pyjamas glissent. Par pudeur (!?) le reste du jeu se déroule sous la couette, donc pas de nudité complète.

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Je n'ose pas m'interroger sur le plaisir malsain pris par les auteurs (scénario & dessin). Déjà, pour avoir l'idée de cet album...

Ma question : intérêt de mettre ce livre entre les mains d'un enfant ?

Lui faire comprendre que son corps lui appartient, qu'il peut jouer avec (tant qu'il ne s'exhibe pas), ok. Mais ça se dit simplement, au gré des circonstances.

Mais là ? Album destiné aux 5-6 ans, je suppose, à un âge où la lecture se fait généralement à deux : adulte-enfant. Donc que dire ?

Oui, quand on était petit(e)s, on a pu jouer avec des cousin(e)s, voisin(e)s de notre âge, à se montrer vite fait des parties cachées, mais les parents & autres adultes étaient soigneusement tenus à l'écart de ces petites expériences ! Ce n'est pas eux qui nous soufflaient l'idée, comme le font les auteurs de cet album.

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PS : l'auteur a créé et dirigé les éditions 'Le Sourire qui mord' ; image éloquente de ce qu'on ressent à cette lecture (pseudo-douceur innocente qui s'avère toxique).

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>> https://www.youtube.com/watch?v=-u02lMspv_0
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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

Le premier album pour enfants ayant abordé le thème de l’identité sexuelle. Un album de 1976 réédité en 2009 et malheureusement à nouveau épuisé aujourd’hui, l’éditeur ayant mis la clé sous la porte.





« Julie n’est pas polie. Julie n’est pas très douce, elle n’aime pas les peignes et se cache sous la mousse pour ne pas qu’on la baigne. Julie sait ce qu’elle veut, elle en parle à son chat, ils ont de drôles de jeux que ses parents n’aiment pas… mais elle voudrait qu’on l’embrasse quand même. »





Julie est un garçon manqué, son père n’arrête pas de lui répéter. Si bien qu’un matin elle se réveille avec une ombre de garçon. Julie est perturbée par cette ombre étrange qui mélange tout et la dérange : « Allez, laisse moi tranquille, je ne suis pas comme toi, moi ! Je suis une fille ! » Julie ne sait plus qui elle est, elle ne sait plus à qui elle ressemble, elle voudrait être toute petite, se cacher dans un trou.



Une très belle histoire sur la quête d’identité d’une petite fille. Le texte est poétique et dit la souffrance, l’incompréhension. Un album resté incroyablement moderne, qui interpelle et ça fait du bien. Un album dont certains passages vont heurter la sensibilité des culs serrés, et ça aussi ça fait du bien : « Ce soir, Julie est découragée… Et si c’était l’ombre qui avait raison… Elle n’est peut-être qu’un garçon… manqué en plus, avec cette fente entre les cuisses qu’elle aime bien toucher doucement… ». Un album à recommander chaudement, donc. Si vous fréquentez une médiathèque municipale et que ce titre fait partie de son fonds, n’hésitez pas à l’emprunter, vous allez faire une sacrée découverte.





« Les gens disent que les filles, ça doit faire comme filles, les garçons, ça doit faire comme les garçons !

On n’a pas le droit de faire un geste de travers…

Tiens, c’est comme si on était chacun dans son bocal !

- Comme pour les cornichons ?

- Oui, comme pour les cornichons…

Les cornifilles dans un bocal, les cornigarçons dans un autre, et les garfilles, on ne sait pas où les mettre !

Moi je crois qu’on peut être fille et garçon, les deux à la fois si on veut… Tant pis pour les étiquettes… On a le droit ! »
Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Un jour de lessive (ou) Le jour de la lessive

Un garçonnet se dirige dans le jardin où sa mère est en train d'étendre du linge, passant sa tête derrière le drap il découvre différents mondes.



J'ai tout de suite était attirée par la couverture verte et le titre de cet album sans texte. Les enfants pourront aisément s'approprier ce livre. Chaque petit détail est prétexte à entrer dans un monde imaginaire. Un simple trait de crayon sublime les illustrations. Cette réédition est une réussite.
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L'imagier du Père Castor

Une valeur sure, cet imagier !



Les générations passent et il est toujours là, fidèle au poste, et je viens de le racheter pour mes petits-enfants, après le sort funeste subi à celui de mes enfants, preuve d’une utilisation compulsive !

Avec ses images classées thématiquement, on peut très tôt faire reconnaître les objets, avant même que l’enfant ne s’exprime. Il peut en effet les désigner du doigt.

Ensuite viennent les mots, puis les leçons de chose, les devinettes, la lecture et l’écriture avec les graphies en bâton et cursive.



La section animaux a toujours la côte, mais celle de la nature les laisse encore indifférents (c’est amusant comme l’histoire se répète…). Au fil du temps, les images se sont enrichies de modernité et les objets sont mis au gout du jour.



