Il se souvient pourtant que la beauté du héron, comme celle de sa représentation, n'ont que peu à voir avec les irisations et les parures. Il conviendra seulement, comme les autres fois, mieux que les autres fois, mieux qu'il ne l'a jamais fait jusqu'à présent, d'ausculter ce héron du regard, avec une application parfaite, d'en cueillir quelques traits cachés, et surtout, une petite lueur de vie. Et c'est tout.
Voilà.
Le souffle court, Basilio commence à peindre.