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Critiques de Anne-Claude Brumont (18)
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Fleurs de peaux

Ce livre est une surprise. Il faut se laisser faire et rencontrer Rosa et Odile .

Rosa est une jeune tatoueuse professionnelle, c'est un personnage très touchant.

Odile est fantasque . C'est vers elle que Rosa va chercher du réconfort après une rupture très brutale d'avec son compagnon Artus .

Dans le désespoir elle va se raccrocher à Odile .

Ce roman est très théâtral. Beaucoup de sensibilité, de sensualité et d'amour dans ce court texte dont la chute est inattendue.

Tres bon moment de lecture que je vous recommande sans hésitation.



#Fleursdepeaux#NetgalleyFrance.

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Les papillons ne meurent pas en hiver

L'homme de sa vie, c'était Sylvain. Maintenant, c'est Tristan. Lorsque Vanessa a croisé Sylvain, qui, comme elle, aimait les papillons, elle a cru que ce serait pour toujours. Hélas, comme le dit la chanson, « la vie sépare ceux qui s'aiment » et Sylvain est mort sans connaître son fils. Vanessa élève seule ce petit garçon renfermé et taciturne, qui préfère la compagnie des héros de papier à celle des autres enfants.

Gériatre dans une maison de retraite, la mère est très occupée et, la plupart du temps, Tristan le passe à l'attendre. Alors, il s'invente des histoires.

Tous les chapitres du roman d'Anne-Claude Brumont ont pour titre le nom d'un des personnages, le plus souvent l'un des deux protagonistes, mais pas seulement. On croise aussi Bertrand, grand-mère, Sébastien, Marie.

Entre Vanessa et Tristan apparaît une ombre, celle de Sylvain qui reste perpétuellement en filigrane, car sa femme n'a jamais pu surmonter sa tragique disparition. Si, par extraordinaire, elle se sent vaguement attirée par un voisin, elle se morigène : « c'est n'importe quoi, elle est la femme d'un seul homme, la femme de Sylvain Maan, dont elle porte en permanence la chevalière en argent autour du cou. »

Ce disparu, elle l'idolâtre, au point de lui avoir élevé, dans un coin secret, un véritable sanctuaire et d'organiser, chaque année, une sorte de cérémonie de commémoration.

Tristan, qui n'a jamais connu ce père mort avant sa naissance, se pose de nombreuses questions. Si quelqu'un évoque leur ressemblance, l'enfant peut passer des heures à scruter la photo et son reflet, à comparer, à conclure que non , décidément, ils n'ont rien en commun.

Tristan est mutique, timide, différent. Ce sont les livres qui lui tiennent compagnie. A la récréation, il ne se mêle pas aux autres élèves qui, la plupart du temps se moquent, le houspillent. Il trouve refuge sous les branches du « feuillu majestueux », un saule pleureur, image de son état d'esprit. Il voudrait être invisible ou carrément ne pas être là. Chez lui, il se calfeutre dans sa chambre. « L'endroit ressemble à un cocon, Tristan aime y rester. Il pourrait ne jamais en sortir. »

Il ne faut pas croire pour autant qu'il est gentil. Au contraire, il peut se montrer très cruel. Jaloux de voir sa mère s'intéresser à un homme, il invente une histoire rocambolesque et perfide pour se débarrasser de ce rival.

L'auteure a très soigneusement choisi les noms qui sont très connotés. Lorsque Vanessa et Sylvain se sont rencontrés, ils ont immédiatement su qu'ils étaient faits l'un pour l'autre, unis par le même amour des lépidoptères qui leur ont offert leurs prénoms : « le Vanesse des chardons (…) porte la même robe orange et noire que vous. On l'appelle aussi Belle Dame » remarque le jeune homme. A quoi Vanessa rétorque : « Vous me faites penser au Sylvain dans votre costume noir et blanc. » Quoi d'étonnant, dès lors, que le fruit de leur amour soit « Tristan (…) un petit papillon brun des bois, avec sur les ailes des taches sombres et rondes qui ressemblent à des yeux. »

Son patronyme, « Maan » signifie « lune ». Comme elle, il sait se faire discret, disparaître, caché par les nuages. Il a une étrange manie (qui me donne des frissons) : angoissé, il mange ses cheveux.

L'élégante écriture d'Anne-Claude Brumont rend bien les sentiments, les émotions.