Reste un goûter « culte » qui n ‘a pas changé : le biscuit Petit-Beurre, même si le dessin se défend d’en designer l’origine LU de la fabrique nantaise Lefèvre-Utile

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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

La petite Julie se pose des questions. Elle est une fille, mais elle ne fait rien comme les filles : elle n'aime pas se peigner, se laver, mettre le couvert... Est-ce qu'elle serait un garçon manqué comme le dit son père ? Une fille ratée quoi. Elle tente alors de repousser cette ombre de garçon qui rode autour d'elle, afin d'être une vraie fille. Oui mais Julie n'est pas une vraie fille, elle est Julie tout simplement.

Un album subtil, au texte qui fait mouche et aux dessins expressifs. Un livre publié pour la première fois dans les années 70, mais qui, bizarrement, reste toujours d'actualité.
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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

Ce livre me laisse perplexe.

Certes c'est un classique, certes le sujet est important, la morale de l’histoire excellente, les illustrations belles.

Mais j'ai du mal à imaginer qu'il va intéresser les jeunes enfants, vu son texte et sa présentation.

On en parle beaucoup ces jours-ci, puisque Thierry Magnier vient de le rééditer, ce qui s'imposait en ces périodes où le "genre" est au centre des débats.

J'en ai profité pour le réemprunter, et le relire tranquillement.

Et non, toujours pas de coup de coeur pour ma part, même si j'en ai un peu honte !!

J'ai toujours eu un peu de mal avec Le Sourire qui mord, du moins dans l'optique de les proposer aux enfants.

Par contre, je n'ai pas vu la nouvelle édition, peut-être plus tentante ?
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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

Julie est une petite fille qui habite en ville, ne range pas sa chambre, laisse traîner, chaussettes, livres et cahiers. Julie ne fait pas ce qu’on lui demande, Julie est débraillée, Julie fait des bêtises, Julie ne s’aime pas spécialement et comprend bien que l’on ne voit d’elle que ce qu’elle n’aime pas et qu’elle exacerbe.



Alors sa maman lui fait des remontrances, alors sa maman la fait belle, comme on le ferait d’une poupée, juste une apparence. Parents sévères, parents austères, qui toujours répètent qu'elle est un garçon manqué.



Quelque chose qui déplaît, une ombre qui plane, et même deux, dont une lui colle à la peau et à l’âme. Une ombre polissonne, qui fait ce qu’elle veut, qui la dévore, et qu’elle veut fuir. Elle ne se reconnaît plus, ni à l’extérieur, ni à l’intérieur. Alors elle décide de la faire taire, de ne plus lui offrir l’occasion de se montrer.



Une rencontre va changer sa vision d’elle-même, bousculer les étiquettes et la faire s’affirmer.



http://vivrelivre19.over-blog.com/2014/11/20-novembre-journee-internationale-des-droits-de-l-enfant.html
Lien : http://vivrelivre19.over-blo..
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Ce que mangent les maîtresses

Un livre adorable où des enfants disent un mot sur leur maîtresse. Des illustrations en noir et blanc et des petites bouilles toutes rondes. Une tendre déclaration d'amour toute en douceur aux maîtresses !
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Les Chatouilles

Ce livre est une incitation au jeux sexuels entre deux enfants d'une même famille. J'ai été choqué. Pas besoin d'acheter le livre pour le voir, voici un lien ci dessous qui vas vous présenter le livre avec son vrai contenu.
Lien : https://www.youtube.com/watc..
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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

C’est une drôle d’histoire perturbante, qui parle à l’inconscient, qui trahit les désirs et les craintes d’un enfant.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

Julie est une charmante gamine très « nature », hyper active, tendre, un rien insolente, jamais à court d'idées saugrenues. « Un vrai garçon manqué » lui répètent ses parents, déçus qu'elle ne corresponde décidément pas à l'image qu'ils se font d'une fillette de huit ans. Si bien qu'un matin, l'ombre de Julie est devenue celle d'un petit mâle qui caricature le moindre de ses gestes.

Source : http://christianbruel.chez-alice.fr/

En 1976, Christian Bruel crée la maison d’édition « Le sourire qui mord », qui publie des albums pour enfants parfaitement anticonformistes.

L’appellation « Le Sourire qui mord » renvoie aussi à ce concept fondamental pour la maison d’édition. Elle fait référence à la volonté des éditeurs de dénoncer la mièvrerie ambiante de la littérature pour enfants alors en vigueur, au profit de livres dynamisant les rapports avec l’enfant et n’hésitant pas à aborder les sujets les plus subversifs. Elle transmet également une certaine idée de l’enfance qui, selon Christian Bruel, « n’est pas rose ; et derrière le sourire, se cachent les dents... ».

Il s’agit de rendre accessible à tous la véritable nature des enfants, mêlant défauts et qualités, tout en facilitant dans le même temps l’acquisition par ceux-ci d’un certain plaisir dans la lecture.

