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Critiques de Annie Convert (31)
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1942, à nos identités perdues

Je remercie Librinova pour l'envoi, via net galley, du roman : 1942, à nos identités perdues de Annie Convert.

Bordeaux 1942.

En acceptant de soigner des résistants, Lison, jeune infirmière, met le doigt dans un engrenage infernal.

Dénoncée, elle doit fuir, quitter la ville pour se réfugier auprès du maquis corrézien.

Comment va-t-elle s'adapter à sa nouvelle vie de guerrière ?

Comment survivre dans le froid, la crasse, la peur en étant traquée le ventre toujours vide ?

1942, à nos identités perdues est un roman, toutefois il est inspiré de faits réels. Ce qui se sent dans le travail de recherche et dans la retranscription le plus fidèle possible de ce qui se passait pendant la seconde guerre mondiale dans la résistance, dans les maquis.

Lison est attachante et j'ai pris plaisir à découvrir son travail d'infirmière, son implication dans la résistance et sa fuite. Elle va avoir un coup de cœur pour Vianney, un médecin croyant qui hésite entre la médecine et devenir curé.

C'est une jolie histoire d'amour, malgré la complexité de l'époque et l'engagement de cet homme envers Dieu. Un Dieu auquel Lison ne croit pas réellement.. Si Dieu existe pourquoi permet t'il de tels horreurs ?

Lison va devoir prendre plusieurs identités, au risque de se perdre. Elle n'est pourtant pas juive mais à cause de son engagement dans la résistance, elle risque d'être arrêter voir de perdre la vie.

Il y a de très bonnes choses dans ce roman que j'ai pris plaisir à lire en deux fois. Je pense qu'il montre bien la résistance, la vraie, autant au niveau des risques encourus que des conditions de vie lors des fuites. C'est pas mal du tout et j'ai passé un bon moment de lecture.

Pas de coup de cœur néanmoins j'ai apprécié ce roman, et je lui donne quatre étoiles.

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De t'avoir trop aimé

Depuis des décennies, la violence conjugale envers les femmes se répand dans le monde entier. Un acte honteux qui suscite la révolte, exige une condamnation.

Les médias, les documentaires et les livres révèlent les témoignages de femmes sous l'influence d'hommes violents. Les agressions physiques et mentales qu'elles endurent sont une atteinte à leur identité et à leur dignité.

Dans son nouveau roman , de t'avoir trop aimé, Annie Convert raconte une histoire d'amour fusionnelle qui prendra l'ampleur d'un drame.

Tout a commencé le 12 juillet 1998, lors d'une soirée entre étudiants en médecine , pour la finale de la coupe du monde de football. Dans l'agitation de ce bain de foule, Mélanie rencontre Paul, un jeune universitaire en pédiatrie. Elle tombe sous le charme de son sourire carnassier et plonge dans un tourbillon d'émotions. Tout devient flou dans son esprit.

Ils se rencontrent brièvement entourés de leurs amis communs, Maxime et Sandra, un couple en parfaite harmonie.

Afin de devenir sage-femme, Mélanie travaille pour poursuivre ses études et partage le logement avec Sandra. Ces connaissances la définissent comme une femme autonome, ambitieuse et joyeuse.

La cohabitation avec son amie arrive à son terme. En octobre, Paul cohabite avec Mélanie. Leur relation s'annonce intense, et des projets d'avenir prennent forme. Ils sont jeunes, beaux et intelligents, un couple idyllique en somme.

Des signes avant-coureurs du comportement contradictoire de Paul apparaissent. Tantôt attentionné, tantôt colérique. L'amour fou que prête Mélanie à Paul pardonne ce déséquilibre. Je flaire le danger la concernant. Elle est sous l'emprise d'un homme irascible et brutal sans prise de conscience. À trop aimer, Mélanie rejette une évidence.

Ils se marient le 6 mai 2000 pour le meilleur et le pire, en l'absence des parents respectifs. Quelques membres de la famille, des amis pour honorer l'événement. Un mariage célébré dans la plus stricte intimité. Mélanie baigne dans une certaine euphorie.

Le bonheur se transforme en horreur... La jalousie, le harcèlement moral, l'explosion des violences physiques et sexuelles occupent une position dominante dans leur vie conjugale et causent des dommages psychologiques à Mélanie. Elle vit dans le déni de la réalité, dans le mutisme total, refusant tout soutien amical. Porter plainte lui est inconcevable. Je suis sidéré et attristé par tant d'amour.