Toujours pressée, Vanessa s'annonce par le claquement de ses talons. La phrase se fait vive, sèche, incisive. Ainsi lorsque survient une panne d'ascenseur : « Brusquement, trois coups sourds comme avant une représentation, sitôt suivis de saccades brèves clac, clac, clac (…) Par réflexe, elle s'agrippe à l'inconnu, ses ongles se plantent dans l'avant-bras saillant. Contusion. Confusion. Onomatopées. » Au contraire, longue, elle se déroule avec chaleur quand Vanessa retrouve Tristan: « A l'instant où elle l'aperçoit debout sur le seuil, son enfant, son trésor inestimable qui illumine le papier peint du couloir, elle ressent toute la puissance de l'adoration. » Ou encore, elle traduit la complicité : « Dans la lumière rasante du soir, la mère et le fils font le chemin à pied jusqu'à la nouvelle école, une sorte de répétition avant le grand jour. »

De temps à autre, quelques passages de chansons soulignent le moment vécu tout en invitant le lecteur à fredonner.

La tonalité de ce roman est assez sombre, mélancolique. Des drames l'émaillent. On sent le cœur qui se serre. Parfois, on redoute le pire. Alors, on se rappelle le titre, première raison qui m'a attirée vers ce livre, car, moi aussi, j'adore les papillons. On se rassure en pensant que, même au cœur du froid, du chagrin, de l'angoisse, l'espoir luit, il n'est pas loin. Et si les papillons meurent bel et bien en hiver, au chaud dans leur cocon, des chrysalides attendent le printemps pour se métamorphoser et déployer leurs ailes irisées.

J'ai beaucoup aimé cette lecture.
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Les papillons ne meurent pas en hiver

Tristan a grandi sans père, avec une mère accablée de chagrin et accaparée par son travail, et au milieu des livres.

« Quand il ne lit pas, il est malheureux, il se sent comme entouré de murs plus hauts que le ciel. Il n’en laisse absolument rien paraître, le genre d’enfant lisse, qui ne se voit ni ne s’entend, ne donne aucun fil à retordre, ses résultats en classe sont corrects. Pourtant, chaque jour qu’il y passe est un calvaire. »

Le roman est très rythmé : par le croisement des points de vue de Tristan et Vanessa, sa mère, par le style d’écriture, et aussi par tous les personnages hauts en couleur.

C’est très émouvant, mais pas trop. C’est très bien écrit et construit. C’est un livre qui se lit d’une traite et se relit ensuite (avec ou plutôt sans l’épilogue superflu) , tout comme le premier roman d’Anne-Claude Brumont « une dernière fois encore ».
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Les papillons ne meurent pas en hiver

Fan, fan, fan.

De l'authenticité, de la poésie, de la musicalité même.

Et quelle cadence. Une histoire de vie qui tient en haleine, celle de Vanessa la mère et de Tristan, le fils. Deux êtres blessés, qui s'aiment mal. Deux personnages forts, attachants, ivres de vivre, tenaces, en quête d'un idéal de bonheur.

C'est triste et c'est drôle. c'est puissant sans être assourdissant.

Une fois encore (clin d'oeil à son premier roman), Anne Claude Brumont a su trouver les mots justes, acerbes, doux et aimants et m'a emporté.



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Fleurs de peaux

Un livre à fleur de peau au haut pouvoir évocateur amené avec justesse par son autrice, Anne-Claude Brumont, qui mélange fiction psychologique et poésie.

Cette dernière (la poésie), Rosa l'a dans la peau, je veux dire par là qu'elle l'a littéralement tatouée sur sa peau.

Elle est tatoueuse professionnelle et le livre démarre sur des notes incertaines, un drame semble se jouer : s'agit-il d'une rupture amicale, amoureuse ? Comment Rosa est-elle arrivée à de telles limites, "propulsée hors d'elle-même" comme elle le dit ? Son désespoir semble infini et le destin scellé.

Commencer par cette scène d'une grande théâtralité permet de mieux comprendre ce qui enflamme Rosa : un désespoir fou, inconsolable, une impossibilité à faire face à ses émotions, un esprit aux portes de la folie. La seule échappatoire semble alors la fuite…



Les chapitres suivants vont s'atteler à décortiquer les faits qui amènent à cette scène d'ouverture.

Rosa est une personnalité sur le fil qui a du mal à gérer ses relations aux autres : passion, amour, amitié… Elle passe d'un attachement trop profond à l'autre, comme si elle voulait compenser (sans que ça ne soit vraiment possible, on a l'impression de strates de meurtrissures qui n'en finissent plus de la blesser jusqu'à la pousser en dehors d'elle-même).
Comment se préserve-t-on d'une rupture - fut elle amicale, amoureuse et plus - lorsqu'on est hypersensible depuis toujours ?

