AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Audrey Alwett (421)


Azarel. Jusquin avait une relation compliquée avec ce gamin. Il faisait tout son possible pour le détester sans vraiment y arriver. Pourtant, le môme était roux, ce qui en soi méritait des baffes. (page 88)
Commenter  J’apprécie          210
C'était typique des pauvres. On ne leur donnait aucune éducation, on les affamait pour les empêcher de réfléchir, et malgré ça, y en avait toujours qui trouvaient le moyen de se faire pousser un cerveau.
Commenter  J’apprécie          200
Où est passée cette petite intrigante ? Ce n'est pas parce qu'elle a de nouveaux habits qu'elle est dispensée de toutes les corvées.
Commenter  J’apprécie          200
Ô purpurea Digitalis,
Toi qui es rose comme mon entrecuisse,
Surtout quand de mon prince j'imagine le vit
J'ai tant hâte qu'il me marie.
Commenter  J’apprécie          200
Selon Charly, les gens avaient le visage qu'ils méritaient. Non pas concernant son aspect général, mais parce que les émotions en marquaient les traits année après année.
Commenter  J’apprécie          180
La serpillière reprit sa route vers la sortie. Charly était à peu près certain qu'il ne pouvait pas laisser une serpillière animée par ses soins se balader en toute liberté dans les rues. Il en était responsable magicièrement, ou quel que soit le mot adéquat. Il lu courut après, et l'attrapa à pleines mains.
- Il faut qu'on discute, toi et moi.
En réponse à quoi, la serpillière lui sauta à la figure et serra de toutes ses fibres.
Commenter  J’apprécie          170
- Hastard Double-Hache, pour avoir exterminé seul et à coups de tranchoir une quinzaine d’assaillants dans l’avenue Brin Harsnik, pour avoir décapité le banquier Beuneupeu troisième du nom dans ses propres bureaux…
- Y voulait pas m’rendre mon or…
Ténia ignora la voix fluette.
- Enfin, pour avoir fendu le crâne de Chaina la Barbare à cinquante mètres de distance, je vous remets aujourd'hui le titre de Chevalier des Arts du Meurtre. J’y ajoute mes félicitations personnelles, puisque l’une de vos victimes est revenue témoigner post-mortem de l’efficacité létale de vos coups. « Une technique mûre, des armes qui assurent », ce sont ses mots.
Commenter  J’apprécie          170
Les marionnettes et automates sont comme une part de nos rêves. Comment peut-on ne pas les aimer ?
Commenter  J’apprécie          150
- Cet endroit est trop cool ! s’écria June
Elle s’était agenouillée sur le sol et en grattait le dallage, fait de carreaux de chocolat noir et blanc.
- June ne mange pas ça ! Je te rappelle que les gens mettent leurs pieds dessus.
Commenter  J’apprécie          142
Ce qu'il y a de marrant avec le courage, c'est que ce sont toujours ceux qui risquent le moins qui en parlent le plus.
Commenter  J’apprécie          140
Il y eut un soir, et il y eut un matin. Le démon Sälbeth, qui estoit le dernier de sa race à cause de ce qu'il dormait pendant la Guerre Céleste, se leva et eut faim. Alors, il mit à feu et à sang la Terre d'Airain, dévorant sur son passage les humains, les troupeaux et les petits enfants. Et il vit que cela était bel et bon, surtout les moutons.

Sälbeth était grand et puissant. Dans son dos estoient sept cornes immenses. Son souffle estoit poison, son pas faisoit trembler la terre et son vol semait la mort au-dessous de lui. Aussi, nul n'osait se mesurer à lui.

Mais une femme se leva et dit : "en vérité je vous le dis, nous ne pouvons laisser Sälbeth poursuivre son oeuvre de destruction, car ça commence à bien suffire."
Commenter  J’apprécie          130
- Les gens sont méchants.
- Y en a même qui m'appellent Totor !
- Non ?!
- Comme je vous le dit ! Pis alors, là, le coup de la fiancée même pas vierge, c'est le pompon ! Remarquez, moi j'avais rien contre, hein, qu'elle ait un peu d'expérience ! Parce que les vierges, au plumard, entre nous, c'est la barbe. Mais le peuple peut pas comprendre ça. C'est des cons, le peuple.
- Hum-hmm. Je peux vomir dans la corbeille de pétales de roses, là ? Ça ne vous dérange pas ?
Commenter  J’apprécie          130
- Minnie ? Oh, vous vous êtes donné des noms ?
- Oui, c’est plus pratique. Moi aussi, je m’appelle Minnie, parce que c’est joli.
- Oui, moi aussi, parce que j’aime bien.
- Vous êtes dingues.
Commenter  J’apprécie          120
(…) le superficiel est parfois indispensable. Si on ne s’occupe plus que du nécessaire, on ne sait plus comment s’émerveiller et on n’a plus rien à espérer. (Charly)

p.249
Commenter  J’apprécie          122
Craquez les, heu... les bonbons bleus avec un flocon blanc ! Il en puisa lui-même un dans sa cartouchière et le déchira. En un instant, les dalles qui étaient encore mouillées par l’ondée nocturne se couvrirent de glace. C’est sur cette magnifique patinoire que cent-cinquante chevaux firent leur entrée au galop. Une petite vingtaine s’écrabouilla avec violence et ridicule sur la masse invisible, qui en recula sous l’impact. Emportées par leur élan, les montures qui avaient passé la porte se vautrèrent dans les grandes largeurs. Les sabots patinaient, tâchant de garder l’équilibre coûte que coûte, avant d’échouer pour partir en tous sens, offrant le spectacle d’une souplesse douloureuse. Tandis que la cavalerie illustrait l’expression « se retrouver les quatre fers en l’air », Sinus vit le moyen d’aggraver encore leur posture.
Commenter  J’apprécie          120
- Mais comment tu fais, June ? Tu viens à peine d’arriver, tu as déjà un travail mieux payé que nous deux réunis et, comme si ça suffisait pas, tu as des idées affreuses pour tous nous faire punir !
- Oui, c’est June ! s’esclaffa Charly.
Commenter  J’apprécie          110
La vraie gentillesse, ça demande du courage. Ça n’est pas de ne pas faire de vagues, ça n’est pas de respecter les règles, en tout cas je ne crois pas. Faire ce qui est bien, je crois que ça demande de se salir un peu, des fois. Alors, aujourd’hui, c’est ce que je fais. (Dodeline)

p.433
Commenter  J’apprécie          112
Il paraît qu'avant toutes les grandes batailles, le plus insupportable, c'est l'attente. Une espèce de guerre des nerfs qui vous vrille la cervelle. Il faut alors s'astreindre au calme et attendre.
Commenter  J’apprécie          110
Je suis folle ou tu es une grenouille qui parle dans ma tête ?
Commenter  J’apprécie          110
Mais si l’Académie surveille tout le monde, personne ne surveille l’Académie, et nous pensons qu’elle en abuse monstrueusement.
Commenter  J’apprécie          110



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Audrey Alwett Voir plus

Quiz Voir plus

Princesse Sara - tome 1

Où Sara et son père habitaient avant ?

Aux Indes
En Angleterre
En France

7 questions
65 lecteurs ont répondu
Thème : Princesse Sara, tome 1 : Pour une mine de diamants de Audrey AlwettCréer un quiz sur cet auteur

{* *}