Annie Convert démontre que Paul est incapable de gérer ses émotions. Ces accès de colère sont terribles. D'une plume fluide, l'auteure détaille tous les attraits de sa personnalité en comparaison avec sa femme sous dépendance affective. Elle développe également leur passé , leur vie sociale et affective pour que l'on comprenne certains points .

Devenu époux, Paul dévoile un caractère dominant, manipulateur et pervers. Devenu père de deux enfants, il sème la terreur dans son foyer, devant une épouse traumatisée . Certains passages sont choquants. le récit est glaçant !

Derrière chaque chapitre , j'assiste à des conflits toxiques et violents permanents . le témoignage de parents ou d'amis à la fin de chaque chapitre annonce un changement dramatique... Une lecture bouleversante sur les violences domestiques.

De t'avoir trop aimé est un roman fiction , qui pourrait devenir une réalité. Un livre à lire, et à partager avec votre entourage. Il a voyagé au Liban , j'espère qu'il pourra parcourir le monde. Nous sommes tous concernés.



Vous l'avez déjà lu ?




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Concerto pour le bonheur

Après la lecture De t’avoir trop aimé par Annie Convert, un livre contemporain sur les violences conjugales. J’ai lu Concerto pour le bonheur, une romance pétillante et légère qui mêle aussi subtilement le drame.



Anna, 21 ans, suit des cours de droit à l’université pour gagner son indépendance et s’évader de son environnement familial plutôt précaire. En effet, elle réside avec sa maman et son frère Nathan, et sa vie serait ennuyeuse si Emma, sa meilleure amie, n’était pas à ses côtés pour participer aux fêtes et partager des moments heureux. Cette jeune fille est assez timide et réservée, et sa vulnérabilité est touchante. Vivre dans un appartement modeste avec des ressources financières en dessous de la moyenne complique le quotidien et le comportement d’Anna. Il y a certains traits dans sa personnalité qui allient à la fois peur et courage. Elle est souvent contrariée et angoisse des commérages et du jugement des autres. La plupart viennent de familles aisées, ce qui contraint Anna à la solitude et embrouille ses relations amoureuses. Et pourtant elle s'éprend de Fabien et accepte de vivre avec lui un lien intime et fougueux, découvrant des sentiments nouveaux et intenses, ses premières émotions et l’envie d’être simplement heureuse,et d’oublier les séquelles et les impressions de sa mère. Elles ne semblent pas être en bonne harmonie et on perçoit des non-dits qui perturbent la communication entre elles. Seul le petit Nathan apporte un peu de réconfort à Anna dans cette triste maison.



Un jour l’inimaginable se produisit, Anna se sent trahie par sa mère alors elle s’enfuit pour s’éloigner de ses souvenirs, de ses blessures, et malgré son attachement à Fabien.



Avec l’aide de deux jeunes filles qu’elle croise à la gare, Anna voyage vers une destination inconnue, loin de sa famille. C’est comme si leur rencontre était un signe du destin, car l’existence d’Anna, jusque-là un réel plutôt monotone, sera bouleversée par bien des événements. Elle choisit de changer de vie, met de côté ses études de droit et se consacre à la musique, qui a toujours été sa passion.



Depuis sa plus tendre enfance, le piano lui donnait des espoirs, des quêtes et la foi en l’avenir. Elle décide de prendre les choses en main et de concrétiser un rêve depuis longtemps enfoui. Anna nous décrit ses désirs et ses émotions à travers les notes de son art musical, créant une belle harmonie entre elle et le lecteur et tous les personnages éblouis de tant de subtilité et de perfection.



Annie Convert mène la danse avec une histoire colorée et animée accompagnée de protagonistes jeunes, enthousiastes et dynamiques qui aspirent à l’amour, à l’amitié et à un avenir meilleur. Elle nous trace le destin d’Anna, qui semble semé d’embûches et de malheurs, mais aussi de plein d’affection et de générosité. Cependant, cette fille courageuse et responsable présente divers troubles qui détruisent son existence, la peur, en particulier, l’empêche d’assumer ses choix de vie. Elle est paralysée par son passé et ses tourments, et on perçoit à quel point elle est fragilisée. Il y aura de multiples rencontres sur son chemin, mais surtout une relation fusionnelle. Jordan sera son pilier et son soutien, il lui apportera confort et équilibre dans ses décisions et ses nombreux engagements futurs.