C'est un très joli texte, à la plume sensuelle et élégante, s'il se lit vite, il laisse comme une trace (un filigrane de tatouage, d'autant qu'il est écrit à la première personne) et ne vous laissera certainement pas indifférent (avec notamment une chute inattendue…).
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Les papillons ne meurent pas en hiver

Très beau roman d’Anne-Claude Brumont sur le thème du deuil et de la monoparentalité. Les personnages sont attachants, les tournures de phrases sont habiles et nous transportent tout entier dans l’histoire de cette mère et son fils. Je recommande vivement cet ouvrage.
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Fleurs de peaux

ce livre est un coup de cœur de cette année, j'ai été agréablement surpris par la gentillesse de cette auteure et je l'avoue, j'ai adoré ca rencontre en dédicace . ce livre est d'une beauté et d'une douceur et pourtant le sujet parle d'une séparation et de comment gérer cette période que tous le monde connais dans sa vie , ce livre raconte aussi une rencontre qui bouleverse l'héroïne de ce livre . ce livre est top, il est d'une écriture d'une grande beauté et d'une facilité de lecture que j'y ai plongé dedans juste après ma sortie de la dédicace . ce livre est idéale aux lecteurs tous les niveaux et vous serez transporter grâce a l'histoire et aux personnages qui sont super attachant . je conseille ce livre a 200 pour 100 . bonne lecture les amis
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Les papillons ne meurent pas en hiver

Touchant et bouleversant, J’ ai vraiment aimé cette histoire à propos du traumatisme suite à un deuil .

La réaction émotionnelle et affective de Vanessa et Tristan, mère et fils, personnages principaux est fort bien décrite et sans pathos.

J ai trouvé l’histoire bien ficelée et on se surprend à la lire très vite car on souhaite que Vanessa finisse par accepter le depart de son compagnon et

qu’elle puisse réapprendre à profiter du bonheur .

Par ailleurs, l’épilogue m’a surpris et ne me semble pas nécessaire.

J’aurais préféré

qu’on me laisse imaginer une fin heureuse ou pas.

Je pense que l’auteur pourrait vraiment écrire une suite à cette histoire et pourquoi pas, une adaptation à la télévision .

Je conseille cette lecture, même si le thème n’est pas réjouissant, ça se lit sans larmes !
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Les papillons ne meurent pas en hiver

Un livre qui mérite entièrement son titre et sa référence au papillon, tant il est à la fois léger et dense, subtil et percutant, fragile et fort.

On s'attache aux personnages avec l'impression de les connaître déjà, comme des amis que l'on retrouve.

L'écriture est accessible et exigeante. Le talent d'Anne Claude Brumont a éclos depuis "Une Derniere fois, encore". Il se confirme et s'envole avec ce livre que je recommande, quelle que soit la saison : celle au cours de laquelle les papillons ne meurent pas et toutes les autres.
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Les papillons ne meurent pas en hiver

Vanessa et Tristan (son fils) tentent de vivre... et ce n’est pas simple. Trop de non dits entre eux. Le mari de Vanessa est mort avant la naissance de leur fils. Difficile de créer des liens dans ces conditions.

Nous suivons, tour à tour, les points de vue de Tristan et Vanessa. Tristan souhaite que sa mère soit heureuse et Vanessa souhaite être heureuse... finalement Tristan est oublié.

Contrairement à toutes les critiques précédentes je n’ai pas été convaincue par l’écriture. Beaucoup de passages peu crédibles et les dialogues ne passent pas. Des situations ou des personnages arrivent comme un cheveu sur la soupe.

En effet, la lecture est rapide mais seulement parce que l’on cherche à passer certains détails qui ne servent pas l’histoire qui aurait pu être intéressante. Le personnage de Tristan est le plus attachant.

Malheureusement, je n’y ai pas trouvé mon compte.

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Les papillons ne meurent pas en hiver

Coucou mes papillons livresques 🦋



Lecture terminée ✅🦋



Résumé 🦋



Vanessa a perdu son mari lépidoptériste, et vit dans ses souvenirs hantés. A cent à l'heure. Son enfant s'élève dans l'enfer de la solitude. Comment vivre avec cette part manquante ? Jusqu'où peut-on aller par amour ? Un second roman aussi sincère que bouleversant, dans lequel Anne-Claude Brumont évoque le deuil, et La monoparentalité : il n'y a pas plus ordinaire qu'une famille hors norme. Un hommage aux mères célibataires, leur force, leur courage, leur combat contre La fatalité, La culpabilité, l'épuisement.



Mon avis 🦋



À peine reçu que dans l’heure je l’ai commencé et puis pu lâcher jusqu’au dernier mot.



C’est une véritable belle histoire entre mère et fils.

Pour la mère c’est de faire le deuil de son mari parti trop tôt, ce refusant l’amour à nouveau. Ce qui lui permet d’être debout ce sont son fils et son travail.



Pour l’enfant c’est le mal être que lui transmets sa mère avec les non-dits et son absence.



Dans tout ce petit monde il y a la beauté des papillons qui vont survolent leurs vies et leurs permettent de retrouver leurs chemins.



Ce n’est pas évident pour une maman de supporter seule autant sur ses épaules heureusement qu’elle peut compter sur l’aide de sa maman.