 « Des livres où les confitures ne sont pas perchées trop haut »

« Des livres où enfants et adultes peuvent se retrouver avec leurs joies, leurs désirs, leurs angoisses. »
Lien : http://lajoieparleslivres.bn..
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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

Dernier album des éditions Thierry Magnier présentés aujourd’hui, complètement différent des deux autres dans le fond (le thème) mais tout aussi intéressant et surtout magnifique à feuilleter. Publié pour la première fois au milieu des années 70, l’Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon revient sur un sujet assez polémique ces derniers mois et méritait donc une réédition pour l’occasion.

Déjà dans les années 70 on se questionnait sur des expressions comme « garçon manqué » et on se questionnait sur ses répercussions. Julie est une petite fille qui préfère courir à perdre haleine et faire du roller plutôt que porter une jolie robe et garder ses cheveux bien coiffés. Alors ses parents ne cessent de la gronder et de la traiter de « garçon manqué » ! Voilà donc qu’un matin, elle se réveille avec une ombre de garçon qui fait tout de travers… alors la petite fille est perdue, elle ne sait plus qui elle est, qui elle doit être… jusqu’au jour où elle rencontre un petit garçon « qui pleure comme une fille »…

Tout part d’une banale expression qu’on a tous utilisée au moins une fois dans notre vie, mais en fait, ça veut dire quoi ? Ça me fait penser à ce clip que j’ai découvert il y a quelques mois, produit par je ne sais plus quelle marque de protection féminine, qui revient justement sur les expressions « comme une fille » (« courir comme une fille », « nager comme une fille »…) perçues innocemment par des enfants et ensuite mises en scène par des adultes. C’est assez édifiant ! J’aime assez la conclusion de ce spot, comme j’aime celle de cet album que je vous invite à découvrir.

Encore une fois, les illustrations attirent l’œil et habillent merveilleusement le texte. Ici en noir et blanc avec juste quelques minuscules touches de rouge, je les trouve très fortes en émotions : les visages sont très expressifs.

Je suis vraiment heureuse que cet album introuvable ait été réédité, il est aussi beau sur le fond que dans la forme !
Lien : http://bazardelalitterature...
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Les Chatouilles

histoire sans paroles avec de jolis et efficaces dessins qui racontent la complicité coquine des enfants, que ceux qui n'ont jamais fait les clowns au lieu de faire la sieste...

l'art de présenter les chatouilles comme une douce occasion de faire connaissance de son corps et de celui de l'autre !



édité , réédité , encore et encore...il y a bien une raison ! Capucine (3 ans) adore ...moi aussi !
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L'imagier du Père Castor

Un grand classique qui a accompagné, et accompagne toujours, l'enfance de mes enfants.

Les tout petits pourront s'éveiller et enrichir leur vocabulaire grâce à la grande diversité de catégories proposées : vie quotidienne, meubles, vêtements, aliments, animaux, plantes, instruments de musique...

Plus tard ils sont accompagnés dans l'apprentissage de la lecture car sous chaque image on trouve le mot en écriture scripte et cursive, très utile pour réviser ses bases, et faire le lien entre l'écrit et l'oral.

Pour finir les dessins sont soignés et réalistes, ce qui en fait définitivement un excellent ouvrage.
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L'imagier du Père Castor

Une référence pour les petits, agréable à partager.

Un bémol, les pages sont un peu fragiles pour le laisser aux enfants.
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Ce que mangent les maîtresses

Quelle vie surprenante ont les maîtresses après que les enfants ne soient plus là pour les surveiller !!

Un livre plein d'humour servi par de superbes dessins.
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Liberté Nounours

Un petit garçon dont le jouet préféré est un nounours chéri..

Un album tendre et espiègle, entre identification au nounours (rapport à l'interdit, vie quotidienne, expériences et ressentis personnels), traits d'information scientifique et puissance magique et protectrice.

Avec des dessins délicats et expressifs.
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Mademoiselle zéro faute

Dans chaque classe il y a toujours LA ou LE premier, celui ou celle qui est trop fort en math ou en sport et ensuite il y a les autres !!

Ici, c'est Marjolaine qui est plutôt "nulle" en orthographe et qui rêve, pour plein de raisons, de devenir la preum's !

Ce petit roman est très agréable à lire. Les enfants se sentent forcément concernés et imaginent tout à fait les scènes.



Ma fille de 8 ans me l'a lu et nous avons beaucoup aimé. Alors voici un petit résumé de son ressenti :



"J'ai trouvé que ce livre était très bien ! Et c'est sûr qu'il ne faut jamais faire sa maline parcequ' on peut avoir des surprises ! J'étais bien contente de la fin."



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Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon

L’Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon est le premier livre pour enfant abordant la question d’identité de genre, il date de 1975. Julie n’est pas la petite fille « parfaite » que ses parents espéraient. Julie refuse de se coiffer, et fait toujours des bêtises. Ses parents lui répètent si souvent qu’elle est un garçon manqué, qu’un matin elle se réveille avec une ombre de garçon. La petite fille va alors douter de sa propre identité et chercher à se débarrasser de cette ombre.
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