L’auteure nous décrit une belle histoire d’amour basée sur le respect et la communication, mais elle n’oublie pas les aléas de la vie synonyme de brisement, de douleur et de colère. Malgré plus de 400 pages, c’est une romance facile à lire, teintée de rebondissements, le tout dans un rythme musical tout doux. De plus, Annie Convert allie résilience et pardon avec beaucoup de tact et de sagesse.



Un récit tendre et émouvant tout comme le personnage d’Anna.



Avez-vous aimé le personnage de votre dernière lecture?
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De t'avoir trop aimé

Je remercie énormément Mathieu de Librinova pour l'envoi, en service presse, du dernier roman d'Annie Convert : De t'avoir trop aimé.

Lorsque Mélanie rencontre Paul, c'est le coup de foudre immédiat. « Ses yeux noirs, ses cheveux bouclés, son sourire carnassier… » Comment résister ?

Deux ans plus tard, ils convolent en justes noces.

Mais une ombre à ce bonheur se profile : brillant pédiatre le jour, Paul se révèle taciturne, coléreux voire pire encore…

Mélanie encaisse, vivant comme une équilibriste, tentant de ne pas franchir la ligne qui la conduira à la violence de son mari.

Et bien sûr, à l'entendre, Mélanie est toujours en faute…

Combien de temps tiendra-t-elle ?

Quelle sera l'issue de leur relation ?

Mais surtout, peut-on encore parler d'amour lorsque les coups pleuvent ?

De t'avoir trop aimé est un magnifique roman, poignant, touchant, important, traitant de la violence conjugale.

Il y a deux mois, j'avais été bouleversé par Les heures bleues d'Alphonsine qui traite de ce sujet avec beaucoup de pudeur et de réalisme.

De t'avoir trop aimé traite du même sujet, avec beaucoup de pertinence. Là encore l'homme qui frappe est un médecin, issu de la bonne société et bien sous tous rapports. Et pourtant... si les gens savaient !!!

Mais, qui pourrait imaginer une telle violence en Paul ? Qui pourrait envisager un seul instant qu'une fois les portes fermées il puisse se défouler sur son épouse, quitte à l'envoyer à l’hôpital ? Elle est vraiment maladroite Mel, elle tombe souvent...

Même si ce roman traite lui aussi de la violence conjugale il m'a autant captivé que Les heures bleues et je trouve ces deux romans complémentaires. Ils montrent bien que la violence se cache partout y compris chez les gens riches.

Mélanie est une femme touchante, qui pardonne tout. Cela est incompréhensible mais elle est amoureuse, tout simplement. Et puis, Paul est violent avec elle certes mais pas vis à vis des enfants alors quoi qu'il fasse elle lui pardonne.

Son comportement fera bondir de nombreuses femmes mais je la comprend.

J'ai parfois eu envie de la secouer mais j'ai ressenti énormément d'empathie vis à vis de cette femme maltraitée.

Les larmes me sont montées aux yeux à de nombreuses reprises car certains passages sont assez durs.

Nous découvrons la vie de Mélanie et Paul à partir de leur rencontre, par ordre chronologique. Nous comprenons par des témoignages datant de 2017 que quelque chose se trame.. Mais quoi ?

J'avoue ne pas avoir deviné la fin. Il faut dire que malheureusement dans ce genre de violence il peut y en avoir plusieurs et souvent peu réjouissantes.

Parfois Mélanie pensait mourir sous les coups.. Est ce que ce sera le cas ? Ou est ce que tout cela se terminera tout autrement ?

Pour le savoir il faudra lire ce roman, évidemment.

J 'avais beaucoup aimé le précédent roman d'Annie Convert : 1942, à nos identités perdues et je ne regrette pas du tout d'avoir eu la chance de pouvoir découvrir De t'avoir trop aimé. L'écriture fait mouche, c'est pertinent. Cela fait froid dans le dos mais c'est nécessaire vu le nombre de femmes qui meurent sous les coups de leurs conjoints chaque année.

Ma note : un énorme cinq étoiles.
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1942, à nos identités perdues

Il y a des livres qui méritent d'être mis beaucoup plus en lumière, des livres dont on devrait entendre parler et qui pourtant restent dans l'ombre. Celui-ci est fait partie.