Je l’ai lu tellement vite, il est addictif, surprenant et poétique à la fois.



J’ai adoré un grand merci @anne_claude_brumont_auteure pour ce bon moment de lecture.

Un roman écrit avec beaucoup de finesse et de poésie.

Ainsi que de sensibilité et nous permet de comprendre des choses sur l’amour d’une famille monoparentale. Je vous le conseille vivement ++++🥰🦋
Lien : https://instagram.com/pleins..
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Une dernière fois, encore

bonjour les amis , l'alcoolisme est un sujet plutôt tabou dans nos vies et encore plus si c'est dans le cadre d'un couple . l'héroïne de ce livre est dans ce cas la , elle ne reconnais pas son problème . ce livre est du beauté a lire car les personnages sont attachants et l'histoire est prenante et elle se lis super bien . je recommande vivement ce livre car il raconte un moments de vie . bonne lecture les amis
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Les papillons ne meurent pas en hiver

J’ai bien aimé ce roman, qui se lit facilement, où l’écriture de l’auteure est agréable à lire, fluide et recherchée. En effet, les mots sont bien choisis et placés au bon moment, c’est tout à fait limpide. Malgré la délicatesse du sujet, l’auteure nous conte une belle histoire pleine d’émotions à travers des personnages forts et authentiques. Cependant, j’aurai aimé qu’il y ait plus de détails à certains moments et que le sujet soit plus approfondi. Je l’ai lu en quelques heures, quasiment d’une traite, j’ai adhéré au style d’Anne-Claude Brumont, elle arrive à capter l’attention de ses lecteurs avec brio et ainsi les transporter dans une histoire riche de sens, qui même peut faire écho en eux. Merci pour ce très bon moment !
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Une dernière fois, encore

Roman bouleversant, haletant.

Pulsion de vie versus pulsion de mort.

On sort de la lecture le regard changé.

Je recommande Une dernière fois, encore.

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Une dernière fois, encore

Un récit de vie, un périple à la reconquête de soi. Le sujet pourrait laisser à penser que le glauque le disputera au pathos : pas du tout. Beaucoup de poésie, beaucoup d'humour et une grande sincérité. De l'émotion pure. Impressionnant pour un premier roman!
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Fleurs de peaux

Je tiens à sigaler que ce livre est une embuscade, oui. Sans vous y attendre vous n'aurez d'autres choix que d'accepter un point de vue, une histoire, un personnage, et tout n'est pas ce qu'il semble être. Vous serez pris par surprise, et la poésie d'Anne-Claude vous aura bien berné, en vous menant doucement mais surement vers une fin d'où on ne ressort pas exactement le/la même.

Bravo
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Fleurs de peaux

Une jolie plume, élégante, poétique, sensible qui sait émouvoir !

Des personnages très incarnés, Rosa touchante, Odile truculente...

Un texte résistant, surprenant et quelle chute !

Des thèmes dans l'air du temps, j'ai beaucoup appris sur le tatouage !

J'ai savouré avec un grand plaisir ce troisième roman de l'auteure.

Un très bon texte que je vous recommande !
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Les papillons ne meurent pas en hiver

Vanessa, travaille en tant que medecin geriatre à Occurens et élève seule son fils Tristan, qui a 10 ans, depuis la mort de son mari Sylvain.

C'est un roman choral avec le point de vue des plusieurs personnages alternés, celui de Vanessa (sa mère), sa grand mère,  Tristan, Marie, Sébastien et Bertrand.

La partie de narration de Tristan, montre une certaine jalousie à l'égard des personnes ou choses comme le travail, qui éloigne sa mère de lui, car elle est son seul répère.

Tristan va raconter des mensonges énormes, ce qui va engendrer beaucoup de problèmes pour sa mère et lui donner.  envie de déménager à Occurents. De plus, il a une amie imaginaire Mila.

Son père Sylvain, était atteint d'un cancer, il s'est donner la mort, quand Vanessa était enceinte.

On parle de certains sujets forts dans ce roman : le suicide, le harcèlement scolaire, les drames de la vie et ses épreuves, le deuil, la quête d'identité, l'amour...

Ce roman est un récit de vie, la première fois que je lis ce style littéraire, de plus il est quasiment uniquement narratif et avec un vocabulaire un peu plus élaboré. Un roman chorale, plus que poignant, avec des émotions fortes, où l'on a beaucoup de métaphores en lien avec le titre et donc les papillons,  mais aussi de l'amour, avec cette relation mère fils pas si simple , mais belle.

On a l'impression d'être immergé dans l'histoire et de vivre les émotions avec les personnages et en même temps être spectateurs, c'est assez perturbant, mais intrigant.

Les drames ce succèdent, mais on nous montre que le bonheur peut repointer le bout de son nez, malgré les épreuves de la vie. La fin est d'un suspense incommensurable.

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