Il n'y a pas un seul moment où je n'ai été émue, chamboulée, où je n'ai pas versé une larme.

On suit Lison, alias Louise, Claire, Emma,.... jeune infirmière qui finira par être recherchée, traquée par la gestapo.

Cette femme forte, courageuse, déterminée risquera sa vie, comme tant d'autres, pour sauver celle de tant de gens.

Absolument tout les protagonistes ayant contribué de près ou de loin de façon positive à cette horrible guerre sont extrêmement attachants.

J'ai beaucoup aimé que les femmes soient mises en avant dans l'histoire de la résistance.

Une histoire à lire, à faire lire pour ne jamais oublier que beaucoup se sont sacrifiés, on risqués leurs vie pour notre liberté.

Un livre très bien documenté.
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1942, à nos identités perdues

Tout d'abord je tiens à remercier Annie pour m'avoir confié son roman afin d'en avoir mon avis. J'ai été très touchée par son geste et nos premiers échanges. Étant moi-même de formation littéraire et historique, il est évident que ce texte, incroyablement bien documenté et dans lequel on sent toute l'implication personnelle de l'auteur s'appuyant sur des faits réels et l'histoire de son papa, a su me convaincre.

Grâce à une plume accessible, sans user de fioritures inutiles ou du style quelque peu pompeux souvent coutumier des romans historiques, elle nous plonge au cœur même de son récit bourré d'action et d'émotions, très bien écrit au demeurant. J'en ai encore le cœur palpitant d'effroi, d'angoisse, et d'amour... Elle utilise à merveille toutes les mécaniques littéraires adéquates pour rendre son histoire la plus immersive possible ; un récit linéaire avec indications temporelles tel un journal des faits en incluant en italique les instantanés des pensées de son héroïne qui nous parle à la première personne avec un naturel exquis. C'est fort et vrai, tellement authentique ! Plus qu'un roman, on y découvre un véritable témoignage d'une période historique qu'on se doit tous de connaître, et surtout de ne jamais oublier...

On vibre avec Lison, à l'unisson de ses peurs, ses tourments, ses démons et de ses propres sentiments. Contrainte de survivre, de tout faire pour sortir de cette guerre, on vit l'époque avec elle, les émotions nous transcendent, les faits nous frappent de plein fouet. La violence, les détails de chaque opération, de chaque nouvel événement de cette guerre sordide nous arrivent en pleine face pour nous montrer à quel point cela a dû être terrible pour nos aînés.

Elle nous offre un constat criant de vérité et des connaissances précises, d'une justesse absolue sur ce qu'a été la Résistance, vue de l'intérieur, sans jamais en rajouter et sans rien inventer pour nous livrer une histoire dans l'Histoire la plus fidèle et réaliste possible. Les personnages sont délicieux, crédibles à souhait, tantôt attachants tantôt détestables pour nous remuer encore plus. Annie est une conteuse née et elle manie la plume avec un talent certain pour nous faire transpirer aux côtés de ses protagonistes.

Et alors... j'ai adoré ce tumulte émotionnel, cette capacité à mettre autant d'amour que d'horreur dans un récit si fidèle, empli de véracité et de profondeur...

Rien que pour le devoir de mémoire, je le qualifierais de chef-d'œuvre et je vous invite tous à le découvrir.

Le seul tout petit bémol de ce roman autoédité concerne quelques coquilles qui parsèment encore le texte, quelques maladresses stylistiques (répétitions etc...) qui somme toute ne sont rien si on se targue à garder une vision holistique de ce livre poignant.

J'en suis encore toute retournée tant j'ai adoré suivre l'épopée de Lison... Héroïne charmante, intelligente, débrouillarde, prête à tout pour sauver sa peau et celle des autres. Son béguin pour le beau médecin nous émeut, sa façon si spontanée de nous livrer ses ressentis et sa manière de vaincre le pire en espérant toujours le meilleur nous touchent. Cette dichotomie vie/mort m'a véritablement transpercée. Les valeurs morales, l'amitié, l'amour, l'entraide et la survie coûte que coûte, sont exploités avec une analyse et une acuité conquérantes.

J'ai tout bonnement adoré ma lecture et en garderai une empreinte prégnante pendant longtemps, c'est incontestable. Ce livre est une fabuleuse découverte.
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1942, à nos identités perdues

J'ai apprécié l'histoire , mais j'ai trouvé dommage qu'il y ait tant de mauvais choix dans l'emploi des temps de conjugaison, et que des fautes diverses n'aient pas été corrigées.Dommage.
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1942, à nos identités perdues

J'ai beaucoup apprécié ce roman qui relate le destin de Lison, une jeune infirmière admirable, qui se bat courageusement aux côtés de la résistance française pendant la guerre. Un magnifique témoignage remarquablement bien documenté, pour ne jamais oublier. Des personnages très attachants, que l'on a du mal à quitter en refermant le livre. Un histoire émouvante et rythmée, qui nous emporte dans cette terrible période.
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1942, à nos identités perdues

« 1942, à nos identités perdues »

Quel témoignage, quel roman… un coup de coeur !

Un roman basé sur des faits réels où l’auteure nous fait vivre les tourments de la guerre.

Lison nous livre son journal intime, sa vie d’infirmière.

Cette jeune femme nous emmène à Bordeaux en 1942, elle est infirmière et s’engage de soigner des résistants… dénoncée, elle doit fuir, fuir les Allemands !

Son engagement va la conduire dans une guerre où tuer est sa survie et celle des autres… Se cacher, fuir, changer d’identité pour éviter d’être reconnue, nous vibrons à ses côtés ! « Comment survivre dans le froid, la crasse, la peur en étant traquée le ventre toujours vide ? »

Les personnages qui l’entourent sont tellement bien décrits que je pouvais les voir, les traits de chacun m’ont ému, m’ont emmené dans un tourbillon d’émotion dur et émouvant.

Des heureuses parenthèses s’ouvrent pour découvrir l’amour, l’amitié !

Ce roman devrait se trouver dans toutes les bibliothèques, afin de ne jamais oublier ceux qui se sont battus pour la France.

Merci Annie Convert pour ton roman, j’ai aimé « ta note » en fin de roman, l’hommage à ton père est bouleversant !

Ta plume est fluide, sensible, sans de fioritures inutiles, elle est vraie !

Aujourd’hui, la liberté que nous avons, nous la devons à tous ces résistants (femmes/hommes) qui ont risqué leur vie pour sauver la nôtre !

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1942, à nos identités perdues

Appréciant les romans dont l'intrigue se déroule pendant la seconde guerre mondiale, c'est tout naturellement que j'ai voulu découvrir 1942, à nos identités perdus.

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Annie convert a axé son récit sur la résistance. On y suit Lison, jeune infirmière, qui aide à soigner les résistants cachés au sous sol de l'hôpital bordelais où elle travaille. Malheureusement elle sera dénoncée par une collègue. Par d'autres choix pour la jeune femme que de fuir, direction le maquis correzien où elle continuera à œuvrer pour la résistance.

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C'est le personnage de Lison qui fait office de narratrice. J'ai beaucoup apprécié ce choix, il m'a permis je pense de m'immerger davantage dans le récit et de le rendre plus vivant.

Je ne suis aucunement historienne mais je pense que la résistance est très bien abordée par l'autrice, j'ai trouvé le récit assez riche ce qui n'empêche pas de le lire d'une traite.

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Annie Convert, via ce livre, souhaitait rendre hommage à son père aujourd'hui décédé et qui avait œuvré pour la résistance. Pari réussi pour moi. J'ai beaucoup apprécié cette lecture de par la plume de l'auteur et de par les personnages qui m'ont séduits. Une belle découverte que je ne peux que recommander.
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1942, à nos identités perdues

J'ai lu quelques romans sur la seconde guerre mondiale et la résistance et j'ai retrouvé l'ambiance et les atrocités dans 1942, à nos identités perdues. Le roman est plaisant à lire et je suis facilement rentrée dans l'histoire. Il y a quelques coquilles qui peuvent distraire. Cependant, l'histoire est plaisante avec une romance et des combats qui vont crescendo.
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Concerto pour le bonheur

Bonjour mes amis!

Je viens vous parler d'un excellent roman, d'un très bon auteur!

TITRE : Concerto pour le bonheur!

AUTEUR : Annie Convert

Editions Librinova

Je remercie l'auteur de m'avoir envoyé son dernier livre, et de me faire confiance!

Anna, étudiante, se retrouve de nouveau face à Fabien, pour qui elle craque lors de la rentrée scolaire! Fabien craque aussi pour elle, mais étant de deux mondes différents, Anna se demande si c'est raisonnable de sortir avec ce garçon, d'ailleurs la mère d'Anna la met en garde!

S'ensuit une relation torride, est ce l'amour? Ou autre chose! Poua Anna c'est un conte de fées, Fabien c'est son prince, de plus il veut qu'elle connaisse se famille, tout va bien, et là patatras! Une trahison de sa mère!

Les larmes aux yeux Anna s'enfuit, plaquant tout! Ne sachant où aller!

Mais le destin veille, Anna fait connaissance de Tara et Marissa qui deviendront sa famille, ses amies!

Anna ne regrette pas cette fuite, mais il faut trouvre du travail!

Quant le hasard met un piano, devant Anna, celle ci ne peux s'empêcher de toucher le clavier, et de jouer La marche turque, les yeux fermés, elle se laisse envoutée, ses doigts volent au dessus du clavier! Silence!

Des applaudissements résonnent dès le dernier accord! Surprise et étonnée, elle ne sait que dire!

De fil en aiguille, Anna devient une grande pianiste, et surtout elle qui ne voulait plus tomber amoureuse, après Fabien, tombe sous le charme de Jordan! Coup de foudre! Comment est ce possible! Mais le dieu des amoureux veille, et la flèche est bien plantée!

Que c'est bon de lire un livre romantique, avec pour cadre l'amitié, la vraie, l'amour, le vrai, qui résiste aux trahisons, aux embûches, que la vie ne manquent pas de mettre sur notre chemin!

Oui j'ai eu des larmes à la fin de cet excellent roman, car l'auteur a su me faire ressentir ses émotions, à travers sa plume, que j'avais déjà apprécié, lors de son livre 1942!

J'ai adoré le personnage D'Anna, fragile, mais forte, et Jordan la tête sur les épaules, réfléchit, qui sait comment prendre et enseigner aux enfants défavorisés, comme Anna! Deux êtres fait l'un pour l'autre, en osmoses, un amour pas commun!

Je vous conseille de lire ce roman, qui vous montre que l'amour et l'amitié existent, et que parfois c'est tout près de nous!

Votre Martine












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1942, à nos identités perdues

Merci à Librinova et à NetGalley pour ce roman qui a suscité ma curiosité. Passionnée par la Seconde Guerre mondiale, ce roman a la particularité d'être lu comme le journal intime de Lison, une jeune infirmière dont le destin va être chamboulé et qui sera contrainte de rejoindre le maquis. Traquée, elle va rejoindre la Résistance de très près et va également trouver l'amour, un amour difficile en temps de guerre et dont la religion pourrait être un obstacle… Pas de coup de cœur cette fois-ci mais je ne peux que remercier l'auteur pour cet incroyable travail de recherches aussi précis et détaillé.



Bordeaux, mai 1942.



Lison est une jeune infirmière et soigne également des résistants dans le sous-sol de l'hôpital. Dénoncée, elle a juste le temps de prendre la fuite avant que la Gestapo ne se lance à ses trousses. Obligée de se cachée, Lison change d'identité et passe de maquis en maquis, de groupe de résistants en groupe de résistants. Ses compétences médicales seront précieuses à ceux qu'elle pourra sauver, de même elle participera aux diverses missions de résistance prête à tout pour la liberté de son pays… Après de douloureuses épreuves, Lison trouve l'amour auprès de Vianney, un aumônier, résistant de la première heure. Un amour non sans conséquences…



Après avoir vu la cruauté humaine, Lison arrive enfin à rejoindre le maquis corrézien où elle suivra un entraînement militaire pour participer à des missions de plus en plus périlleuses non sans oublier son but : se venger de celle qui l'a dénoncé et qui a tué nombre de ses proches et amis.



Je suis assez partagée concernant ma lecture que j'ai lue en à peine quelques heures. L'histoire en elle-même est très riche en informations sur le quotidien de Lison et de la Résistance. Il est indéniable que tout le contexte historique est finement détaillé, c'est la plus grande richesse de ce roman basé sur des faits réels. La religion a une part importante sans pour autant prendre la place sur l'histoire en elle-même.



Il y a de l'émotion de par les épreuves que va endurer Lison, les horreurs de la guerre (viol, déportation, conditions de la femme à cette époque, exécutions…) comme les drames de Tulles ou d'Oradour-sur-Glane, les prises d'otage… On voit la Résistance de l'intérieur et également les représailles que ce soit sur les prisonniers ou les habitants (femmes et enfants compris). Annie Convert aborde tous les sujets connus comme méconnus notamment les passeurs qui faisaient passer les personnes en Espagne…



Le reproche que je fais est que cette histoire mériterait d'être retravaillée en profondeur, les fautes d'orthographe, les problèmes d'accords, les phrases inutiles ou longues ne permettent pas le coup de coeur que j'aurai pu avoir et c'est dommage car cette histoire m'a profondément touchée et est un bel hommage à son père, résistant lui aussi. Un récit aussi vrai, aussi intime, projetant le lecteur au coeur de la Résistance et des maquis est rare. La matière est là, il ne manque que les finitions pour mériter une belle mise en lumière !



Une mise en avant des femmes qui ont résisté et qui n'ont pas connu la reconnaissance qu'elles auraient méritées !



Un récit au contexte historique maîtrisé qui mériterait d'être pris par une maison d'édition pour être retravaillé !




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1942, à nos identités perdues

Chers amis lecteurs ,

Bordeaux 1942, en acceptant de soigner les résistants , Lison , jeune infirmière, met le doigt dans un engrenage infernal Dénoncée , elle doit fuir , quitter la ville pour se réfugier auprès du maquis corrézien.

Annie Convert m'a offert 1942 , à nos identités perdues pour le calendrier de l'Avent , organisé dans le groupe des lectures de Flo. J'ai pris mon temps pour le lire . C'est un témoignage poignant , empli d'Amour , d'entraide mais aussi de méfiance , de difficultés. Ce témoignage fait partie de notre Histoire , dans une région proche de la mienne ! J'ai pu retrouver des expressions , le patois , bien de chez nous !

Merci Annie de nous confier une partie de ton histoire , empreinte de poésie , de douceur au milieu de ces brutes.

"Le bonheur ne nous est pas donné , ni le malheur imposé. Nous sommes à chaque instant à la croisée des chemins et il nous appartient de choisir la meilleure direction à prendre."
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Concerto pour le bonheur

lu dans le cadre du jury de lecteurs Librinova 2022

L'histoire d'Anna est comme le passage de la vie de jeune fille à celle d'adulte. On y fait des choix, certaines coïncidences ont une influence positive ou négative sur le reste de notre vie. Tout de suite happé par l'histoire, le lecteur est transporté dans l'évolution professionnelle et personnelle de l'héroïne. L'intrigue est bien rythmée et on ne s'ennuie pas pendant ces 330 pages. Je déplore juste la première partie concernant Fabien, qui semble irréelle tant elle passe vite et n'apporte finalement pas grand chose à l'histoire principale si ce n'est un certain nombre de scènes érotiques. Le rythme du reste de l'histoire m'a bien plus plu, on a le temps de découvrir et de s'attacher aux différents personnages. Les differentes péripéties sont bien trouvées et pour la plupart on ne s'y attend pas ce qui entretient l'envie de lire la suite, surrout la partie concernant le club et la mafia. En revanche les coïncidences sont un peu trop nombreuses, on perd en crédibilité. Les personnages sont attachants, surtout celui de Jordan. Celui d'Anna m'a souvent agacée, au départ présentée comme timide et posée, elle est impulsive et ses réactions semblent disproportionnées. Malgré tout, suivre son évolution nous fait un peu oublier ce côté et aimer ce personnage. Les personnages même secondaires sont profonds et rendent la lecture plus prenante encore. Enfin, un petit détail sur le romantisme, j'aime les livres romantiques, mais les répétitions de phrases d'amour dans le dernier tiers entre Anne et Jordan sont assez répétitives et trop présentes, rendant un peu trop mièvre cette belle histoire qui se finit bien (on est toujours plus heureux quand un livre se finit bien !) je recommande chaleureusement.
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1942, à nos identités perdues

Cette lecture m'a un peu décue.

Beaucoup de personnages (qui changent de nom/identité pour les besoins de l'histoire et de la résistance) mais un peu perdue parfois .... surtout avec les personnages (tres) secondaires qu'on ne voit que quelques fois dans les 500 pages (et quelques) donc pas facile de retrouver qui est qui // qui fais quoi ...

L'histoire en elle-meme est assez interessantes , mais certains détails sont trop ou trop peu explorés et pourraient etre plus ou moins développés.

La romance manque d'un petit quelque chose en plus pour etre vraiment interessante et nous touchés.

Lecture plaisante mais en demi-teintes pour moi, des choses m'ont manqué pour etre vraiment imprégnés dans l'histoire.
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1942, à nos identités perdues

Chronique sur 1942 : à nos identités perdues d’Annie Convert



En voilà un livre avec lequel j’aurais pris mon temps. Une grande pause lecture que je ne regrette pas car une fois replongée dedans, je l’ai lu en quelques jours.



Nous sommes en 1942 à Bordeaux. Lison est une jeune infirmière de 25 ans. Elle fait la rencontre d’un médecin dont elle tombe instantanément amoureuse. Le docteur Vianney aux yeux incroyablement beaux.

Lison connaît donc son premier émoi amoureux mais aussi les difficultés de la guerre et de l’occupation. Sa petite vie tranquille va se transformer en cavale Bordeaux à la Corrèze. Peut on faire confiance à tout le monde ? Même aux français ? Elle apprendra que non. Elle changera d’identité à plusieurs reprises pour sauver sa vie mais aussi, pour combattre. C’est une jeune femme courageuse au caractère bien trempé quand il le faut.

J’ai vécu les peurs, les déceptions, les joies et parfois même la rage qu’à vécu Lison. Cette histoire inspirée d’un fait réel que l’auteure a voulu mettre en avant m’a profondément bouleversé. Un bel hommage à son papa qui était un combattant dans le maquis corrézien.

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1942, à nos identités perdues

Le devoir de mémoire est essentiel pour les générations suivantes. Grâce au témoignage de son père qui a inspiré cette histoire, nous suivons Lison, infirmière, fervante résistante de cette abominable guerre.

J'ai eu l'impression d'être à ses côtés tout au long du roman. Portrait d'une femme courageuse et qui n'abandonne pas. C'est grâce à des personnalités comme elle que nous sommes libres aujourd'hui (enfin... presque 😅 merci covid ! )

Ce livre est parcheminé de nombreux faits historiques, ce qui est un régal !

Merci pour ce bon moment de lecture !
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1942, à nos identités perdues

Le commentaire de Carole :



Un roman qui est sûrement basé sur des faits réels, ce qui rend l’histoire encore plus intéressante. Lison, le personnage principal de l'histoire, s’attend à faire une belle carrière d’infirmière, elle travaille à l’hôpital où des résistants sont soignés en cachette. Une belle ambiance est installée jusqu’au jour où une taupe dévoile ce qui se passe au sous-sol de l’hôpital. Lison doit quitter l’hôpital avec d’autres confrères et consœurs pour fuir les Allemands. On va suivre son cheminement, elle va devoir, à plusieurs reprises, changer d’identité pour éviter d’être repéré. Son parcours est semé d’embûches qui fera d’elle une personne redoutable et qui n’a pas froid aux yeux. Elle va apprendre à se défendre et se battre pour l’idéal qui n’existe pas. Il faut une certaine concentration pour passer au travers de l’histoire, car les changements d’identité et le nombre de personne qui composent le récit est énorme. L’auteur a su démontrer tout l’amour que Lison avait pour son travail, son côté humain est bien mis en évidence malgré le fait qu'elle doit apprendre à tuer pour survivre. S’ajoute à l’histoire un peu de romance, Vianney jeune médecin qui veut autant aider le corps que l’âme des gens, devra réfléchir entre l’amour que Lison lui offre et l’amour qu’il a pour Dieu. Par moments, j’ai trouvé quelques longueurs, beaucoup de détails dont je me serais passé et la répétition de fuir un endroit pour un autre sans qu’il y ait beaucoup d’actions. Une chose que Lison a sûrement retenue, c’est qu’en temps de guerre, on ne jamais faire confiance à personne.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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1942, à nos identités perdues

Un véritable coup de coeur que ce livre sur la résistance. Écrit comme un journal, j'ai pu suivre l'investissement de cette résistante, enrôlee presque malgré elle, dans l'hôpital dans lequel elle travaille en tant qu'infirmière. Petit à petit son engagement devient un véritable combat. L'amour va s'en mêler, ainsi que la mort. C'est un roman très bien documenté, très prenant, avec des moments difficiles, notamment sur la fin. Un livre hommage à tous ces gens de l'ombre qui ont combattus pour notre liberté. Un livre à mettre dans toutes les mains !
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